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1 (1966) Le grain magique
x m'a appris patiemment à chanter sur ces monodies vénérables, qui se meurent aujourd'hui au pays-même où elles sont nées. Et,
leure ! › Elle posait sur une pierre la galette d’orge et se laissait mourir de faim. Six chameaux l'imitaient et pleuraient a
notre honte. Mais le jeune homme dit encore : — Je l’épouserai ou je mourrai . Il l’épousa. Loundja reçut toutes sortes de rich
jour la mère tomba malade d’un grand mal. Lorsqu’elle se vit près de mourir , elle appela son mari et lui dit : — Promets-moi
s pour les petits orphelins I Il le lui promit solennellement et elle mourut . les enfants n'avaient plus que leur père. Ils se
t chaque fois que la marâtre posait sur eux ses yeux, elle se sentait mourir de jalousie. Aussi, un soir, dit-elle à sa fille
d'une voix ferme : — Je reviendrai avec Soumicha pour compagne ou je mourrai . Alors, le cœur navré, ils le laissèrent s'éloign
revins au palais malade d’amour mais résolu à découvrir Soumicha ou à mourir . Settoute seule pouvait m’aider mais comment l’y
ique la voix merveilleuse de la flûte. Depuis longtemps la mère était morte de chagrin. Le père aveugle ne sortait plus. Mais
t aux gens et aux bêtes l’approche de la fontaine, qui les condamne à mourir de soif, j’accorderai ce qu’il demandera. › Mehen
nvoya, le dragon-aux-sept-têtes régnait sur nous et nous condamnait à mourir de soif. Ton frère entra dans ce village comme j'
x-neuf ; Elle regarde en arrière, disant : Ma mère, ma mère ! Moi qui mourrai sans postérité ! Chant d’amour A sa recherche, du
aim qui frappe aux entrailles, Si le ventre est plein, le souvenir en meurt . LE SUBTIL ET L’INNOCENT Que mon conte soit
pieds que poussière, Comme les chevaux qui battent le henné. J’allais mourir , et il y avait un remède I Il est mort de soif pr
nul ne connaissait. Il leur déclara : — C’est elle que je veux ou je mourrai . Le père répondit : — Mon fils, je t’ai tout donn
n veut à ton âme. Elle finira par te l’arracher. Mais puisque tu veux mourir voici : Empare-toi d’une génisse ; la plus belle
le du lion. Lorsque ton époux rentrera ce soir, feins d’être malade à mourir et dis-lui : «Ma dernière heure est arrivée. Rien
épondit à travers ses larmes : — Mieux vaudrait te résigner à me voir mourir cette fois. Je ne vois qu’un peu de lait de lionn
s obéir à son caprice. Le Sage n’insista pas. — Puisqu'il te plaît de mourir pour elle, dit-il, choisis une belle chèvre et co
! Que Dieu te trahisse comme tu m’as trahi, car tu ne mérites pas de mourir de ma main. Et, laissant la jeune femme avec l’ou
que voulait Dieu ». C’est la mort que tu refusais? Dieu veut que nous mourions , mais nous, nous ne voulons pas. Tu as dit enfin
ce et la princesse vécurent heureux à la cour. Et quand le roi vint à mourir , son fils lui succéda. Un jour que le jeune roi r
partagions cet enfant. — Non, Seigneur I s’écria l’une des femmes, il mourra 1 Alors le roi lui tendit l’enfant et dit : — Tu
la fourmi. Elle grimpa et piqua la mère à la jambe. Mais la fourmi en mourut car elle fut écrasée. Les fauves attendirent vain
coute-moi bien, Reskia, et suis toutes mes prescriptions. Ta mère est morte , mais voici ton frère Ali. Emporte-le : il est 'à
urent heureux et paisibles près de la vieille femme. Mais elle vint à mourir et ils cessèrent d'être heureux. Elle leur avait
ffort de se dresser et roula dans le ravin : c’est miracle qu’il n’en mourût pas. Incapable de bouger et plus endolori que s'i
ée pour mon dîner? Parle ou je pisse sur les braises et te condamne à mourir de froid. Comme elle se taisait, il se mit à la r
s flammes et rebondissait. Nul n’entendit ses hurlements lugubres. Il mourut dans de pitoyables miaulements. En pénétrant chez
l’aspect désert des rues leur serra le cœur. Quelle était cette cité morte qui s’étendait sous leurs yeux? Tandis qu’elles a
