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1 (1966) Le grain magique
s toujours apparue comme un arbre fruitier visité par une multitude d' oiseaux chanteurs, ces légendes et ces chants, filtrés pa
ne n’entre pas. Un nègre s’il est Jaune est perdu. Chant d'exil Petit oiseau , fils d’étourneau, Prends ton essor dis la prière
nceinte Et conte-lui ma peine Dis-lui : ‹ Ta mire chante et pleure. » Oiseau , sois vif comme le vent. Toi aux brillantes ailes
céan est entre nous. Tel est le vouloir du Créateur Que ne suis-je un oiseau , je volerais vers toi I Proverbe La tête que tu n
s fleuves, gravit les monts. Il tua des serpents dans les champs, des oiseaux en plein ciel et des fauves dans les forêts. A to
plus imposante et la cerner, l’assiéger. — Que viennent faire ici ces oiseaux de mauvais présage? demandèrent à un passant les
s en hâte et les corbeaux s’éloignèrent en vols lourds et serrés. Des oiseaux des îles firent leur apparition à toutes les fenê
r la montagne de ses chansons et de ses rires, car il était comme les oiseaux , heureux de vivre et plein d'insouciance. Un jour
comme une pierre faisait peur aux enfants qui sc sauvaient, comme des oiseaux effarouchés, dès qu’ils l’apercevaient. 'Mais il
ue des bergers l’arrêtèrent : — Pour Dieu, lui dirent-ils, tue-nous l’ oiseau de proie qui prend entre ses serres nos agneaux l
les fruits du paradis s’y trouvaient et toutes les fleurs et tous les oiseaux . Il s’écria : — Je comprends maintenant pourquoi
’éclairs et de vent. Ils étaient devenus tous trois d’une faiblesse d’ oiseau mais leur cœur battait. Ils gardaient encore un s
ement. Us atteignaient l’endroit où Mehend avait tué en plein ciel un oiseau de proie, lorsqu’ils virent, le long d’un fossé p
e, si tu voulais me suivre, De ce pays nous nous enfuirions, Avec les oiseaux nous nous envolerions Et nous atteindrions le cie
ur la terre comme sur les eaux. Quant à moi, je pars avec toi O jeune oiseau , fils de ramier. Parmi les chemins qui t'agréent
insi firent-ils jusqu’ au printemps. L’abeille se mit à bourdonner, l’ oiseau à chanter ; c’était la saison des fèves. Le père
ux, les petits os se ressoudèrent les uns aux autres. Et c’est un bel oiseau qui s’échappa du linge, un matin, pour se poser s
mière fois du petit, dit l’homme d’une voix sombre. C'est alors que l' oiseau se posa sur le toit et se mit à chanter : Ma mère
comprit. Il se leva, terrible, et marcha vers la femme. Mais alors l’ oiseau chanta à nouveau, avec la douce voix de l’enfant
tuer... Car ma sœur pleurerait, pleurerait... Et serait orpheline. L’ oiseau ne revint plus sur le toit. La mère fut pardonnée
t l’entrevoir ! Elle insista si bien que la cage fut ouverte et que l’ oiseau s'envola. — Il ne nous reste plus qu’à nous en al
outes les fleurs et où chantaient, sur des arbres fruitiers, tous les oiseaux . Dans ce jardin, Reskia se promenait de longues h
tous leurs fruits. Aîcha se trouvait dans un verger prodigieux où les oiseaux se gavaient d'abricots, de pêches, de prunes, de
leur révélerai l’existence du ruisseau et du verger aux innombrables oiseaux chanteurs ! › Elle fit basculer la pierre sous le
n cou ! Les parents se sont résignés. Mais les étrangers blasphèment. Oiseau ne vole ni ne te pose. Demeure suspendu ! Chant d
palais le plus merveilleux jardin avec les fleurs, les fruits et les oiseaux du paradis même. — Je puis, si tu le veux, dit en
ent le murmure des multiples fontaines mêlé au chant des innombrables oiseaux . Le muezzin, appelant les fidèles à la prière en
e coiffure. Mais le chant des multiples fontaines et des innombrables oiseaux , la fraîcheur de son épouse au visage de lait et
à une plaie ! Le criquet est frère de la sauterelle. Chant d’amour L’ oiseau pleure L’été est fini pour lui. Mon cœur pleure L
Proverbe Tu parles : tu es mort ; Tu te tais : tu es une fille. L’ OISEAU DE L’ORAGE Que mon conte soit beau et se dérou
l, chargea sur ses épaules la fillette et s’envola avec elle comme un oiseau sous l’orage. Il vola, il vola longtemps, loin du
lle Yamina. Mais toi, comment dois-je t’appeler? — Je suis, dit-il, l’ Oiseau de l’Orage. — Alors j’accepte, dit la fillette. E
venus des terres 'lointaines dont elle ne connaissait pas le nom. Des oiseaux , volant de branche en branche, étourdissaient Yam
ent ainsi. Dès qu’il faisait nuit noire, une brise légère annonçait l’ Oiseau de l’Orage. Il était là, tout près, et il demanda
es. Le sommeil, heureusement, ne tardait pas à venir. Mais un soir, l’ Oiseau de l'Orage surprit ce chagrin qu'il ne soupçonnai
suis une femme aujourd’hui l — Nous partirons cette nuit même, dit l’ Oiseau de l’Orage. Je te donne un mois pour jouir de ton
premières années. Mais voici que quelques jours avant le retour de l’ Oiseau de l’Orage, ses sœurs lui demandèrent : — Yamina
ent remis une petite bougie qu’elle avait glissée dans son corsage. L’ Oiseau de l’Orage éleva son épouse dans les airs, vogua
s fleurs, ni les fruits qui pendaient lourdement aux branches, ni les oiseaux , les poissons et les insectes d’or n’avaient pouv
lui annonçait chaque nuit le retour de son mari. Dès qu’elle sentit l’ Oiseau de l’Orage sur le seuil, elle voulut découvrir la
a pluie et les éclairs. Yamina parla, mais le vent couvrit sa voix. L’ Oiseau de l’Orage déchirait la nuit de ses grandes ailes
hand le lion), Louis (Seghir l’arbre de douceur), Noël (Sâdi le petit oiseau ), qui par leur mort ont fait chanter ma mère, Mar
les plaines mûriront les blés Et les fellahs n'auront plus faim. Les oiseaux chanteront encore Dans les arbres, entre les feui
e trouvent les âmes ? Nous irions ù leur recherche Et nous mêlant aux oiseaux , Nous nous élèverions en plein ciel Vers mes enfa
ie : Seghir, l’arbre de douceur A la taille flexible ; Sâdi, le petit oiseau Qui sur les branches d’un pêcher Chantait du mati
iel 203 Le chat pèlerin      211 Le foie du capuchon      217 L’ oiseau de l’orage      223 Achevé d’imprimer en févrie
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
fut bien surpris lors qu’il ne put en retrouver une seule miette, les Oiseaux étoient venus qui avoient tout mangé. Les voylà d
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