des femmes blanches. Prends garde de te baigner dans la fontaine des
noires
ou de boire de son eau I Tu serais changée en nég
blanches et s'y baigna. La jeune fille s’approcha de la fontaine des
noires
, y but et s’y plongea. Puis, comme elle allait mo
ux fon taines : je me suis trompée. Je me suis baignée dans l’eau des
noires
et j’ai perdu le Grain qui me refait à ma mère. L
dans l’eau des femmes blanches est devenue blanche et je suis devenue
noire
. Mais c’est moi qui suis votre sœur. › ♦ Le plus
nds ton essor dis la prière de l’aube Vers la jeune tille aux franges
noires
. Pose-toi sur le mur d’enceinte Et conte-lui ma p
tre, Toi qui connais ma nostalgie : La jeune fille a des yeux de soie
noire
/ LOU ND JA, FILLE DE TSERIEL Que mon conte
es franges. Elle est verte comme le fiel, Maligne comme une guenon Et
noire
comme le corbeau. HISTOIRE DE LA GRENOUILLE
oint maudit. Après avoir été tout blanc, tu ne serais pas devenu tout
noir
et tu ne sentirais pas la pourriture I Le Corbeau
Un instant que je me pomponne I Un peu de rouge aux lèvres, un peu de
noir
aux yeux, et je précède mon seigneur I Mon conte
eik Mohand Ouel Houssine Dont la piété embaume comme un grain d’ambre
noir
. Disparut en allant à la source prier. Ses fidèle
s la Mecque. Ceux qui l’ont rencontré sont venus témoigner. Proverbes
Noire
et camuse. Aveugle et grêlée. Tu as laissé ton bi
. Son front semblait se perdre dans les nues et ses yeux étaient d’un
noir
si brillant qu’il était impossible d’en soutenir
nt les paupières et ouvrit sa bouche toute grande : une longue vipère
noire
en sortit qui disparut en fumée (c’était la mécha
et d’innombrables présents. Et Mehend, bercé par le pas de son cheval
noir
, savourait en chemin la joie qu’il apportait à se
a poudre tandis que Mehend, embrasé d'impatience, pressait son cheval
noir
, criant à son interminable escorte de se hâter, c
: « J’ai entendu » Ne vous moquez pas, c’est contagieux I Chanson des
Noirs
Selma m’a dit Mohand mon frère Rapporte-moi de l’
er au bord du fleuve, Manger ses fruits vous rend heureux. La marmite
noire
de suie N’a rien à envier au couscoussier. Comme
ns le cœur de l’aîné et grandit comme une méchante plante épineuse et
noire
. Les hivers et les printemps, les étés et les aut
uiers et d’oliviers bordaient le chemin qu’ils suivaient : une chèvre
noire
les y attendait ; autour d'elle broutaient des ch
’ai-je pas dit que du bien ne pouvait te venir de cette femme au cœur
noir
? Comment peux-tu être encore ébloui par son visag
crois-moi, de dormir seul toutes les nuits dans cette fosse humide et
noire
comme une tombe ! La jeune femme attendit que l’O
t en silence côte à côte, dans le crépuscule, et arrivèrent à la nuit
noire
. La maison était là, derrière une haie d’aloès. M
ets. Autour d’eux, plusieurs lampes brûlaient. La jeune femme au cœur
noir
s’était parée pour cette fête : Elle avait revêtu
vertes Qu'importe ? Il gardera des agnelles, Le petit prince aux yeux
noirs
. Viens, viens sommeil T'endormir près de lui ; Qu
nt le long de son tronc et se cachèrent entre ses branches. A la nuit
noire
, les fauves se rassemblèrent et se massèrent au p
en elle l’idée maléfique qu’elle poursuivait, car la marâtre au cœur
noir
n’avait pas désarmé. Un matin, elle se leva légèr
a. Elle le suivit longtemps des yeux. Il alla. Il alla sur son cheval
noir
. Un berger le rencontra : — Berger, n’as-tu pas r
rte et tu n’auras qu’à la prendre au vol et à la confier à ton cheval
noir
. Roundja plus belle que lune et que rose ne tarda
s. Cheikh Smaïn put remonter paisiblement avec Roundja sur son cheval
noir
, suivi du nègre qui faisait bonne garde. Ils allè
er. Cheikh Smaïn parut, la fit asseoir près de Roundja sur son cheval
noir
, et poursuivit son voyage, toujours accompagné de
■Le prince, maintenant, approchait de son royaume. A peine son cheval
noir
en eût-il foulé le sol, que le nègre reprit la fo
ouissante beauté. Tandis qu’il les tenait toutes trois sur son cheval
noir
, entrant avec elles dans sa ville natale, la plus
pauvre mendiant est mort sur le champ : nous l’avons vu devenir tout
noir
et tournoyer sur lui-même sans pouvoir le secouri
elles rougirent leurs lèvres à l'écorce de noyer. Elles se mirent du
noir
aux yeux, du rose aux joues. Elles sortirent des
bles disputes. La mère disait-elle blanc, immédiatement la bru disait
noir
et, tiraillé entre ces deux furies, le pauvre hom
je m'éloignerai chaque jour avant l'aube pour ne revenir qu’à la nuit
noire
. Si tu acceptes ces conditions, si tu promets de
urs, des semaines et des mois passèrent ainsi. Dès qu’il faisait nuit
noire
, une brise légère annonçait l’Oiseau de l’Orage.
œur. On eût dit qu'il fendait de ses grandes ailes des nappes de soie
noire
, n vola, il vola. Un peu avant l’aube, il déposa
ue nos parents l’aient vu ? Est-il grand, est-il blanc comme neige ou
noir
comme corbeau ? Parle. Est-il jeune, est-il vieux
eveux sont comme l’aile du corbeau Ses prunelles et ses sourcils plus
noirs
encore, Et ses grands cils recourbés. Sa chair es
a cruche Quand je vais à la fontaine I Entre le crépuscule et la nuit
noire
Je te rendrais ta forme humaine ! Chant d’amour C