tes sœurs pût m’être donnée I Chassé de ma propre demeure et triste à mourir , il ne me restait que l’exil et ce bâton des pèle
? — Hélas, gémit le sultan, je n’ai pas d’héritier, et si je viens à mourir , mes biens iront à des étrangers. L'ange lui remi
r dit : — Cheikh Smain, mon fils, a résolu d’épouser votre sœur ou de mourir . ■Les sept frères allèrent chercher Roundja. Le s
Le prince nageait dans la joie et le sultan qui l'avait cru malade à mourir , en était fort aise. Settoute seule verdissait de
était résolu à retrouver Rondja plus belle que lune et que rose, ou à mourir . Sa mère essaya vainement de le retenir par ses l
us n’en ferons rien, répondaient férocement les aiglons. Tu peux bien mourir de froid si tu veux. Ce qui arrive à Cheikh Smaïn
en lui prenant la tête entre ses mains brunes. Nous avions si peur de mourir seuls. Pouvions-nous rêver d’un fils plus accompl
in que nous avalions le poison que nous avons préparé. Car mieux vaut mourir que d’appartenir au père monstrueux de notre bien
c’est lui. Mais s'il la laisse à terre, il ne nous restera plus qu’à mourir . Le nègre lança la pomme. Le jeune guerrier l’att
ient de somptueux tapis. Et c’est à ma levrette que j’ai dû de ne pas mourir , percé de toutes parts. Enfin, tu as voulu savoir
u Jusqu’aux poulets tituber d'ivresse I Proverbes Puisque ma mère est morte Toutes les femmes peuvent disparaître ! Ils ont f
hiffon sur le seuil de la maison de son père et s’éloigna. Yamina vit mourir son père et sa mère. Yamina se sépara de ses frèr
aine. J’ai fendu la grande nappe d'eau ; Aujourd'hui la confiance est morte , J’ai dû m’engager dans la Garde Suisse. Car la j
fille, souple comme un roseau, Aux cils épais comme des franges, est morte . Sans que j’aie pu profiter de ses grâces. Prover
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
cinquante ans qu’elle n’estoit sortie d’une tour, et qu’on la croyoit morte ou enchantée. Le roi lui fit donner un couvert ;
t haut ces paroles : « Rassurez-vous, roi et reine, vostre fille n’en mourra pas. Il est vrai que je n’ay pas assez de puissan
it : la princesse se percera la main d’un fuseau ; mais, au lieu d’en mourir , elle tombera seulement dans un profond sommeil.
tendoit respirer doucement : ce qui faisoit voir qu’elle n’estoit pas morte . Le roi ordonna qu’on la laissast dormir en repos
Madame, lui répondit le pauvre maistre d’hôtel tout attendri, vous ne mourrez point, et vous ne laisserez pas d’aller revoir vo
it épousées. et qu’il avoit égorgées l’une aprés l’autre). Elle pensa mourir de peur, et la clef du cabinet, qu’elle venoit de
; mais la Barbe-Bleuë avoit le cœur plus dur qu’un rocher. « Il faut mourir , Madame, luy dit-il, et tout à l’heure. — Puis qu
faut mourir, Madame, luy dit-il, et tout à l’heure. — Puis qu’il faut mourir , répondit-elle en le regardant les yeux baignez d
toute échevelée. « Cela ne sert de rien, dit la Barbe-Bleuë ; il faut mourir . » Puis, la prenant d’une main par les cheveux, e
du corps, et le laisserent mort. La pauvre femme estoit presque aussi morte que son mari, et n’avoit pas la force de se lever
chat, et que je me seray fait un manchon de sa peau, il faudra que je meure de faim. » Le Chat, qui entendoit ce discours, ma
s avoir bien couru sans trouver personne qui voulut la recevoir, alla mourir au coin d’un bois.   MORALITÉ Les diamans e
êcher de luy reprocher plusieurs fois sa bestise : ce qui pensa faire mourir de douleur cette pauvre princesse. Un jour qu’ell
que nous ne pouvons plus nourir nos enfans ; je ne sçaurois les voir mourir de faim devant mes yeux, et je suis resolu de les
. Cependant, ayant consideré quelle douleur ce luy seroit de les voir mourir de faim, elle y consentit, et alla se coucher en
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