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1 (1966) Le grain magique
li retrouva sa forme humaine et que sa sœur et lui connurent enfin la paix et le bonheur. Mon conte est comme un ruisseau, j
shérité, Quel profit peut-on en tirer ? CHANT satirique Laisse-moi la paix , mon fils, Je crains mon mari, mon fils. — S'il t
ar s’en émouvoir et lui envoyer un songe. Et dès lors, elle connut la paix . C'était une nuit de grand vent. La reine, épuisé
ceux qui ont suivi cette voie ne sont pas revenus I › Nous vivions en paix . Nous vivions heureux. Ma fille allait bientôt no
ièvre parut l’abandonner à la grande joie de Mehend qui put croire la paix et le bonheur définitivement revenus. Mais un mat
enfin seule dans cette maison I › Des semaines s’écoulèrent dans une paix trompeuse avant que fleurît en elle l’idée maléfi
rs maisons et à leurs biens. Et la ville et tout le pays connurent la paix et la prospérité d’antan. Les jeunes filles, à l'
n nom, le peuple se rendit au palais et cria de loin au sultan : — La paix soit sur toi, sultan I Nous venons pour donner un
erre, avant de suivre docilement ses frères. Ce message disait : ‹ La paix soit sur toi, Cheikh Smaïn. Si tu veux encore de
us une pierre, le message que lui avait laissé Roundja. Il lut : ‹ La paix soit sur toi, Cheikh Smaïn. Si tu veux encore de
et sa popularité s'étendit à tout le royaume. Cheikh Smaïn connut la paix parmi ces gens simples qui l’aimaient. Mais il ét
-pèlerin. Elles lui baisèrent la tête et la main et lui dirent : — La paix soit sur toi, fr Chat-pèlerin I Comment te portes
crit clairement sur son visage I Il apporte avec lui le paradis et la paix ! Les rats et les souris étaient en si grand nomb
lui dire : — Homme, tant que ta mère vivra, nous ne serons jamais en paix et nous ne connaîtrons pas la joie. H nous faut d
ur qu'il les voie dans l'autre vie, Alors, peut-être, il connaîtra la paix . Génies de l'Occident, soyez favorables A mon enf
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