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1 (1966) Le grain magique
ère de l’aube Vers la jeune tille aux franges noires. Pose-toi sur le mur d’enceinte Et conte-lui ma peine Dis-lui : ‹ Ta m
lorsqu'il n’en resta que l’os, il prit cet os et le frappa contre le mur pour en extraire la moelle : le coup fut si viole
pour en extraire la moelle : le coup fut si violent qu’il ébranla le mur , y faisant un trou par où le soleil et la lumière
herche de Soumicha, lorsqu'un jour d’été ils se trouvèrent devant les murs d’une puissante ville. Le Cheikh, du haut de son
ure de notre seigneur qui est là sous vos yeux. A ses fenêtres, à ses murs et à ses portes sont accrochées des têtes. Et ce
llir la moelle. Les anges me prêtèrent-ils leur 'force?... Au choc le mur s’entrouvit, un jet de lumière inonda la pièce. J
de s'assoupir lorsqu'elle vit, à la place de la brèche faite dans le mur par l’os de gigot, une haute fenêtre toute de mar
, La mort sépare, Qu'il est avisé l'homme de bien ! Frappe ta tête au mur ! Chant de méditation Une mendiante pleurait Son
vu. Mes frères frappent l’eau avec l’eau. Ma sœur se trouve entre un mur et un autre. Le fils du roi entra. Tl dit en voya
c l’eau ›, ils arrosaient des jardins. Et quant à ta sœur, ‹ entre un mur et un autre ›, elle tissait la laine, ayant un mu
a sœur, ‹ entre un mur et un autre ›, elle tissait la laine, ayant un mur derrière elle et devant elle un autre : le métier
ent par milliers. Comme la cafarde qui dit : « Vois mon enfant sur le mur , On dirait une perle sur un fil. › Chant de médit
impies. Et il se tourna enfin vers son père pour lui clouer contre le mur les mains et les pieds. — Qu’on allume un feu len
cœur ? Et l’enfant, à demi endormie, répondait en se tournant vers le mur : — Je ne désire rien que je n’aie déjà. Maintena
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
iroient les corps de plusieurs femmes mortes et attachées le long des murs (c’étoit toutes les femmes que la Barbe-Bleuë avo
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