rd de sa fenttre, Toi qui connais ma nostalgie : La jeune fille a des
yeux
de soie noire / LOU ND JA, FILLE DE TSERIEL
; Au soir, il déçoit. Marche en suivant tes pieds Non en suivant tes
yeux
. Qui a chanté tes louanges, ô jeune épousée ? — C
t que je me pomponne I Un peu de rouge aux lèvres, un peu de noir aux
yeux
, et je précède mon seigneur I Mon conte est comme
acelet, un serpent. Elle poussa un cri. Il dressa la tête, ouvrit des
yeux
comme des étoiles et la regarda.-11 regarda la pe
nts ni celui de mon village. Le serpent qui ne pouvait reparaître aux
yeux
des humains se tut. Il réfléchit longuement, prom
bras le septième enfant aux cheveux d’or. La princesse cherchait des
yeux
le serpent. Alors le vieillard s’avança et lui di
bien s'en est allé Il m'a laissée. Proverbes Tu as beau m'être cher,
œil
. Le sourcil est au-dessus de toi. Vois une femme
sa fille. Tombe la pluie Dans la brume et le vent O maître du champ,
Œil
de tourterelle ! Proverbes Le travail à trois ne
conté à des Seigneurs 1 L’orphelin est sur une natte Et il fait de l'
œil
aux dames ! Une pierre est au-dessus de nous : Qu
comme des grenades. Et chaque fois que la marâtre posait sur eux ses
yeux
, elle se sentait mourir de jalousie. Aussi, un so
grand couteau et s'approcha de la gazelle. Mais elle le regarda, les
yeux
pleins de larmes. Le domestique revint vers sa ma
urmura : — Si Settoute, la sorcière, venait et faisait cuire sous mes
yeux
de la soupe de semoule, je guérirais. Une négress
œur navré, ils le laissèrent s'éloigner et le suivirent longtemps des
yeux
. Mehend, comme une flèche, se dirigea vers l’Orie
ois, des années passèrent ainsi. Mehend était un beau jeune homme aux
yeux
limpides, aux cheveux couleur de maïs. Son compag
e taille imposante. Son front semblait se perdre dans les nues et ses
yeux
étaient d’un noir si brillant qu’il était impossi
étrangers?... C’est la demeure de notre seigneur qui est là sous vos
yeux
. A ses fenêtres, à ses murs et à ses portes sont
nés. La pleine lune éclairait merveilleusement la forêt. Soudain, les
yeux
du veilleur rencontrèrent, à l’entrée de la caver
forte fièvre, j’assurai ma mère que si la sorcière préparait sous mes
yeux
de la soupe de semoule je guérirais. Elle vint pa
ées de neige. Et l’enfant, ainsi bercé, s’endormait doucement, sous l’
œil
malveillant de son frère. Non que la mère n’aimât
s ânes, n'empêchait pas son teint d'être transparent et frais, ni ses
yeux
d’être aussi verts et luisants que l’herbe des pr
la grâce. Le pire et la mire avaient perdu d'un coup la joie de leurs
yeux
. La maison qui reflétait la bonne humeur et la cl
umeaux qui se ressemblaient absolument : même chevelure blonde, mêmes
yeux
bleus, même teint blanc, même taille. L’un s’appe
r en rugissant. Il le laissa approcher et le visa au front, entre les
yeux
. Le lion s’écroula et le jeune homme reçut une no
nt eux comme l’éclair. Il voyagea, il voyagea la nuit et le jour, les
yeux
attachés sur son lévrier qui semblait voler tant
nnai ma fille aux cheveux de soie, mon unique fille aussi chère à mes
yeux
que le haut-ciel et plus chère que mon royaume et
ent dans son nez. Ahmed le vit revenir à la vie, ouvrir doucement les
yeux
. De la même manière, il ranima le cheval d’éclair
s. Proverbes Au pays des aveugles Le chassieux est appelé l’homme aux
