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1 (1966) Le grain magique
rd de sa fenttre, Toi qui connais ma nostalgie : La jeune fille a des yeux de soie noire / LOU ND JA, FILLE DE TSERIEL
; Au soir, il déçoit. Marche en suivant tes pieds Non en suivant tes yeux . Qui a chanté tes louanges, ô jeune épousée ? — C
t que je me pomponne I Un peu de rouge aux lèvres, un peu de noir aux yeux , et je précède mon seigneur I Mon conte est comme
acelet, un serpent. Elle poussa un cri. Il dressa la tête, ouvrit des yeux comme des étoiles et la regarda.-11 regarda la pe
nts ni celui de mon village. Le serpent qui ne pouvait reparaître aux yeux des humains se tut. Il réfléchit longuement, prom
bras le septième enfant aux cheveux d’or. La princesse cherchait des yeux le serpent. Alors le vieillard s’avança et lui di
bien s'en est allé Il m'a laissée. Proverbes Tu as beau m'être cher, œil . Le sourcil est au-dessus de toi. Vois une femme
sa fille. Tombe la pluie Dans la brume et le vent O maître du champ, Œil de tourterelle ! Proverbes Le travail à trois ne
conté à des Seigneurs 1 L’orphelin est sur une natte Et il fait de l' œil aux dames ! Une pierre est au-dessus de nous : Qu
comme des grenades. Et chaque fois que la marâtre posait sur eux ses yeux , elle se sentait mourir de jalousie. Aussi, un so
grand couteau et s'approcha de la gazelle. Mais elle le regarda, les yeux pleins de larmes. Le domestique revint vers sa ma
urmura : — Si Settoute, la sorcière, venait et faisait cuire sous mes yeux de la soupe de semoule, je guérirais. Une négress
œur navré, ils le laissèrent s'éloigner et le suivirent longtemps des yeux . Mehend, comme une flèche, se dirigea vers l’Orie
ois, des années passèrent ainsi. Mehend était un beau jeune homme aux yeux limpides, aux cheveux couleur de maïs. Son compag
e taille imposante. Son front semblait se perdre dans les nues et ses yeux étaient d’un noir si brillant qu’il était impossi
étrangers?... C’est la demeure de notre seigneur qui est là sous vos yeux . A ses fenêtres, à ses murs et à ses portes sont
nés. La pleine lune éclairait merveilleusement la forêt. Soudain, les yeux du veilleur rencontrèrent, à l’entrée de la caver
forte fièvre, j’assurai ma mère que si la sorcière préparait sous mes yeux de la soupe de semoule je guérirais. Elle vint pa
ées de neige. Et l’enfant, ainsi bercé, s’endormait doucement, sous l’ œil malveillant de son frère. Non que la mère n’aimât
s ânes, n'empêchait pas son teint d'être transparent et frais, ni ses yeux d’être aussi verts et luisants que l’herbe des pr
la grâce. Le pire et la mire avaient perdu d'un coup la joie de leurs yeux . La maison qui reflétait la bonne humeur et la cl
umeaux qui se ressemblaient absolument : même chevelure blonde, mêmes yeux bleus, même teint blanc, même taille. L’un s’appe
r en rugissant. Il le laissa approcher et le visa au front, entre les yeux . Le lion s’écroula et le jeune homme reçut une no
nt eux comme l’éclair. Il voyagea, il voyagea la nuit et le jour, les yeux attachés sur son lévrier qui semblait voler tant
nnai ma fille aux cheveux de soie, mon unique fille aussi chère à mes yeux que le haut-ciel et plus chère que mon royaume et
ent dans son nez. Ahmed le vit revenir à la vie, ouvrir doucement les yeux . De la même manière, il ranima le cheval d’éclair
s. Proverbes Au pays des aveugles Le chassieux est appelé l’homme aux yeux clairs. Toi pioche, et moi je halèterai. Le mari
mets qu’on lui a offert Et il a cassé le plat ! Comme qui ferait de l’ œil à une jarre pleine de grain. MA MERE M’A ÉGORGÉ M
! Ma mère. J'ai mal au pied I Aoulêlam Pousse et berce I La tille aux yeux bleus A volé tout le sel I Aoulêlam I La soupe au
y engouffre Comme sangliers I Aoulêlam Pousse et berce I La fille aux yeux bleus A volé tout le sel I Aoulêlam ! Le fleuve l
t ! Arrêtezle O Aïth Hennit l Aoulêlam Pousse et berce ! La fille aux yeux bleus A volé tout le sel I Proverbes La puce ne r
