se trouve cette Loundja fille de Tseriel? demanda le premier. L’autre
montra
une direction et dit : — Là-bas, très loin. Alorf
onnette, entourée d’une haie d’épines. Il appela ; une jeune fille se
montra
. Dieu seul avait pu la créer : son teint était bl
e, la plus jolie, elle en fit une galette qu’elle mit de côté pour la
montrer
à son époux. Et puis, elle roula le grain du cous
e. Ils s’y engagèrent. Ils atteignirent la rivière comme le soleil se
montrait
. La Grenouille posa sa charge de laine, le Crapau
est apparue, dit le prince. Le lendemain, la jeune fille finit par se
montrer
à l’entrée de la caverne. La nappe d’or qui l’hab
: — Connaissez-vous le pays de Soumicha fille de Hitine? Et tous lui
montraient
l’Orient et répondaient : — Va, va toujours face
lant. Elle hurla. «Je ne retirerai pas ta main avant que tu ne m’aies
montré
la voie qui mène à Soumicha », lui répondis-je po
s notables. A leur approche, la fontaine se mit à écumer et le dragon
montra
l'une de ses têtes : le jeune homme la coupa : —
e dragon. Mehend répliqua : — Celui-là n’est pas mon coup 1 Le dragon
montra
une autre tête. Le jeune homme la trancha. Le dra
mme répondit : — Celui-là n’est pas mon coup I Par six fois le dragon
montra
une tête et cette tête fut tranchée ; par six foi
ête ! Et Mehend répondit ; — Celui-là n’est pas mon coup ! ■Le dragon
montra
enfin la septième tête, de toutes la plus monstru
unes que les autres, sans qu’il en arrêtât aucune. C’est alors que se
montra
la centième, vêtue très simplement. Elle sortit d
n’aurait jamais dû prendre. Il atteignit la forêt comme le soleil se
montrait
; il s'y enfonça. Il en traversa la zone la plus
t mais il ne la voyait pas. Lorsqu’il fut au coeur du jardin, elle se
montra
et lui dit : — Bienvenu sois-tu, sois le bienvenu
, il atteindra le ruisseau 1 Le long de l'hiver, dès que le soleil se
montrait
, le père disait aux deux garçons : — Allez donc v
u’une haie d’épines défendait. Mehend appela : un homme très grand se
montra
sur le seuil. Il fit entrer les voyageurs. C’est
onné pareille fête, je ferais tout ce qu’il me demanderait. Mehend se
montra
et dit : — C’est moi. Je voudrais que tu me mènes
ne homme l’interrompit par ces mots : — Je veux une dernière fois lui
montrer
ce dont je suis capable et jusqu’où va mon amour
ntivement. Quand elle eut pleuré et appelé en vain, le jeune homme se
montra
, tenant à la main une outre de chevreau : — L'un
et dit d’une voix forte : — Donnez-moi ma chasse I Une jeune fille se
montra
, plus belle que lune et que rose. Elle dit : — Je
’as-tu, lui dit-il, n’es-tu pas heureuse auprès de moi? Mais elle lui
montra
au loin des cavaliers qui arrivaient et murmura c
uil le vieillard à sa compagne. Une femme âgée mais encore robuste se
montra
. Elle leva sur le prince son regard transparent e
rtures, Et je riais sous cape de tous ceux qui priaient. Le démon m’a
montré
le chemin de l'ablme, Et du haut d’un pic, il m'a
la rumeur qu’il était allé en pèlerinage. Un beau matin il sortit, se
montra
et fit crier sur la place publique et hors du vil
ursuivit : — Je ne l'ai jamais vu parce qu’un sort lui interdit de se
montrer
à moi. Et je ne connaîtrai pas son visage tant qu