devant moi. Alors, la mère lui donna un cheval, des provisions et une
négresse
pour l’accompagner. Elle lui donna en outre ‹ le
— Sur ton chemin, tu rencontreras deux fontaines. L’une est celle des
négresses
et l’autre celle des femmes blanches. Prends gard
la fontaine des noires ou de boire de son eau I Tu serais changée en
négresse
I La jeune fille promit de faire son profit de to
s conseils et monta à cheval. Elle se mit donc en route, suivie de la
négresse
. De colline en colline, d’étape en étape, la mère
sa voix faible et lointaine. Lorsque furent en vue les fontaines, la
négresse
se précipita vers l’eau des femmes blanches et s'
. Et sa peau s'assombrissait tandis que s’éclaircissait la peau de la
négresse
. Lorsque la négresse fut devenue toute blanche, e
rissait tandis que s’éclaircissait la peau de la négresse. Lorsque la
négresse
fut devenue toute blanche, elle se tourna vers sa
Rocher, élève-toi Pour que m’apparaisse Le pays de mes parents 1 Une
négresse
pisseuse me dit : — Descends pour que je monte !
onte ! » Un écho mélancolique lui répondit : — Va... Va... Va... I La
négresse
apeurée n'insista pas. Mais un moment après, impa
fille appela vainement sa mère. Comme le Grain ne répondait plus, la
négresse
contraignit la jeune fille à descendre. Elle la d
... Elles attendirent leur retour. Le soir, lorsqu'ils rentrèrent, la
négresse
se porta vers eux, les embrassa et leur dit : — M
lui répondirent : — Repose-toi quelques jours. Nous réfléchirons. La
négresse
s’installa en maîtresse dans la maison des sept f
s. La jeune fille dut la servir et mener les chameaux au pâturage. La
négresse
lui donnait chaque matin une galette grossière de
, Rocher, élève-toi Pour que m'apparaisse Le pays de mes parents I La
négresse
& la maison demeure Moi, je suis gardeuse de
r Rocher, élève-toi Pour que m'apparaisse Le pays de mes parents I La
négresse
à la maison demeure Moi, je suis gardeuse de cham
votre recherche. Ma mère m’a donné un cheval, un Grain Magique et une
négresse
. En chemin j’ai rencontré deux fon taines : je me
s l’eau des noires et j’ai perdu le Grain qui me refait à ma mère. La
négresse
qui, elle, s’est baignée dans l’eau des femmes bl
écouta et leur dit : — Une chose n’a pu se transformer chez la vraie
négresse
: ce sont ses cheveux. Sa peau aura beau être dev
ne fille dont les cheveux sont lisses, c'est elle votre sœur. Mais la
négresse
ne voudra pas Oter son foulard devant vous. Alors
heveux se répandirent en écheveaux de soie jusqu’à la taille. Mais la
négresse
s'écria : — Mes frères bien-aimés, comment pourra
ressée vers le ciel, épineuse, apparut. Les sept garçons cernèrent la
négresse
et lui dirent d’un air menaçant : — Tu es donc la
rnèrent la négresse et lui dirent d’un air menaçant : — Tu es donc la
négresse
? Et tu as usurpé la place de notre sœur I Ils se
d pour tisonnier. Sa main pour pelle à cendre. Ils égorgèrent donc la
négresse
. Ils la brûlèrent et répandirent ses cendres deho
u printemps, à l’endroit où avaient été éparpillées les cendres de la
négresse
, un pied de mauve poussa. La jeune fille le coupa
s’est encombré d’une coquille. Celui qui ne s’incline n’entre pas. Un
nègre
s’il est Jaune est perdu. Chant d'exil Petit oise
mps de lui crier : — Va devant toi. Tu rencontreras une fontaine. Une
négresse
, notre servante, y viendra avec nos ânes et nos o
dis à mon père : ‹ Ton fils, un aigle l'a emporté ». ‘Loundja vit la
négresse
s’approcher de la fontaine. Elle la laissa rempli
une homme alla trouver son père et lui déclara : — Je veux épouser la
négresse
. — Comment oserons-nous regarder en face nos vois
uner, elle s’en retourna pour annoncer à tous : —Madame n’est pas une
négresse
! Madame est blanche comme neige et vermeille com
a s'est-il fait ? — Je n’ai eu qu'à prononcer ces mots : ‹ O fille de
nègres
, dépouille ta peau I › répondit l’aîné. Le cadet
pouille ta peau I › répondit l’aîné. Le cadet se dit alors : ‹ Si une
négresse
se révèle une beauté que sera-ce d'une chienne?..
faisait cuire sous mes yeux de la soupe de semoule, je guérirais. Une
négresse
partit immédiatement à la recherche de Settoute.
