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1 (1966) Le grain magique
taient et pleuraient avec elle. Le septième seul, qui était sourd, se nourrissait et profitait. Aussi les six chameaux devinrent-il
in de celui qu'elle aimait. Il avait souffert de la faim : elle ne le nourrit que de viande grillée, d’œufs, de miel, de beurre
me le Dieu des morts en a peur. Sois la bienvenue, fine beauté Qui te nourris dans les jardins I Tu as picoré du millet Et puis
a forêt. Il se rapprocha des bêtes, se mit à vivre à leur façon, à se nourrir de chair et de sang. Mais si son corps était celu
les olives et recevait de l’huile en échange. Elle parvenait ainsi à nourrir et à élever ses sept enfants. Quelques-uns la sec
de l’âne qui ne progressent pas en beauté. On eût dit que sa mère la nourrissait de poison. Djohra poussa tant bien que mal, néanm
rête aux coups. Chant religieux Le Cheikh Mohand Quel Houssine Ramier nourri sur les remparts Allant prier près d'une source.
i était bon, ils le lui donnaient s’ils en avaient le pouvoir. Ils le nourrissaient mieux qu’un petit prince et veillaient jalousemen
encore vivant I II portait une blessure. La jeune femme le soigna, le nourrit . La jeune femme lui tint compagnie et ne referma
'à toi. Le long du chemin que tu devras parcourir, d’étape en étape, nourris -le d'un peu de moelle et écrie-toi : ‹ O joie, mo
e s'émerveilla de le voir droit sur ses petites jambes. Alors elle le nourrit d’un peu de moelle et poursuivit son voyage. Elle
re mère, abrite-nous au nom de Dieu 1 Elle leur ouvrit sa maison, les nourrit de couscous, de lait et de fruits et leur prépara
e porta dans ses bras durant des jours et des jours. Elle l'éleva, le nourrit de la moelle que la lapine avait retirée des os m
e n’y vois goutte. Chant de danse Branche de laurier-rose. Toi qui te nourris d'ombre, Demande au jeune homme Si je suis oublié
ieuse. Mais l’enfant ne fit aucune autre découverte. Les fillettes se nourrirent durant quelques jours de friandises et de beignet
s cris de joie des sept petites filles. Et tout l’été Aîcha put ainsi nourrir ses sœurs. — Ma fève ou j’éteins le feu ! menaçai
ous s'avance la mort. Ma mère, le fleuve m'a emportée. Proverbes I! a nourri un serpent pour qu'il s’enroule autour de son cou
ient paître, l’été, les troupeaux dans la montagne. Agneaux et cabris nourrissaient en partie cette maison que l’on enviait à la rond
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