temps de reste, laisse-moi passer I Settoute lui répondit : — Comment
oses
-tu parler, toi dont les sept frères se sont exilé
onne-moi ton tour ! › (j’étais pressée). Elle m’a répondu : ‹ Comment
oses
-tu parler, toi dont les sept frères se sont exilé
er son père et lui déclara : — Je veux épouser la négresse. — Comment
oserons
-nous regarder en face nos voisins? s’indigna le p
ont notre refuge. (Il n'est pas d’autre Dieu qu’Allah.) Proverbes Qui
osera
dire au lion : ‹ ta bouche sent mauvais ? » Tu m'
muse. Aveugle et grêlée. Tu as laissé ton bien devenir mon bien Et tu
oses
le réclamer ! QUI DE NOUS EST IA BELLE, O LUNE ?
tte Et rend faciles les prouesses I Le chat qui souille le blé Et qui
ose
craindre Dieu ! Mieux vaut que je m'endorme sur m
femme qu’il aime et l’a épousée ! Le sultan sourit tristement mais n’
osa
pas la contrarier. L’année suivante, une troisièm
. Le Subtil courait toujours. Il atteignit à l’aube la rivière mais n’
osa
la passer sans son frère. Il l’attendit et le vit
e rendre heureux car elle ne porte pas le bien dans son cœur. Comment
oses
-tu lui sacrifier tes parents, tes vieux parents q
er quelque chose?... — N’as-tu pas honte ? répliqua le frère. Comment
oses
-tu me parler ainsi de celle qui t’a donnée à moi,
ouvrirait de honte. Elle nous salirait aux yeux des voisins et nous n’
oserions
plus nous adresser à âme qui vive dans le village
outtes Qui font mûrir les figues I Proverbe Et toi, mon cœur, comment
oses
-tu chanter Qui te trouves sur un tas de fumier ?
nt les yeux : — Mon père, éloigne-toi un instant je te prie, car je n’
ose
me dévêtir devant toi. Il sourit tristement et fi
et lui dit, dardant ses yeux sur elle : — Me diras-tu cette fois qui
ose
, en mon absence, pénétrer ici? Me diras-tu qui m’
ha courut vers lui : — O ma fille, lui dit-il d’une voix humble, je n’
osais
croire que la joie de te revoir et de revoir tes
le manger. Il fit même discrètement savoir à ses sujets : ‹ Celui qui
osera
dire à mon fils que sa fiancée l’a déhissé pour u
le et froide comme une lame, clama à son tour : — Malheur au père qui
ose
convoiter .ses brus. Malheur au père qui ose épou
: — Malheur au père qui ose convoiter .ses brus. Malheur au père qui
ose
épouser les veuves de son fils, car il commet un
ou comme d’un billot pour couper la tête aux six Notables qui avaient
osé
proclamer à la face du ciel : ‹ Dieu permet l’uni
naïve, s'écrièrent ses sœurs indignées, tu as vécu tout ce temps sans
oser
lever ton regard sur lui I Quelle est la femme qu