e flèche, se dirigea vers l’Orient. Il marcha des jours et des jours,
parcourut
les plaines, traversa les fleuves, gravit les mon
es, les plaines, les bois, et les forêts. Ils longèrent des rivières,
parcoururent
des contrées tour à tour verdoyantes ou pauvres e
je reviendrai. Et il remonta sur son cheval d’éclairs et de vent. Il
parcourait
de grands espaces découverts, lorsque des gardeur
l voyagea la nuit, le jour, la nuit le jour. Il traversa les fleuves,
parcourut
les plaines, gravit les monts. Il laissa son pays
issances, il dit à son gendre qui était grand chasseur : — Tu pourras
parcourir
mon royaume, aller partout où il te plaira, sauf
t le jour et ne rentrait qu’à la tombée de la nuit. Mais quand il eut
parcouru
tout le royaume, qu’il en eut exploré les bois et
s'abandonna à son cheval d’éclairs et de vent, franchit les fleuves,
parcourut
les plaines et gravit les monts. Lorsqu'à son tou
nd chasseur. Je lui dis un jour : ‹ Voici mon royaume ; tu pourras le
parcourir
au gré de ta fantaisie, aller à l'est, à l’ouest,
gresse, franchirent la rivière, et s’engagèrent dans la forêt. Ils la
parcoururent
sans hâte, en promeneurs ; ils atteignirent avant
rent loin derrière eux le village et la belle contrée verdoyante. Ils
parcoururent
les plaines, franchirent les rivières, gravirent
mme un ruisseau, je l'ai conté à des Seigneurs. Chant d'bxil Le train
parcourt
la plaine, Chargé de vin et de salades. Ma mère,
ans postérité ! Chant d’amour A sa recherche, du matin à la nuit J’ai
parcouru
le village tout entier : Où s'est-il réfugié ? C'
mé de la jeune fille. Il ne savait pas qu’elle l’avait ensorcelé. Ils
parcoururent
un long chemin et entrèrent en pleine campagne. I
rère Ali. Emporte-le : il est 'à toi. Le long du chemin que tu devras
parcourir
, d’étape en étape, nourris-le d'un peu de moelle
ys où elle s'enfuient. Je marcherais la nuit, le jour, Et les deux je
parcourrais
Pour voir les bien-aimés Qui m’ont laissée le cœu