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1 (1966) Le grain magique
des femmes blanches. Prends garde de te baigner dans la fontaine des noires ou de boire de son eau I Tu serais changée en nég
blanches et s'y baigna. La jeune fille s’approcha de la fontaine des noires , y but et s’y plongea. Puis, comme elle allait mo
ux fon taines : je me suis trompée. Je me suis baignée dans l’eau des noires et j’ai perdu le Grain qui me refait à ma mère. L
dans l’eau des femmes blanches est devenue blanche et je suis devenue noire . Mais c’est moi qui suis votre sœur. › ♦ Le plus
nds ton essor dis la prière de l’aube Vers la jeune tille aux franges noires . Pose-toi sur le mur d’enceinte Et conte-lui ma p
tre, Toi qui connais ma nostalgie : La jeune fille a des yeux de soie noire / LOU ND JA, FILLE DE TSERIEL Que mon conte
es franges. Elle est verte comme le fiel, Maligne comme une guenon Et noire comme le corbeau. HISTOIRE DE LA GRENOUILLE
oint maudit. Après avoir été tout blanc, tu ne serais pas devenu tout noir et tu ne sentirais pas la pourriture I Le Corbeau
Un instant que je me pomponne I Un peu de rouge aux lèvres, un peu de noir aux yeux, et je précède mon seigneur I Mon conte
eik Mohand Ouel Houssine Dont la piété embaume comme un grain d’ambre noir . Disparut en allant à la source prier. Ses fidèle
s la Mecque. Ceux qui l’ont rencontré sont venus témoigner. Proverbes Noire et camuse. Aveugle et grêlée. Tu as laissé ton bi
. Son front semblait se perdre dans les nues et ses yeux étaient d’un noir si brillant qu’il était impossible d’en soutenir
nt les paupières et ouvrit sa bouche toute grande : une longue vipère noire en sortit qui disparut en fumée (c’était la mécha
et d’innombrables présents. Et Mehend, bercé par le pas de son cheval noir , savourait en chemin la joie qu’il apportait à se
a poudre tandis que Mehend, embrasé d'impatience, pressait son cheval noir , criant à son interminable escorte de se hâter, c
: « J’ai entendu » Ne vous moquez pas, c’est contagieux I Chanson des Noirs Selma m’a dit Mohand mon frère Rapporte-moi de l’
er au bord du fleuve, Manger ses fruits vous rend heureux. La marmite noire de suie N’a rien à envier au couscoussier. Comme
ns le cœur de l’aîné et grandit comme une méchante plante épineuse et noire . Les hivers et les printemps, les étés et les aut
uiers et d’oliviers bordaient le chemin qu’ils suivaient : une chèvre noire les y attendait ; autour d'elle broutaient des ch
’ai-je pas dit que du bien ne pouvait te venir de cette femme au cœur noir ? Comment peux-tu être encore ébloui par son visag
crois-moi, de dormir seul toutes les nuits dans cette fosse humide et noire comme une tombe ! La jeune femme attendit que l’O
t en silence côte à côte, dans le crépuscule, et arrivèrent à la nuit noire . La maison était là, derrière une haie d’aloès. M
ets. Autour d’eux, plusieurs lampes brûlaient. La jeune femme au cœur noir s’était parée pour cette fête : Elle avait revêtu
vertes Qu'importe ? Il gardera des agnelles, Le petit prince aux yeux noirs . Viens, viens sommeil T'endormir près de lui ; Qu
nt le long de son tronc et se cachèrent entre ses branches. A la nuit noire , les fauves se rassemblèrent et se massèrent au p
en elle l’idée maléfique qu’elle poursuivait, car la marâtre au cœur noir n’avait pas désarmé. Un matin, elle se leva légèr
a. Elle le suivit longtemps des yeux. Il alla. Il alla sur son cheval noir . Un berger le rencontra : — Berger, n’as-tu pas r
rte et tu n’auras qu’à la prendre au vol et à la confier à ton cheval noir . Roundja plus belle que lune et que rose ne tarda
s. Cheikh Smaïn put remonter paisiblement avec Roundja sur son cheval noir , suivi du nègre qui faisait bonne garde. Ils allè
er. Cheikh Smaïn parut, la fit asseoir près de Roundja sur son cheval noir , et poursuivit son voyage, toujours accompagné de
■Le prince, maintenant, approchait de son royaume. A peine son cheval noir en eût-il foulé le sol, que le nègre reprit la fo
ouissante beauté. Tandis qu’il les tenait toutes trois sur son cheval noir , entrant avec elles dans sa ville natale, la plus
pauvre mendiant est mort sur le champ : nous l’avons vu devenir tout noir et tournoyer sur lui-même sans pouvoir le secouri
elles rougirent leurs lèvres à l'écorce de noyer. Elles se mirent du noir aux yeux, du rose aux joues. Elles sortirent des
bles disputes. La mère disait-elle blanc, immédiatement la bru disait noir et, tiraillé entre ces deux furies, le pauvre hom
je m'éloignerai chaque jour avant l'aube pour ne revenir qu’à la nuit noire . Si tu acceptes ces conditions, si tu promets de
urs, des semaines et des mois passèrent ainsi. Dès qu’il faisait nuit noire , une brise légère annonçait l’Oiseau de l’Orage.
œur. On eût dit qu'il fendait de ses grandes ailes des nappes de soie noire , n vola, il vola. Un peu avant l’aube, il déposa
ue nos parents l’aient vu ? Est-il grand, est-il blanc comme neige ou noir comme corbeau ? Parle. Est-il jeune, est-il vieux
eveux sont comme l’aile du corbeau Ses prunelles et ses sourcils plus noirs encore, Et ses grands cils recourbés. Sa chair es
a cruche Quand je vais à la fontaine I Entre le crépuscule et la nuit noire Je te rendrais ta forme humaine ! Chant d’amour C
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ché dans la hutte d’un charbonnier, qui luy avoit fait manger du pain noir et du fromage. Le roi, son pere, qui estoit bon-h
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