yeux
clairs. Toi pioche, et moi je halèterai. Le mari
mets qu’on lui a offert Et il a cassé le plat ! Comme qui ferait de l’
œil
à une jarre pleine de grain. MA MERE M’A ÉGORGÉ M
! Ma mère. J'ai mal au pied I Aoulêlam Pousse et berce I La tille aux
yeux
bleus A volé tout le sel I Aoulêlam I La soupe au
y engouffre Comme sangliers I Aoulêlam Pousse et berce I La fille aux
yeux
bleus A volé tout le sel I Aoulêlam ! Le fleuve l
t ! Arrêtezle O Aïth Hennit l Aoulêlam Pousse et berce ! La fille aux
yeux
bleus A volé tout le sel I Proverbes La puce ne r
es dota de cet unique enfant. Ils l’appelèrent Mehend et vécurent les
yeux
fixés sur lui. Dieu régnait dans le ciel et l'enf
iel. C’était l’heure chaude ; l'Ogresse, nue jusqu’à la ceinture, les
yeux
clos, ses seins rejetés sur l’épaule, était en tr
op ouvertes Qu'importe ? Il gardera des agnelles, Le petit prince aux
yeux
noirs. Viens, viens sommeil T'endormir près de lu
son chevet, elle attendit patiemment son réveil. Le roi n’ouvrit les
yeux
que vers le soir. Il dit : — Où suis-je ? Et qui
ête Psalmodiez pour lui les chants rituels, Que sa mère lui terme les
yeux
. (Il n’est pas d'autre Dieu qu’Allah.) La mort a
vait un homme qui possédait une perdrix, une perdrix plus chère à ses
yeux
que tout au monde. Plus chère que sa femme et que
der chez nous : elle nous couvrirait de honte. Elle nous salirait aux
yeux
des voisins et nous n’oserions plus nous adresser
lair et sa bouche comme la grenade se remit à rire. Elle retrouva ses
yeux
brillants et ses cheveux soyeux, ses yeux que nul
t à rire. Elle retrouva ses yeux brillants et ses cheveux soyeux, ses
yeux
que nul ne pouvait voir sans en rêver ensuite et
une amulette d’argent Le bien-aimé repose au fond d'une tombe; O mes
yeux
, emplissez-vous de sang I Proverbes Comme les rat
e l’homme Se tiennent sur le seuil. C’est depuis que je me soigne les
yeux
Que je n’y vois goutte. Chant de danse Branche de
tenait à l’écart, appuyée contre un arbre : elle ne quittait pas des
yeux
son père. Arriva le moment de se mettre à l'ouvra
sacrifier aussi. H s’approcha d’elle, mais elle lui dit, baissant les
yeux
: — Mon père, éloigne-toi un instant je te prie,
entre ses doigts par un trou minuscule. L’enfant y colla vivement son
œil
et vit un feu qui brûlait au centre d’une grande
e ? Je sens une présence dans ma demeure. Aicha retira prudemment son
œil
et s’éloigna, laissant le chat gronder sa queue q
queue. Mais brus- «quement l’humeur de Moche devenait orageuse et ses
yeux
étincelaient. Il disait alors à sa queue d’un ton
ître. Il la prit résolument entre ses griffes et lui dit, dardant ses
yeux
sur elle : — Me diras-tu cette fois qui ose, en m
mbrables oiseaux chanteurs ! › Elle fit basculer la pierre sous leurs
yeux
étonnés. Un flot de soleil balaya le repaire et l
erra le cœur. Quelle était cette cité morte qui s’étendait sous leurs
yeux
? Tandis qu’elles avançaient médusées, elles aperç
ire : — Qui êtes-vous, belles jeunes filles aux joues fraîches et aux
yeux
transparents qui vous aventurez dans la ville que
toutes parts par les mouches du remords, j'allais vers le désert, les
yeux
brûlés par les chemins crayeux et les larmes vain
tailleur s’éveilla et lui fit une tunique. Le poète enfin ouvrit les
yeux
