/ 2
1 (1966) Le grain magique
éjà disparu ! Cette histoire, de l’un à l’autre colportée, arriva aux oreilles du prince qui n’hésita pas à interroger le bûcher
rme et tendre me touchait l'épaule, une voix persuasive me disait à l’ oreille : «Mehend, lève-toi et suis-moi. » O roi, le pois
s’épanouissait au soleil. La reine entendit une voix lui murmurer à l’ oreille : — Tant que cet arbre que tu vois sera luxuriant
l’autre Mehend. Leur mère, pour les distinguer, avait percé à l'un l’ oreille droite et à l’autre la gauche. Ils lui étaient au
ans l’après-midi et trouva l’âne qu’elle avala, n’en laissant que les oreilles qu’elle attacha de part et d’autre d’une branche.
ent répondait : — Il est toujours à la même place. Je vois bouger ses oreilles . Ils écossèrent des fèves tout le jour. Ils en éc
saient à les charger sur leur âne, ils ne trouvèrent de l’âne que les oreilles I Us se demandaient que faire lorsque survint Tse
cosser de grosses fèves. Elle a mangé notre âne et elle a attaché ses oreilles à une branche. La nuit est tombée sur nous et Tse
matin, son épouse entendit comme un faible gémissement. Elle prêta l’ oreille : le son venait du côté de la trappe. Elle tira l’
répondit l’enfant. Alors, la mère, lui tendit l’une après l’autre ses oreilles en maugréant : — Fais pipi, maintenant, toi qui e
n qu’abricots, pêches, poires, prunes et nèfles lui sortaient par les oreilles et les narines. Alors, elle pensa à ses sœurs. Re
aura la tête coupée.» La nouvelle cependant devait arriver jusqu’aux oreilles du prince un beau soir que deux jeunes garçons jo
les aromates. Et que tout soit prêt pour notre arrivée. Velâjoudh, l’ oreille collée à la porte, ne perdait pas un mot des reco
et tiens-toi prêt I lui dit-il d’un ton sans réplique. Et que pas une oreille ne soit épargnée l 11 commença par les souris qui
rité. Lorsqu’un mendiant demandait l’aumône, nul ne faisait la sourde oreille ni ne répondait cruellement : ‹ Dieu y pourvoira
s. Elle flâna le long du ruisseau, à l’ombre des palmes. Elle prêta l’ oreille au murmure des fleurs et s’amusa des jeux des pet
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
mieux courir, mon enfant ! — Ma mere-grand, que vous avez de grandes oreilles ! — C’est pour mieux écouter, mon enfant ! — Ma m
sieurs personnes qui vont et viennent et qui agissent. Ayant presté l’ oreille plus attentivement, elle ouït que l’un disoit : «
ongue, et qui tous, la lardoire à la main et la queuë de renard sur l’ oreille se mirent à travailler en cadence, au son d’une c
/ 2