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1 (1966) Le grain magique
se trouve cette Loundja fille de Tseriel? demanda le premier. L’autre montra une direction et dit : — Là-bas, très loin. Alorf
onnette, entourée d’une haie d’épines. Il appela ; une jeune fille se montra . Dieu seul avait pu la créer : son teint était bl
e, la plus jolie, elle en fit une galette qu’elle mit de côté pour la montrer à son époux. Et puis, elle roula le grain du cous
e. Ils s’y engagèrent. Ils atteignirent la rivière comme le soleil se montrait . La Grenouille posa sa charge de laine, le Crapau
est apparue, dit le prince. Le lendemain, la jeune fille finit par se montrer à l’entrée de la caverne. La nappe d’or qui l’hab
: — Connaissez-vous le pays de Soumicha fille de Hitine? Et tous lui montraient l’Orient et répondaient : — Va, va toujours face
lant. Elle hurla. «Je ne retirerai pas ta main avant que tu ne m’aies montré la voie qui mène à Soumicha », lui répondis-je po
s notables. A leur approche, la fontaine se mit à écumer et le dragon montra l'une de ses têtes : le jeune homme la coupa : —
e dragon. Mehend répliqua : — Celui-là n’est pas mon coup 1 Le dragon montra une autre tête. Le jeune homme la trancha. Le dra
mme répondit : — Celui-là n’est pas mon coup I Par six fois le dragon montra une tête et cette tête fut tranchée ; par six foi
ête ! Et Mehend répondit ; — Celui-là n’est pas mon coup ! ■Le dragon montra enfin la septième tête, de toutes la plus monstru
unes que les autres, sans qu’il en arrêtât aucune. C’est alors que se montra la centième, vêtue très simplement. Elle sortit d
n’aurait jamais dû prendre. Il atteignit la forêt comme le soleil se montrait ; il s'y enfonça. Il en traversa la zone la plus
t mais il ne la voyait pas. Lorsqu’il fut au coeur du jardin, elle se montra et lui dit : — Bienvenu sois-tu, sois le bienvenu
, il atteindra le ruisseau 1 Le long de l'hiver, dès que le soleil se montrait , le père disait aux deux garçons : — Allez donc v
u’une haie d’épines défendait. Mehend appela : un homme très grand se montra sur le seuil. Il fit entrer les voyageurs. C’est
onné pareille fête, je ferais tout ce qu’il me demanderait. Mehend se montra et dit : — C’est moi. Je voudrais que tu me mènes
ne homme l’interrompit par ces mots : — Je veux une dernière fois lui montrer ce dont je suis capable et jusqu’où va mon amour
ntivement. Quand elle eut pleuré et appelé en vain, le jeune homme se montra , tenant à la main une outre de chevreau : — L'un
et dit d’une voix forte : — Donnez-moi ma chasse I Une jeune fille se montra , plus belle que lune et que rose. Elle dit : — Je
’as-tu, lui dit-il, n’es-tu pas heureuse auprès de moi? Mais elle lui montra au loin des cavaliers qui arrivaient et murmura c
uil le vieillard à sa compagne. Une femme âgée mais encore robuste se montra . Elle leva sur le prince son regard transparent e
rtures, Et je riais sous cape de tous ceux qui priaient. Le démon m’a montré le chemin de l'ablme, Et du haut d’un pic, il m'a
la rumeur qu’il était allé en pèlerinage. Un beau matin il sortit, se montra et fit crier sur la place publique et hors du vil
ursuivit : — Je ne l'ai jamais vu parce qu’un sort lui interdit de se montrer à moi. Et je ne connaîtrai pas son visage tant qu
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
phant. — Cela est vray, répondit l’ogre brusquement, et, pour vous le montrer , vous m’allez voir devenir lyon. » Le Chat fut si
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