et aperçut près de lui cette poupée habillée. Il
le retenir par ses larmes. 11 s’éloigna. Elle le suivit longtemps des
yeux
. Il alla. Il alla sur son cheval noir. Un berger
in du repas, fut grandement déçu de lui voir la mine florissante et l’
œil
vif. — N’avais-je pas ordonné qu’on empoisonnât t
ant de joie, il appela ses serviteurs et leur commanda d’arracher les
yeux
à Cheikh Smain et de les lui mettre dans ses poch
il faut les traiter sans pitié. Maudit soit le père qui a arraché les
yeux
du meilleur des princes et l’a conduit dans la fo
dans la forêt pour servir de pâture aux fauves I — Cheikh Smaïn a ses
yeux
dans ses poches, répondit gravement le vieil aigl
au-dessus de ses paupières. Alors, délicatement qu’il remette chaque
œil
à sa place et qu’il attende. Au bout d’un instant
qu’il en eut pressé le jus dans ses orbites, il prit délicatement ses
yeux
et replaça le gauche à gauche, et le droit à droi
uves de la forêt notre beau prince, après lui avoir fait arracher les
yeux
, ne lui suffit pas. Voici maintenant qu’il convoi
e me réduire. Tu m’as eu donc à ta merci et tu m’as fait arracher les
yeux
. Tu m'as livré en pâture aux fauves, moi ton fils
mpe à midi. J’ai pris un chat pour qu’il me tienne compagnie : Et ses
yeux
menaçants me lancent des éclairs. N'enlève pas la
chez sa tante. Le lendemain, elle ramena Vetellis. Vetellis avait un
œil
blanc. La veille du grand jour, Tseriel se tourna
'épices dans la sauce. Lorsque tout fut prêt, comme Vetellis avait un
œil
blanc, Velâjoudh, pour n’être pas reconnu, se mit
il blanc, Velâjoudh, pour n’être pas reconnu, se mit un bandeau sur l’
œil
: il prétexterait que la fumée faisait larmoyer s
bandeau sur l’œil : il prétexterait que la fumée faisait larmoyer son
œil
perdu. Et Velâjoudh monta sur le toit pour guette
e feu et s’enfuir. A cet instant, une ogrillonne en mangeant trouva l’
œil
blanc de Vetellis. Elle tira sa mère par le bras
Vetellis. Elle tira sa mère par le bras et lui chuchota : — Maman, l’
œil
de cousine Vetellis ! — Mange donc ! lui répliqua
Mais l’ogrillonne reprit en élevant la voix : — Je te dis que c’est l’
œil
de cousine Vetellis ! L’œil passa de main en main
élevant la voix : — Je te dis que c’est l’œil de cousine Vetellis ! L’
œil
passa de main en main. Et chacun dit : —C’est l’œ
sine Vetellis ! L’œil passa de main en main. Et chacun dit : —C’est l’
œil
de Vetellis ! Velâjoudh prit alors une poignée de
jeta la poignée -de poivre au visage. Elle se courba vers le sol, les
yeux
en feu. Déjà ogres, ogresses, ogrillons et ogrill
ugirent leurs lèvres à l'écorce de noyer. Elles se mirent du noir aux
yeux
, du rose aux joues. Elles sortirent des coffres l
de fils, de qui elle ne recevait que rebuffades, Gida Nana, dont les
yeux
clairs lisaient en toutes choses et dans les cœur
t méchant m’a jeté. Jusque-là, enfant, tu ne verras mon visage ni mes
yeux
. Je coucherai cependant près de toi mais sans que
bien au cœur du paradis terrestre. Elle n’avait pas trop de ses deux
yeux
pour tout admirer. Il y avait là tous les fruits
épouse ma tristesse, éloigne-toi. Mon cœur gémit, mon cœur pleure Les
yeux
de l’aigle qui n’est plus : Je ne me résignerai j
ui d'un coup l’a déraciné Et l'a couché en plein exil. Je pleure, mes
yeux
n'ont pas de répit. Soir et matin je pleure Les e