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1 (1966) Le grain magique
u ? Elle répondit : — Moi, je suis la fille de Tseriel. La fille de l’ ogresse . Ma mère est allée à la chasse ; elle ne reviendr
re à l’abri le jeune homme qu’elle entendit venir sa mère. Tseriel, l’ ogresse , marchait pesamment : Tseriel touchait à la.fois
es. Seul le plat sur lequel Loundja était assise ne se déplaça pas. L’ ogresse l’appela de nouveau. Alors la jeune fille dit : —
it la jeune fille au teint blanc comme neige et vermeil comme sang. L’ ogresse appela : — Loundja, Loundja ! Mais elle appelait
bandonnée I Mais Loundja avait changé de maître I La rivière arrêta l’ ogresse . Tseriel lui cria furieusement : — Rivière d’immo
l s’y jeta. Une vague énorme l’emporta. Mais avant d’être engloutie l’ ogresse clama une dernière fois : — Que Dieu te trahisse
t, tissèrent toutes deux jusqu’à ce qu’il n'y eut plus de fil. Mais l’ Ogresse aperçut des cordelettes. Elle s’en empara et dit
t, s’émerveillant de tant de richesses octroyées par Dieu. Tseriel, l’ ogresse , l’épiait mais il ne la voyait pas. Lorsqu’il fut
on frère car alors tu n’auras qu’à ouvrir avec douceur le ventre de l’ ogresse et à l’en retirer. Ahmed remonta sur son cheval d
d’éclairs et de vent et le lévrier. Et puis il traîna le cadavre de l’ ogresse jusqu’à la rivière et l’y jeta. Il revint alors s
le souleva, le prit dans ses bras et le porta jusqu’à la demeure de l’ ogresse . Il l’étendit avec précaution sur la couche la pl
de vent. Précédés de leurs lévriers, ils abandonnèrent le jardin de l’ ogresse , franchirent la rivière, et s’engagèrent dans la
s les acclamèrent et les accompagnèrent jusqu'au palais. — J’ai tué l’ Ogresse , annonça Ahmed au sultan. La rivière emporte son
ersaient dans leurs couffins. Or ce champ miraculeux était celui de l’ Ogresse Tseriel. Elle revint de la chasse dans l’après-mi
de cendre ? — Moi, déclara l’Innocent, je veux du couscous de blé. L’ Ogresse lui répliqua sèchement : — Tu auras du couscous d
us de cendre, je le mangerais. — Tu auras, toi, du couscous de blé. L’ Ogresse servit le dîner et ils s’installèrent tous les tr
J'ai épié le moment oit se mettraient à crier toutes les bêtes que l’ Ogresse avait avalées dans la journée. J’ai entendu à la
e jardin de Tseriel, consentit à dire le Vieux Sage. Mais, afin que l’ Ogresse ne t’avale pas, il te faudra la surprendre en tra
s avant de découvrir le jardin de Tseriel. C’était l’heure chaude ; l' Ogresse , nue jusqu’à la ceinture, les yeux clos, ses sein
qui donnent aux bienheureux qui les goûtent une éternelle jeunesse. L’ Ogresse mena le jeune homme vers un bel arbre constelle d
tendu, le figuier ne portait pas une seule figue. A l'heure chaude, l' ogresse passa. Il faisait un soleil à tuer les ânes : Tse
e, l'ogresse passa. Il faisait un soleil à tuer les ânes : Tseriel, l’ ogresse , allait boire au ruisseau qui arrosait le pied du
? Ouvre un peu ton outre pour voir ce qu’elle renferme ! Furieuse, l' ogresse jeta l’outre à terre. Le lien se brisa et les cai
ton jour et je t’attraperai. Dans l’espoir de surprendre Velâjoudh, l’ ogresse ne manquait pas de revenir chaque jour près du fi
radis de Dieu est descendu sur la terre I A l’heure chaude, survint l’ ogresse . Elle entendit Velâjoudh crier : ‹ Qui veut des f
beau se tourner et se retourner dans l’outre, il ne put échapper à l' ogresse . A peine arrivé dans sa maison, Tseriel tâta Velâ
lui la porte. Velâjoudh mangeait et 'dormait, dormait et mangeait. L’ ogresse lui donnait à boire par un petit guichet. Au bout
in, Velâjoudh mon fils I Il lui offrit le manche d’une cognée. Mais l’ ogresse déclara : — Je t’accorde encore huit jours. C’est
le collée à la porte, ne perdait pas un mot des recommandations que l’ ogresse faisait à sa fille. Tseriel sortit à l’aube. Vete
larmoyer son œil perdu. Et Velâjoudh monta sur le toit pour guetter l’ ogresse et sa suite. Il les vit s’avancer de loin, portan
et à toutes. Les ogres se réunirent autour d’un plat de couscous, les ogresses autour d’un autre et les ogrillons et ogrillonnes
la sauce, servait la viande, apportait à boire, veillait à tout. Les ogresses lui dirent : — Viens donc manger, Vetellis t H ré
du foyer, dans la cour, les troncs d'arbres et les fagots qu’ogres et ogresses avaient apportés, formaient un énorme tas. Velâjo
e au visage. Elle se courba vers le sol, les yeux en feu. Déjà ogres, ogresses , ogrillons et ogrillonnes s’élançaient à son seco
plus belle que lune et que rose .. 181 Histoire de Velâjoudh et de l’ ogresse Tseriel 203 Le chat pèlerin      211 Le foie
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ecret : il la craignoit, quoy qu’il l’aimast, car elle estoit de race ogresse , et le roi ne l’avoit épousée qu’à cause de ses g
aistre d’hôtel… — Je le veux, dit la reine (et elle le dit d’un ton d’ ogresse qui a envie de manger de la chair fraische), et j
t. » Ce pauvre homme, voyant bien qu’il ne falloit pas se joüer à une ogresse , prit son grand cousteau, et monta à la chambre d
donna, à la place du petit Jour, un petit chevreau fort tendre, que l’ ogresse trouva admirablement bon. Cela estoit fort bien a
tendit aussi la petite Aurore, qui demandoit pardon pour son frere. L’ ogresse reconnut la voix de la reine et de ses enfans, et
dire cet horrible spectacle. Personne n’osoit l’en instruire, quand l’ ogresse , enragée de voir ce qu’elle voyoit, se jeta elle-
re avoit sept filles qui n’étoient encore que des enfans. Ces petites Ogresses avoient toutes le tein fort beau, parce qu’elles
femme , va t en la haut habiller ces petits droles d’hier au soir; l’ Ogresse fut fort estonnée de la bonté de son mary, ne se
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