u soit votre frère I Ils lui répondirent : — Maudite sois-tu I Et ils
partirent
droit devant eux. Settoute avait menti. Elle voul
enfuirons sans le voir, sans le connaître. › Voici quinze ans qu’ils
sont partis
et que nous ne savons rien d’eux. La jeune fille
xplique-moi les paroles de Settoute. › Elle me les a expliquées et je
suis partie
à votre recherche. Ma mère m’a donné un cheval, u
roule comme un long fil I L'on raconte qu’en hiver deux jeunes hommes
partirent
, sous la neige, chasser dans la montagne. Ils tuè
elle dort. Prends tes jambes à ton cou I Mais lui répondit : — Je ne
partirai
que si tu m’accompagnes. Car je ne suis venu ici
ria : — Loundja ma fille m’a trahie. Loundja m’a abandonnée I Et elle
partit
à sa recherche. A la haie d’épines elle dit d’une
, quelques mûres et rapporte aussi des figues, si tu peux. Le Crapaud
partit
à la recherche des fruits : il coupa des joncs, l
à baisser, la Grenouille dit au Crapaud : — Homme ! lève-toi. Il faut
partir
. Rapporte-nous des légumes, tandis que je m’en va
la Grenouille, exténuée, s’assit sur le bord du chemin et déclara : —
Pars
seul si tu veux. Je ne puis plus faire un pas. Al
as devenu tout noir et tu ne sentirais pas la pourriture I Le Corbeau
partit
l’aile basse. Arrive la Perdrix : — Qu’as-tu, mon
et une grosse pelote de laine. Elle appela sa voisine et toutes deux
partirent
, emmenant la fillette. Elles laissèrent le villag
st comme un ruisseau, je l’ai conté à des Seigneurs. Veux-tu que nous
partions
Jeune tille, ô perdrix, Veux-tu que nous allions
Mali, ô Mali Mon bien s’en est allé Il m’a laissée. Veux-tu que nous
partions
? Embarquons-nous sur l'heure. Dans la ville des
ent mûrie. La veuve habitait une hutte, en dehors du village. Elle en
partait
avant le lever du soleil et n’y revenait qu’au cr
rien de fâcheux ne lui arrive ! Les orphelins aimaient leur sœur. Ils
partirent
tous les trois. A peine arrivés, ils se reposèren
son corsage un morceau de galette, prit son frère par la main et ils
partirent
droit devant eux. Ils marchèrent, ils marchèrent.
uire sous mes yeux de la soupe de semoule, je guérirais. Une négresse
partit
immédiatement à la recherche de Settoute. La sorc
r son épaule et il entendit une voix lui dire : — Lève-toi, Mehend et
partons
. Le soleil venait juste de se retirer derrière le
e te reste plus qu'à me suivre et tous tes désirs seront comblés. Ils
partirent
. Côte à côte, ils allèrent à travers les sables,
ent reposés, ils baignèrent leurs pieds endoloris et se disposèrent à
partir
. A peine sortaient-ils qu’ils virent une multitud
ir le monde. Ils s'aimaient d’amour très tendre. Avant de les laisser
partir
, le père leur recommanda solennellement de s’aime
des adolescents qui menaient paître les troupeaux sur les crêtes. Ils
partaient
dès l’aube, emportant une galette d’orge, des fig
irent appel à leurs parents et amis. Et une caravane se constitua qui
partit
à la recherche du bel adolescent. Mais ni dans la
e qu’après l’avoir traîné. Chant religieux Levez-vous, mes frères, et
partons
Même en dépit du verglas. (Il n'est pas d’autre D
Tu veilleras sur notre mère, sur notre maison et sur nos biens. Et je
partirai
seul sur mon cheval d'éclairs et de vent. Je pren
nduira jusqu'à moi. Il prit son sabre, sa carabine, son lévrier et il
partit
sur son cheval d’éclairs et de vent. Il voyageait
palais, montée sur une jument blanche qui boitait un peu. Le lévrier
partit
le premier et Mehend s’élança. Il prit dans ses b
revenus I Un temps, le jeune homme respecta cette recommandation. Il
partait
dès l’aurore, accompagné de son lévrier, sur son
rut vers sa mère et lui dit : — Un malheur est arrivé à mon frère, je
pars
. Prépare-moi des provisions de route et que tes b
ous trompez. Je ne suis pas Mehend, je suis son frère. Lorsque Mehend
