u ? Elle répondit : — Moi, je suis la fille de Tseriel. La fille de l’
ogresse
. Ma mère est allée à la chasse ; elle ne reviendr
re à l’abri le jeune homme qu’elle entendit venir sa mère. Tseriel, l’
ogresse
, marchait pesamment : Tseriel touchait à la.fois
es. Seul le plat sur lequel Loundja était assise ne se déplaça pas. L’
ogresse
l’appela de nouveau. Alors la jeune fille dit : —
it la jeune fille au teint blanc comme neige et vermeil comme sang. L’
ogresse
appela : — Loundja, Loundja ! Mais elle appelait
bandonnée I Mais Loundja avait changé de maître I La rivière arrêta l’
ogresse
. Tseriel lui cria furieusement : — Rivière d’immo
l s’y jeta. Une vague énorme l’emporta. Mais avant d’être engloutie l’
ogresse
clama une dernière fois : — Que Dieu te trahisse
t, tissèrent toutes deux jusqu’à ce qu’il n'y eut plus de fil. Mais l’
Ogresse
aperçut des cordelettes. Elle s’en empara et dit
t, s’émerveillant de tant de richesses octroyées par Dieu. Tseriel, l’
ogresse
, l’épiait mais il ne la voyait pas. Lorsqu’il fut
on frère car alors tu n’auras qu’à ouvrir avec douceur le ventre de l’
ogresse
et à l’en retirer. Ahmed remonta sur son cheval d
d’éclairs et de vent et le lévrier. Et puis il traîna le cadavre de l’
ogresse
jusqu’à la rivière et l’y jeta. Il revint alors s
le souleva, le prit dans ses bras et le porta jusqu’à la demeure de l’
ogresse
. Il l’étendit avec précaution sur la couche la pl
de vent. Précédés de leurs lévriers, ils abandonnèrent le jardin de l’
ogresse
, franchirent la rivière, et s’engagèrent dans la
s les acclamèrent et les accompagnèrent jusqu'au palais. — J’ai tué l’
Ogresse
, annonça Ahmed au sultan. La rivière emporte son
ersaient dans leurs couffins. Or ce champ miraculeux était celui de l’
Ogresse
Tseriel. Elle revint de la chasse dans l’après-mi
de cendre ? — Moi, déclara l’Innocent, je veux du couscous de blé. L’
Ogresse
lui répliqua sèchement : — Tu auras du couscous d
us de cendre, je le mangerais. — Tu auras, toi, du couscous de blé. L’
Ogresse
servit le dîner et ils s’installèrent tous les tr
J'ai épié le moment oit se mettraient à crier toutes les bêtes que l’
Ogresse
avait avalées dans la journée. J’ai entendu à la
e jardin de Tseriel, consentit à dire le Vieux Sage. Mais, afin que l’
Ogresse
ne t’avale pas, il te faudra la surprendre en tra
s avant de découvrir le jardin de Tseriel. C’était l’heure chaude ; l'
Ogresse
, nue jusqu’à la ceinture, les yeux clos, ses sein
qui donnent aux bienheureux qui les goûtent une éternelle jeunesse. L’
Ogresse
mena le jeune homme vers un bel arbre constelle d
tendu, le figuier ne portait pas une seule figue. A l'heure chaude, l'
ogresse
passa. Il faisait un soleil à tuer les ânes : Tse
e, l'ogresse passa. Il faisait un soleil à tuer les ânes : Tseriel, l’
ogresse
, allait boire au ruisseau qui arrosait le pied du
? Ouvre un peu ton outre pour voir ce qu’elle renferme ! Furieuse, l'
ogresse
jeta l’outre à terre. Le lien se brisa et les cai
ton jour et je t’attraperai. Dans l’espoir de surprendre Velâjoudh, l’
ogresse
ne manquait pas de revenir chaque jour près du fi
radis de Dieu est descendu sur la terre I A l’heure chaude, survint l’
ogresse
. Elle entendit Velâjoudh crier : ‹ Qui veut des f
beau se tourner et se retourner dans l’outre, il ne put échapper à l'
ogresse
. A peine arrivé dans sa maison, Tseriel tâta Velâ
lui la porte. Velâjoudh mangeait et 'dormait, dormait et mangeait. L’
ogresse
lui donnait à boire par un petit guichet. Au bout
in, Velâjoudh mon fils I Il lui offrit le manche d’une cognée. Mais l’
ogresse
déclara : — Je t’accorde encore huit jours. C’est
le collée à la porte, ne perdait pas un mot des recommandations que l’
ogresse
faisait à sa fille. Tseriel sortit à l’aube. Vete
larmoyer son œil perdu. Et Velâjoudh monta sur le toit pour guetter l’
ogresse
et sa suite. Il les vit s’avancer de loin, portan
et à toutes. Les ogres se réunirent autour d’un plat de couscous, les
ogresses
autour d’un autre et les ogrillons et ogrillonnes
la sauce, servait la viande, apportait à boire, veillait à tout. Les
ogresses
lui dirent : — Viens donc manger, Vetellis t H ré
du foyer, dans la cour, les troncs d'arbres et les fagots qu’ogres et
ogresses
avaient apportés, formaient un énorme tas. Velâjo
e au visage. Elle se courba vers le sol, les yeux en feu. Déjà ogres,
ogresses
, ogrillons et ogrillonnes s’élançaient à son seco
plus belle que lune et que rose .. 181 Histoire de Velâjoudh et de l’
ogresse
Tseriel 203 Le chat pèlerin 211 Le foie