es dota de cet unique enfant. Ils l’appelèrent Mehend et vécurent les yeux fixés sur lui. Dieu régnait dans le ciel et l'enf
iel. C’était l’heure chaude ; l'Ogresse, nue jusqu’à la ceinture, les yeux clos, ses seins rejetés sur l’épaule, était en tr
op ouvertes Qu'importe ? Il gardera des agnelles, Le petit prince aux yeux noirs. Viens, viens sommeil T'endormir près de lu
son chevet, elle attendit patiemment son réveil. Le roi n’ouvrit les yeux que vers le soir. Il dit : — Où suis-je ? Et qui
ête Psalmodiez pour lui les chants rituels, Que sa mère lui terme les yeux . (Il n’est pas d'autre Dieu qu’Allah.) La mort a
vait un homme qui possédait une perdrix, une perdrix plus chère à ses yeux que tout au monde. Plus chère que sa femme et que
der chez nous : elle nous couvrirait de honte. Elle nous salirait aux yeux des voisins et nous n’oserions plus nous adresser
lair et sa bouche comme la grenade se remit à rire. Elle retrouva ses yeux brillants et ses cheveux soyeux, ses yeux que nul
t à rire. Elle retrouva ses yeux brillants et ses cheveux soyeux, ses yeux que nul ne pouvait voir sans en rêver ensuite et
une amulette d’argent Le bien-aimé repose au fond d'une tombe; O mes yeux , emplissez-vous de sang I Proverbes Comme les rat
e l’homme Se tiennent sur le seuil. C’est depuis que je me soigne les yeux Que je n’y vois goutte. Chant de danse Branche de
tenait à l’écart, appuyée contre un arbre : elle ne quittait pas des yeux son père. Arriva le moment de se mettre à l'ouvra
sacrifier aussi. H s’approcha d’elle, mais elle lui dit, baissant les yeux : — Mon père, éloigne-toi un instant je te prie,
entre ses doigts par un trou minuscule. L’enfant y colla vivement son œil et vit un feu qui brûlait au centre d’une grande
e ? Je sens une présence dans ma demeure. Aicha retira prudemment son œil et s’éloigna, laissant le chat gronder sa queue q
queue. Mais brus- «quement l’humeur de Moche devenait orageuse et ses yeux étincelaient. Il disait alors à sa queue d’un ton
ître. Il la prit résolument entre ses griffes et lui dit, dardant ses yeux sur elle : — Me diras-tu cette fois qui ose, en m
mbrables oiseaux chanteurs ! › Elle fit basculer la pierre sous leurs yeux étonnés. Un flot de soleil balaya le repaire et l
erra le cœur. Quelle était cette cité morte qui s’étendait sous leurs yeux ? Tandis qu’elles avançaient médusées, elles aperç
ire : — Qui êtes-vous, belles jeunes filles aux joues fraîches et aux yeux transparents qui vous aventurez dans la ville que
toutes parts par les mouches du remords, j'allais vers le désert, les yeux brûlés par les chemins crayeux et les larmes vain
tailleur s’éveilla et lui fit une tunique. Le poète enfin ouvrit les yeux et aperçut près de lui cette poupée habillée. Il
le retenir par ses larmes. 11 s’éloigna. Elle le suivit longtemps des yeux . Il alla. Il alla sur son cheval noir. Un berger
in du repas, fut grandement déçu de lui voir la mine florissante et l’ œil vif. — N’avais-je pas ordonné qu’on empoisonnât t
ant de joie, il appela ses serviteurs et leur commanda d’arracher les yeux à Cheikh Smain et de les lui mettre dans ses poch
il faut les traiter sans pitié. Maudit soit le père qui a arraché les yeux du meilleur des princes et l’a conduit dans la fo
dans la forêt pour servir de pâture aux fauves I — Cheikh Smaïn a ses yeux dans ses poches, répondit gravement le vieil aigl
au-dessus de ses paupières. Alors, délicatement qu’il remette chaque œil à sa place et qu’il attende. Au bout d’un instant
qu’il en eut pressé le jus dans ses orbites, il prit délicatement ses yeux et replaça le gauche à gauche, et le droit à droi
uves de la forêt notre beau prince, après lui avoir fait arracher les yeux , ne lui suffit pas. Voici maintenant qu’il convoi
e me réduire. Tu m’as eu donc à ta merci et tu m’as fait arracher les yeux . Tu m'as livré en pâture aux fauves, moi ton fils
