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1 (1966) Le grain magique
de la Table Ronde, 1960. Nouvelle édition, Éditions Joëlle Losfeld, à paraître (1996). L’Amant Imaginaire, Robert Morel, 1975. N
ire, Robert Morel, 1975. Nouvelle édition, Éditions Joëlle Losfeld, à paraître (1996). Cahiers inédits, Éditions Joëlle Losfeld,
sfeld, à paraître (1996). Cahiers inédits, Éditions Joëlle Losfeld, à paraître (1997). DE FADHMA AITH MANSOUR AMROUCHE sa mère H
manquent le cœur et le foie, Mange le mou qui voudra. La pleine lune paraît , Les étoiles peuvent bien scintiller ; Envers la
es de chair Pourquoi faire de toi un os ? Habille une louche Et elle paraîtra belle. Il est indiscret comme une jarre pleine de
pour laquelle se battent les monts et cessa de frissonner. La fièvre parut l’abandonner à la grande joie de Mehend qui put c
âtait les parois dans l'espoir de découvrir une issue : la grotte lui parut spacieuse. Mais l’enfant ne fit aucune autre déco
be Celui qui est propre comme l’eau Au regard de Dieu, je le jure, Ne paraîtra pas impur. Chant satirique O mon Dieu quelle est
époux veuille bien la prendre par la main et l’emmener. Cheikh Smaïn parut , la fit asseoir près de Roundja sur son cheval no
ir et tournoyer sur lui-même sans pouvoir le secourir. Cette nouvelle parut apaiser un peu le sultan. H soupira et rêva à la
n feu dévorant. C’est ainsi que Cheikh Smain échappa à cette mort qui paraissait si sûre. Mais plus le sultan se sentait impuissan
laire, un grand plat de couscous arrosé de lait. Jamais nourriture ne parut plus délectable au prince qui avait grand faim. I
s voici dans l’affliction. Prisonnière d'un homme indigne. L’issue me paraît incertaine, Délivre-moi, ô Créateur ! Proverbes H
gure dans le recueil de Jean Amrouche « Chants Berbères de Kabylie s, paru en 1939 aux Editions Monomotapa, dirigées pur Arm
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ce qui s’y passoit de plus particulier, cette connoissance leur ayant paru nécessaire pour leur parfaite instruction. Quoi q
onne aussi belle que vous l’estes peut estre aussi triste que vous le paraissiez : car, quoyque je puisse me vanter d’avoir veu un
ncesse n’eut pas plustost prononcé ces paroles que Riquet à la Houppe parut , à ses yeux, l’homme du monde le plus beau, le mi
moit. Ils disent encore que ses yeux, qui estoient louches, ne luy en parurent que plus brillans ; que leur déreglement passa da
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