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1 (1966) Le grain magique
ve-toi, rocher Rocher, élève-toi Pour que m’apparaisse Le pays de mes parents 1 Une négresse pisseuse me dit : — Descends pour
ve-toi rocher, Rocher, élève-toi Pour que m'apparaisse Le pays de mes parents I La négresse & la maison demeure Moi, je sui
ève-toi rocher Rocher, élève-toi Pour que m'apparaisse Le pays de mes parents I La négresse à la maison demeure Moi, je suis ga
: — Quel est ton nom ? Quel est le nom de ton village et celui de tes parents pour que je te reconduise vers eux ? Elle répondi
répondit : — Je m’appelle Jedjigha, mais je ne sais ni le nom de mes parents ni celui de mon village. Le serpent qui ne pouvai
sage épanoui comme une rose. Il l’interrogea sur son village, sur ses parents . Elle répondit : — C’est ici, dans cette caverne,
des provisions et qu’on sellât son cheval. Puis il prit congé de ses parents . Le roi et la reine le supplièrent vainement de r
poisson, et se mit à réfléchir : il était loin de son pays et de ses parents ; il avait épuisé toutes ses provisions et troqué
repris ma forme humaine pour veiller sur lui. Il avait abandonné ses parents et son pays pour aller à la recherche de Soumicha
m’indiqua l’Orient de sa main libre. Et c’est ainsi que, laissant mes parents en larmes, je partis, ô roi, le visage tourné ver
de son cheval noir, savourait en chemin la joie qu’il apportait à ses parents et à son peuple. «Sans doute me croient-ils mort,
rre et attendit la fin de l’orage pour rentrer à la maison. Comme ses parents s’étonnaient de le voir revenir seul, il leur rac
mporter et qu’une crevasse devait sans doute lui servir de tombe. Les parents alarmés firent appel à leurs parents et amis. Et
s doute lui servir de tombe. Les parents alarmés firent appel à leurs parents et amis. Et une caravane se constitua qui partit
ore du petit Hacène?... Bien des années avaient passé. La douleur des parents n'était plus aussi vive. Le garçon taciturne étai
eunes filles, après-demain, revêtent leurs habits les plus riches, se parent de tous leurs bijoux, montent des juments bleues
garçon qu’il aimait comme sa prunelle. Mais la femme répondit : — Mes parents s’ennuyaient de lui. Us sont venus le chercher av
n linge fin et les cacha dans sa couchette. Dès que s’éloignaient ses parents , la fillette prenait le linge sur ses genoux et p
t la femme répondait, de plus en plus embarrassée : — Il est chez mes parents , il rentrera bientôt. Arriva le moment où la femm
Arriva le moment où la femme ne put plus répondre : ‹ H est chez mes parents , il rentrera bientôt. › Car l’homme devenait soup
t son dîner. Aïcha venait de l’autre bout du village, envoyée par ses parents qui ne pouvaient eux-mêmes prendre soin du vieill
r le point de s'endormir. La petite fille racontait chaque jour à ses parents comment elle avait veillé sur son grand-père et c
le plat de couscous qu’elle tenait, et courut au village alerter ses parents . — L’Ogre a mangé mon grand-père, leur annonça-t-
et l'enfant sur la terre : Mehend se plaignait-il du moindre mal, ses parents en étaient atterrés car ils tremblaient de le voi
t en elle et mon âme ! › Il la prit par la main et la conduisit à ses parents , elle, une passante que nul ne connaissait. Il le
ne porte pas le bien dans son cœur. Comment oses-tu lui sacrifier tes parents , tes vieux parents qui ont attendu si longtemps t
n dans son cœur. Comment oses-tu lui sacrifier tes parents, tes vieux parents qui ont attendu si longtemps ta naissance et ne t
après nous ? Nous n’avons pourtant pas détruit un sanctuaire I Et mes parents m’aiment trop pour me poursuivre de leur malédict
dant pas de vue le coffre qui suivait. Une fois dans la maison de ses parents , la jeune reine ouvrit le coffre. Elle prit douce
le dit au poussin : — « Cherche ta pâture, Je n’ai pas de sein. » Les parents de la femme Sont autour du festin. Mais les paren
as de sein. » Les parents de la femme Sont autour du festin. Mais les parents de l’homme Se tiennent sur le seuil. C’est depuis
t les anses 7 L’homme frappé de malédiction, Que peuvent pour lui ses parents ? Proverbe Dire : « tais-toi », c'est encore crie
s I! a nourri un serpent pour qu'il s’enroule autour de son cou ! Les parents se sont résignés. Mais les étrangers blasphèment.
sac de pièces d'or et, tenant son cheval par la bride, annonça à ses parents qu’il était résolu à retrouver Rondja plus belle
nous enseigne trop qu'il ne faut pas attendre de bonté de la part des parents et qu’il faut les traiter sans pitié. Maudit soit
râce à Dieu d’avoir donné un fils à deux vieillards solitaires et des parents à un jeune homme odieusement trahi par son propre
de vie : maigre ou gras, ce sera même chose. Je m’en vais inviter mes parents et chercher ma fille Vetellis qui est chez sa tan
, lavande, viens Que nous nous embrassions , Je veux me marier Et mes parents refusent. Ecoute, menthe sauvage, Ecoute, que je
mblait en un éclair son trousseau et courait chercher refuge chez ses parents , laissant l’homme désemparé. Donnait-il raison à
une femme. Dieu avait octroyé plus de filles que de garçons mais les parents , dans leur sagesse, ne s’en étaient pas plaints.
ma famille, gémit Yamina. J'étais une enfant lorsque j’ai quitté mes parents et je suis une femme aujourd’hui l — Nous partiro
mendiant m'a emmenée, expliqua Yamina après qu’elle eut embrassé ses parents . Le mendiant s’est envolé avec moi en plein ciel
nt il est? Ne l’aimerais-tu pas? Pourquoi s'est-il enfui sans que nos parents l’aient vu ? Est-il grand, est-il blanc comme nei
se mirent alors à chuchoter pour que seule Yamina les entende : — Tes parents feront ton malheur. Tes parents feront ton malheu
que seule Yamina les entende : — Tes parents feront ton malheur. Tes parents feront ton malheur I Le dernier jour était arrivé
it ses sœurs. C’est en vain que les bêtes lui avaient chuchoté : «Tes parents feront ton malheur. Tes parents feront ton malheu
les bêtes lui avaient chuchoté : «Tes parents feront ton malheur. Tes parents feront ton malheur ! » Rien ne pouvait lutter con
es conseils funestes de tes sœurs. Tu les as entendues te dire : «Tes parents feront ton malheur. Tes parents feront ton malheu
s. Tu les as entendues te dire : «Tes parents feront ton malheur. Tes parents feront ton malheur ! › Ah ! que n'as-tu écouté la
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