m de Mehend. Dès sa naissance, il l’installa au septième étage de son
palais
, dans la chambre la plus retirée, la plus secrète
ur être si fier et me piétiner? Le jeune homme s’en revint songeur au
palais
. Il entra dans la pièce où se tenait sa mère et s
ble comme toi) m'installa, dès ma naissance, au septième étage de son
palais
, dans la chambre la plus secrète (celle dont tout
’ayant planté cette épine dans le cœur, elle disparut et je revins au
palais
malade d’amour mais résolu à découvrir Soumicha o
lle. Il a fait de moi l’homme que tu vois. Il m'a conduit jusqu’à ton
palais
, lui qui triomphe des mystères. Et maintenant, ô
nd, ébloui, l’aperçut de très loin. Il fut en un éclair aux portes du
palais
. Mon conte est comme un ruisseau, je l’ai conté à
ant le silence et puis il répondit : — Après-demain, sortiront de mon
palais
cent jeunes filles. St tu parviens à reconnaître
de tous leurs bijoux, montent des juments bleues et se rendent à mon
palais
t Au jour dit, quatre-vingt-dix-neuf jeunes fille
montées sur des juments bleues aussi vives que le vent, sortirent du
palais
, l'une après l’autre. Un peu à l’écart, son lévri
lors que se montra la centième, vêtue très simplement. Elle sortit du
palais
, montée sur une jument blanche qui boitait un peu
assit devant lui sur son cheval d’éclairs et de vent, et la ramena au
palais
. Les noces durèrent sept jours et sept nuits. Le
ille allait bientôt nous donner un enfant. Et nous espérions voir mon
palais
se peupler de petits princes et princesses, lorsq
hommes et des enfants les acclamèrent et les accompagnèrent jusqu'au
palais
. — J’ai tué l’Ogresse, annonça Ahmed au sultan. L
ent bleue aussi vive que le vent, son enfant dans les bras, sortit du
palais
. Les jumeaux la suivirent, sur leurs chevaux d’éc
ai. U y consentit et ajouta : — Choisis tout ce qui te plaira dans le
palais
et emporte-le. Elle prépara elle-même le repas. E
commanda de transporter le coffre avec ménagements. Et elle quitta le
palais
ne perdant pas de vue le coffre qui suivait. Une
s dit : ‹ Regarde autour de toi, prends tout ce qui te plaira dans le
palais
et emporte-le. › Or, rien dans ton palais ne m’ét
ut ce qui te plaira dans le palais et emporte-le. › Or, rien dans ton
palais
ne m’était cher que toi. Je t’ai pris, Et je t'ai
é dans un coffre. ■Le roi et la reine se comprirent. Ils revinrent au
palais
pour y vivre heureux jusqu’à la mort. 'Mon conte
sa queue, en même temps que s’entrouvrait la terre pour engloutir son
palais
et toutes ses splendeurs I Mais le prince, devenu
mbée de la nuit. Mais où était la caverne de Moche?... A sa place, un
palais
splendide venait d'apparaître, celui-là même que
lanc de poussière et vêtu comme un mendiant se présenta aux portes du
palais
. Il tenait dans sa main le bâton des pèlerins. Aï
à l’école, le peuple voulut qu’il eût un nom, le peuple se rendit au
palais
et cria de loin au sultan : — La paix soit sur to
avait la sienne vide. Ils la lui remplirent et revinrent avec iui au
palais
. Le lendemain. Cheikh Smain voulut encore chasser
nous appartient. Et elle se retira. Le prince s’en revint songeur au
palais
. Il feignit une grosse fièvre et se coucha. Il ne
our femme, viens me chercher au pays des Indes. › Le prince revint au
palais
sans perdre de temps, remplit un sac de pièces d'
au visage de lait lui dit : — Je puis, si tu le désires, t’édifier un
palais
plus imposant que celui du sultan ton père. — Je
i du sultan ton père. — Je puis, moi, dit Roundja, créer autour de ce
palais
le plus merveilleux jardin avec les fleurs, les f
’effroi lorsqu’ils virent au lever du soleil se dresser devant eux le
palais
magique au milieu d'un parc profond, et qu’ils en
I Elle prit un couffin de farine, elle alla s’installer à l’entrée du
palais
magique et entreprit d’allumer un beau feu de sar
autres jeunes femmes aussi éblouissantes qu’elle par surcroît. Et ce
palais
qui fait pâlir le tien, ces jardins enchanteurs e
les mains de son pire ennemi? Enfin le sultan allait pouvoir jouir du
palais
magique, des jardins aux multiples fontaines et d
ultan veut que nous allions nous battre contre le nègre qui défend le
palais
et les femmes de son fils. Car d’avoir donné en p
bâton et le fils d’un fusil. Un nègre géant gardait bien l’entrée du
palais
magique. Brandissant un yatagan, il fauchait à dr
eunes femmes, ses compagnes, qui tremblaient de peur à l’intérieur du
palais
: — Je sens l’odeur du maître I — Va, lui répondi
ps me revient. Que personne n'en approche ! Impatient de s’emparer du
palais
et des femmes de son fils, le sultan convoqua dès
irent humblement les Notables. Une foule énorme se pressait devant le
palais
que personne ne défendait. Car le sultan avait dr
s, s’éloigna, déchiré et triste jusqu’à la mort. Dans son merveilleux
palais
l’attendait le nègre fidèle qui, à sa vue, reprit
che pour que tout ce que tu désires te soit accordé. Tu habiteras, un
palais
. Tu auras des parures et des bijoux à profusion e
nt là pour jouir avec moi de tant de délices t Yamina rentra dans son
palais
les bras chargés de fleurs, abandonnant le jardin
e bon sommeil de l’enfance. C’était surtout lorsqu’elle regagnait son
palais
solitaire et qu’elle entrait dans son lit trop va