m'a dit Mohand mon frère Rapporte-moi de l’orge Pour gaver Ahlima. La
négresse
m'a dit Rapporte de l’huile, Si tu oubliais, Nous
dit Rapporte de l’huile, Si tu oubliais, Nous nous brouillerions. La
négresse
m'a dit Rapporte des figues, Si tu oubliais Nous
verbes Le compagnon du chien est le savetier. Comme qui frotterait un
nègre
Espérant qu'il deviendra blanc. J’ai mis en toi m
ur de la ville. De la fumée montait d’une maison toute proche dont un
nègre
immense gardait l’entrée. Le nègre dit : — Où as-
d’une maison toute proche dont un nègre immense gardait l’entrée. Le
nègre
dit : — Où as-tu pris l’audace d’arriver jusqu’ic
pondit Cheikh Smaïn avec calme. Prends ton sabre, et battons-nous. Le
nègre
tomba et le prince allait l’achever quand, à sa g
le prince allait l’achever quand, à sa grande stupéfaction, il vit ce
nègre
prendre la forme d’une femme à la noble coiffure.
le supplia : — Pour Dieu, ne me tue pas. Femme, je serai ton esclave.
Nègre
, tu n’auras pas de meilleur gardien que moi, car
moi, car je me battrai pour toi jusqu’à la mort. Cheikh Smaïn prit le
nègre
par la main et s'éloigna avec lui. Ils marchèrent
Si ce sont des malfaiteurs, nous nous défendrons. Cheikh Smaïn et le
nègre
entrèrent. Une adolescente au doux visage les acc
n, voyant qu'il n'y avait ni vaincus, ni vainqueurs, le prince et son
nègre
fidèle prirent leur sabre et s’unirent aux sept f
, mais seulement à mon retour, car j’ai affaire au loin. Suivi de son
nègre
fidèle, Cheikh Smaïn prit le chemin des Indes. Du
rs, la vieille femme courut comme le vent vers Cheikh Smaïn et le bon
nègre
qui l’attendaient avec impatience. — Prépare-toi
’éclair, les emporta tous deux. A quelques pas en arrière, suivait le
nègre
fidèle. Parvenus au sommet d’une colline, le prin
put remonter paisiblement avec Roundja sur son cheval noir, suivi du
nègre
qui faisait bonne garde. Ils allèrent ainsi tous
son cheval noir, et poursuivit son voyage, toujours accompagné de son
nègre
fidèle. Et ils allèrent ainsi tous les quatre, du
e son royaume. A peine son cheval noir en eût-il foulé le sol, que le
nègre
reprit la forme d’une femme splendide, à la noble
en aide ? Celle des épouses qui avait le pouvoir de se transformer en
nègre
descendit et s’avança d’un pas noble, faisant tin
re, lui avait crié l’épouse qui avait le pouvoir de se transformer en
nègre
, maître je vois du sang parmi tes proches et cett
s, notre maître le sultan veut que nous allions nous battre contre le
nègre
qui défend le palais et les femmes de son fils. C
pas. Voici maintenant qu’il convoite ses biens et ses femmes. Mais un
nègre
terrible les défend farouchement et les défendra
artirent donc, le vieillard armé d’un bâton et le fils d’un fusil. Un
nègre
géant gardait bien l’entrée du palais magique. Br
ès qu’il aperçut Cheikh Smaïn qu’un masque rendait méconnaissable, le
nègre
, à travers un judas, annonça aux deux jeunes femm
i la foule stupéfaite. — Je sens l’odeur du maître ! dit à nouveau le
nègre
, mais avec plus de conviction, aux deux jeunes fe
Mais s'il la laisse à terre, il ne nous restera plus qu’à mourir. Le
nègre
lança la pomme. Le jeune guerrier l’attrapa, la r
oir emplit leur coeur. Cheikh Smaïn, maintenant se trouvait devant le
nègre
. Il lui dit à mi-voix : — Tue une bête et remplis
dra sur ton corps : alors, toi, fais le mort et laisse-toi tomber. Le
nègre
fidèle égorgea dans la nuit un agneau. H remplit
s'empêcher de monter et de dire à la foule : — Si vous voulez que ce
nègre
soit terrassé, donnez à ce jeune homme valeureux
Cheik Smaïn, car il mérite cet honneur. Et vous verrez qu’il tuera le
nègre
indomptable. Alerté, le sultan donna au guerrier
de victoires, alla planter son sabre dans le boyau gonflé de sang. Le
nègre
s’affaissa. Quelques-uns des combattants s’arrach
omber le masque qui le rendait méconnaissable pour tout autre que son
nègre
fidèle et se dressa devant son père. Sur sa magni
et triste jusqu’à la mort. Dans son merveilleux palais l’attendait le
nègre
fidèle qui, à sa vue, reprit la forme d'une femme