partit
, nous plantâmes un arbre. Ses feuilles s’étant mi
palais se peupler de petits princes et princesses, lorsque ton frère
partit
pour ne point revenir. Nous pensâmes : ‹ Sans dou
nous nous envolerions Et nous atteindrions le ciel. — Quant à moi, je
pars
avec tôt Jeune homme à la taille tie roseau, Quan
i donné ma confiance Sur la terre comme sur les eaux. Quant à moi, je
pars
avec toi O jeune oiseau, fils de ramier. Parmi le
es deux vieux. Vous irez demain les cueillir. Le Subtil et l’Innocent
partirent
dès l’aube avec leur âne, emportant un tamis et d
s ses vêtements blancs du Djérid. Comme sa mère pleurait en le voyant
partir
, Il lui dit : — Samedi nous serons de retour. Il
eunesse? Je t’ai pourtant laissée bien portante et joyeuse lorsque je
suis parti
pour la chasse. Elle répondit dans un souffle : —
entra, cette dernière lui dit : — Mon père, voici deux marchés que tu
pars
et que tu nous reviens les mains vides. Pourquoi
er dans ta maison. Le surveillant répondit : — Bien, seigneur. Et ils
partirent
à pied. Le prince déclara : — Je me suis enfui du
core une grâce : Déjeunons ensemble pour la dernière fois. Ensuite je
partirai
. U y consentit et ajouta : — Choisis tout ce qui
Lève-toi, lui dit-il. Allons couper du bois, nous n'en avons plus. Us
partirent
et gagnèrent la forêt. Un trou profond s’y trouva
dit : — Il y a huit ans que je ne sais rien de mon frère, laisse-nous
partir
et Dieu t’en saura gré. Le père la regarda et ne
— Alors, arme-toi de patience. Je serai vite de retour. Et le chacal
partit
à la recherche d’une belle peau de vache qu'il ne
u de nourriture. Il te faudra choisir entre tes filles et moi : elles
partiront
ou je partirai ! — Femme I suppliait le père, fem
Il te faudra choisir entre tes filles et moi : elles partiront ou je
partirai
! — Femme I suppliait le père, femme, Dieu veuill
t pas. Le bel animal avait pour habitude de se lever dès l’aube et de
partir
ià la chasse pour ne rentrer qu’à la nuit. Alors,
pèrent et coururent comme des gazelles par tout le verger. Puis elles
partirent
droit devant elles, humant le vent et folâtrant.
is, la mort est là. Ma mère, le fleuve m'a emportée. Veux-tu que nous
partions
, jeune tille ? Montons dans une barque, Glissons
it malheureux. Un jour qu’il se sentait le plus pauvre des hommes, il
partit
dès l'aube en pèlerinage. Le lieu saint éblouissa
cheveux et ses mains au henné. Elle revêtit ses plus beaux atours et
partit
à la recherche de Roundja et de ses sept gardiens
e nous prévenir de sa venue et nous traite sa ’.s ég rds, nous allons
partir
sur le champ. Et quand il arrivera, il trouvera d
e paya les oranges du perdant. Puis il prit son fusil, son cheval, et
partit
en hâte vers la forêt. Mais où était la tente qui
ïn et le bon nègre qui l’attendaient avec impatience. — Prépare-toi à
partir
, cria-t-elle joyeusement au prince : la jeune fil
ai joui de ta compagnie charmante ! Comme Cheikh Smain se disposait à
partir
, le lendemain, sa jeune femme au visage de lait e
. La mort peut bien me prendre, ce ne sera pas une grande perte. — Je
partirai
I reprenait avec plus d’ardeur le prince. Et le d
. Et le débat menaçait de durer, quand la vieille femme y mit fin : —
Partez
tous les deux, dit-elle. Le père veillera sur le
e fils et moi je prierai pour que vous me soyez bien vite rendus. Ils
partirent
donc, le vieillard armé d’un bâton et le fils d’u
e d’aujourd’hui Regorge de peines O mon frère, anneau d’argent clair.
Partons
, courons vers la rivière, Viens, nous suivrons la
que j’ai quitté mes parents et je suis une femme aujourd’hui l — Nous
partirons
cette nuit même, dit l’Oiseau de l’Orage. Je te d
-tu que des splendeurs qui t’entourent et jamais de ton mari ? Vas-tu
partir
sans nous dire comment il est? Ne l’aimerais-tu p