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1 (1966) Le grain magique
partageait leur joie. Le soleil baissait. Des champs de figuiers et d’ oliviers bordaient le chemin qu’ils suivaient : une chèvre
pour la pierre. Le Subtil courait, courait toujours. Il rencontra un olivier : — Veille à l’olivier ! cria-t-il encore à son f
til courait, courait toujours. Il rencontra un olivier : — Veille à l’ olivier ! cria-t-il encore à son frère. L’Innocent qui av
çait avec peine en soufflant, se sépara de la pierre pour déraciner l’ olivier et le charger sur son dos. Le Subtil courait touj
osa la passer sans son frère. Il l’attendit et le vit venir portant l’ olivier . — Pourquoi, mon frère, pourquoi portes-tu l’oliv
venir portant l’olivier. — Pourquoi, mon frère, pourquoi portes-tu l’ olivier ? — C’est toi qui me l’as dit. — T’ai-je dit cela
st toi qui me l’as dit. — T’ai-je dit cela ? T'ai-je dit de prendre l’ olivier sur ton dos? Je t’ai crié : ‹ Prends garde à la p
rends garde à la pierre, prends garde à l’arbre... › Allons, pose ton olivier I Le Subtil lui prit la main et chercha le gué. I
et ils poursuivirent leur voyage. L’heure chaude les trouva sous les oliviers : Reskia mangea des figues et un morceau de galet
t pourtant laissé tout ce qu'elle possédait : sa maison, ses champs d’ oliviers et de figuiers, sa portion de forêt et ses bêtes.
mait. Il l'épousa. Il était riche ; il possédait de nombreux champs d’ oliviers et de figuiers, des bois, des vignobles, plusieur
retour t’en raconte un sac. Qui a bonne langue A mieux qu’un champ d' oliviers . HISTOIRE DU VIEUX LION ET DU VOL DE PERDRIX
e la plus grasse. Tl la tua. Il la dépeça et l’abandonna au pied d’un olivier . Caché derrière un gros arbre, il attendit. Un, d
urs. Que de vergers de figuiers elles traversèrent et que de champs d’ oliviers ! Que de troupeaux elles rencontrèrent I — Arrive
a été éprouvé : il vaut mieux qu’un médecin. Chant de danse Rameau d’ olivier Tout alourdi de fruits, Comment va la jeune tille
ire le bien Tant que ma tête serait en vie. J’ai planté une bouture d’ olivier Surveillant de près sa croissance. Mais au lieu d
re d’olivier Surveillant de près sa croissance. Mais au lieu d’un bel olivier , Un jujubier a poussé Qui m’a piqué comme une ron
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