mpe à midi. J’ai pris un chat pour qu’il me tienne compagnie : Et ses yeux menaçants me lancent des éclairs. N'enlève pas la
chez sa tante. Le lendemain, elle ramena Vetellis. Vetellis avait un œil blanc. La veille du grand jour, Tseriel se tourna
'épices dans la sauce. Lorsque tout fut prêt, comme Vetellis avait un œil blanc, Velâjoudh, pour n’être pas reconnu, se mit
il blanc, Velâjoudh, pour n’être pas reconnu, se mit un bandeau sur l’ œil : il prétexterait que la fumée faisait larmoyer s
bandeau sur l’œil : il prétexterait que la fumée faisait larmoyer son œil perdu. Et Velâjoudh monta sur le toit pour guette
e feu et s’enfuir. A cet instant, une ogrillonne en mangeant trouva l’ œil blanc de Vetellis. Elle tira sa mère par le bras
Vetellis. Elle tira sa mère par le bras et lui chuchota : — Maman, l’ œil de cousine Vetellis ! — Mange donc ! lui répliqua
Mais l’ogrillonne reprit en élevant la voix : — Je te dis que c’est l’ œil de cousine Vetellis ! L’œil passa de main en main
élevant la voix : — Je te dis que c’est l’œil de cousine Vetellis ! L’ œil passa de main en main. Et chacun dit : —C’est l’œ
sine Vetellis ! L’œil passa de main en main. Et chacun dit : —C’est l’ œil de Vetellis ! Velâjoudh prit alors une poignée de
jeta la poignée -de poivre au visage. Elle se courba vers le sol, les yeux en feu. Déjà ogres, ogresses, ogrillons et ogrill
ugirent leurs lèvres à l'écorce de noyer. Elles se mirent du noir aux yeux , du rose aux joues. Elles sortirent des coffres l
de fils, de qui elle ne recevait que rebuffades, Gida Nana, dont les yeux clairs lisaient en toutes choses et dans les cœur
t méchant m’a jeté. Jusque-là, enfant, tu ne verras mon visage ni mes yeux . Je coucherai cependant près de toi mais sans que
bien au cœur du paradis terrestre. Elle n’avait pas trop de ses deux yeux pour tout admirer. Il y avait là tous les fruits
épouse ma tristesse, éloigne-toi. Mon cœur gémit, mon cœur pleure Les yeux de l’aigle qui n’est plus : Je ne me résignerai j
ui d'un coup l’a déraciné Et l'a couché en plein exil. Je pleure, mes yeux n'ont pas de répit. Soir et matin je pleure Les e
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
incarnates, et ses lévres comme du corail ; elle avoit seulement les yeux fermez, mais on l’entendoit respirer doucement :
ement estoit venuë, la princesse s’éveilla, et, le regardant avec des yeux plus tendres qu’une premiere veuë ne sembloit le
mieux écouter, mon enfant ! — Ma mere-grand, que vous avez de grands yeux ! — C’est pour mieux voir, mon enfant ! — Ma mere
l’heure. — Puis qu’il faut mourir, répondit-elle en le regardant les yeux baignez de larmes, donnez moy un peu de temps pou
este. La pauvre femme, se tournant vers luy, et le regardant avec des yeux mourans, le pria de luy donner un petit moment po
vitesse Gagne le cœur d’une princesse Et s’en fait regarder avec des yeux mourans, C’est que l’habit, la mine et la jeuness
in l’heureux jour arriva ; on partit, & Cendrillon les ſuivit des yeux le plus longtemps qu’elle put ; lorſqu’elle ne le
s longtemps à revenir, leur dit-elle, en bâillant, en ſe frottant les yeux , & en s’étendant comme ſi elle n’euſt fait qu
ts augmenterent beaucoup avec l’âge. La cadette enlaidissoit à veuë d’ œil , et l’aisnée devenoit plus stupide de jour en jou
pas plustost prononcé ces paroles que Riquet à la Houppe parut, à ses yeux , l’homme du monde le plus beau, le mieux fait et
s qu’un certain air penché qui la charmoit. Ils disent encore que ses yeux , qui estoient louches, ne luy en parurent que plu
nourir nos enfans ; je ne sçaurois les voir mourir de faim devant mes yeux , et je suis resolu de les mener perdre demain au
us les Ogres, qui bien loin d’avoir de la pitié les dévoroit déjà des yeux , et disoit à sa femme que ce seroient là de frian
nt de la chair fraîche comme leur pere ; mais elles avoient de petits yeux gris et tout ronds, le nez crochu et une fort gra
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