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1 (1966) Le grain magique
fil I L'on raconte qu’en hiver deux jeunes hommes partirent, sous la neige , chasser dans la montagne. Ils tuèrent une perdri
gne. Ils tuèrent une perdrix. Ils l’égorgèrent, son sang coula sur la neige et l’empourpra. L’un dit : — Heureux celui qui ép
n dit : — Heureux celui qui épouserait une femme au teint blanc comme neige et vermeil comme sang ! L’autre répondit : — Il n
’y a que Loundja, la fille de Tseriel, qui soit ainsi : blanche comme neige et vermeille comme sang. ’ — Et où se trouve cett
, très loin. Alorf, celui qui rêvait d’une femme au teint blanc comme neige et vermeil comme sang abandonna la perdrix à son
se montra. Dieu seul avait pu la créer : son teint était blanc comme neige et vermeil comme sang. — J'ai perdu mon chemin, d
iel.se réveilla tandis que fuyait la jeune fille au teint blanc comme neige et vermeil comme sang. L’ogresse appela : — Lound
m’as trahie, Loundja I Le jeune homme et la jeune fille blanche comme neige et vermeille comme sang étaient déjà loin. Us arr
er à tous : —Madame n’est pas une négresse ! Madame est blanche comme neige et vermeille comme sang I Tous accoururent pour c
e nuit, elle crut sentir dans l’air comme l’odeur des olives et de la neige . Elle avait fait dîner ses enfants et leur avait
soufflait, entassant contre portes et fenêtres de lourdes brassées de neige . Et l’enfant, ainsi bercé, s’endormait doucement,
sade, plus excédé que de coutume. Il flottait dans l’air une odeur de neige précoce et Moche craignait les premiers froids. I
danse Bracelet aux émaux Dans les Monts Aydel, Tu es prisonnier De la neige et du vent. Bracelet d’argent clair Perdu à la fo
eune fille Que la mort a couchée Dans sa beauté en fleur. Ronde de la neige La neige tombe comme des toisons Dieu extermine l
e Que la mort a couchée Dans sa beauté en fleur. Ronde de la neige La neige tombe comme des toisons Dieu extermine les meunie
ige La neige tombe comme des toisons Dieu extermine les meuniers l La neige tombe et tond Dieu dévaste les Aith Aissi ! Chant
e. H revêtit une djellabah de soie blanche, deux burnous blancs comme neige et s’entoura la tête du turban vert des pèlerins.
ui sans que nos parents l’aient vu ? Est-il grand, est-il blanc comme neige ou noir comme corbeau ? Parle. Est-il jeune, est-
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