wey : 398.4 : Folklore. Contes et légendes des régions et des pays du
monde
(recueils). Public concerné : Tout public En appl
s. Ils se réunirent et se dirent : — Cette fois, si notre mère met au
monde
un garçon, nous nous exilerons. Nous nous enfuiro
ue je vous vois ! Settoute m’a insultée. Elle m’a dit qu'en venant au
monde
je vous avais chassés de notre maison. Settoute —
. Le Gypaète passa : — Qu’as-tu, mon oncle le Crapaud ? — La grâce du
monde
est entrée dans la mare I — Est-ce tout?... Ce n’
apaud ? A pareille heure, que fais-tu par les chemins ? — La grâce du
monde
m’a délaissé I — Sois sans crainte, elle ne résis
au paradis, Uni à Dieu dans sa splendeur. Si tu préfères vivre en ce
monde
, Je te donnerai des dents et une autre jeunesse.
ais la fille que tu portes en toi nous passera en beauté. Elle mit au
monde
une fille à la chevelure d’or, une fille plus bel
. Il abandonna sa famille, sa maison et tous ses biens. Il déserta le
monde
et se réfugia dans la forêt. Il se rapprocha des
i. Elle eut la nostalgie du ciel, du soleil. Elle voulut découvrir le
monde
. Le serpent la laissait souvent seule pour aller
ri l’aimait. A la grande joie de toute la famille royale, elle mit au
monde
un enfant aux cheveux d’or, un enfant à sa ressem
e moi, ma mère, Comme d'Ali aux multiples peines. Passe une peine, au
monde
je dis : ‹ Celle-là est la dernière. › Il en surv
la marâtre ne fit aucun mal aux orphelins. Mais elle vint à mettre au
monde
une fille qu'elle appela Djohra et du jour où ell
ait attrapée au vol et conduite dans une grotte pour qu’elle y mît au
monde
le fils du sultan. La fée soigna tendrement la mè
e pièces d'or la trouva pleine. — O source, donne-moi de l'eau Car ce
monde
est tromperie ! Proverbes Bats des mains pour qui
i du mal, vécut en reclus et atteignit l’adolescence ignorant tout du
monde
. Mais un jour, un serviteur lui apporta un petit
ne adolescents, abandonnèrent un jour le toit paternel pour courir le
monde
. Ils s'aimaient d’amour très tendre. Avant de les
e fille du royaume. Elle jura de se venger sur la plus belle fille du
monde
. Et le jeune homme aux yeux de faucon reprit de s
prirent part au festin et se crurent les égaux des privilégiés de ce
monde
. Le sultan distribua de la semoule, de la viande
croyant qu’elle me revenait. Sans doute ignorais-tu qu’aucun être au
monde
n’avait pouvoir de la sauver, que mon seul mérite
d'un père qui me contraignait à vivre en reclus. Car pour m’isoler du
monde
et de toute souillure, mon père (un sultan noble
ouissait dans son cœur de ce que l’envie de le quitter pour courir le
monde
ne pût me venir jamais I II ne savait pas que Die
moi ! Il devint mon frère. Durant sept années nous avons erré par le
monde
, à la recherche de ton royaume et de ce que tu po
ussi chers que le haut-ciel car elle était veuve et n’avait qu'eux au
monde
. Leur père leur avait laissé des biens. Dès qu'il
non I Je suis las des prairies et du ciel d’ici. Je veux découvrir le
monde
. — Oh I mon frère, répondit l’autre, notre mère n
errés car ils tremblaient de le voir disparaître. Tout ce qui dans le
monde
était beau, et tout ce qui était bon, ils le lui
je t’ai tout donné, tout accordé jusqu’ici. Tu m’es plus cher que le
monde
et que la vie et aussi cher que le Haut-Ciel mais
nts qui ont attendu si longtemps ta naissance et ne t’ont vu venir au
monde
qu’après avoir vu les étoiles en plein midi I La
rge de femmes I Mais Mehend répondit : — Il n'existe plus de femme au
monde
pour qui a vu celle- là I — Puisses-tu ne pas t’e
possédait une perdrix, une perdrix plus chère à ses yeux que tout au
monde
. Plus chère que sa femme et que sa fille. Lui seu
qu'au soir. La pauvre femme était sur le point de mettre un enfant au
monde
: elle se sentait bien lasse et la petite fille a
avail? La vieille femme répondit : — Je suis âgée, fatiguée, seule au
monde
et je m’ennuie. Restez avec moi, ta sœur et toi.
r reprit : — Quelqu’un peut-il nous séparer?... Rassure-toi : rien au
monde
ne peut nous diviser. Je vais me mettre en quête
de lui, elle avait laissé son cœur. Reskia fut enceinte. Elle mit au
monde
un garçon qu’elle appela Vouïedhmim qui veut dire
e pas de pleurer devant lui et de dire : ‹ Tous les petits garçons du
monde
ont des oncles qu'ils vont voir, sauf moi. Je veu
qui possédait une perdrix, une perdrix qu’il aimait plus que tout au
monde
; plus que sa femme et que sa fille. Il avait dit
eine forêt. La pauvre femme était sur le point de mettre un enfant au
monde
: elle était très lasse. Les fauves se rassemblèr
I » Elle les accueillit, les aima et les adopta. Elle était seule au
monde
: en mourant, elle laissa tous ses biens aux orph
voisins et les asservirait, il exigea des femmes qu’elles missent au
monde
des enfants sans répit. Or Dieu seul octroie les
u m'accompagner De la plaine à la plaine ? Nous verrions la gloire du
monde
Tu le sais, la mort est là. Ma mère, le fleuve m'
toie sur moi Pleure avec moi. Ma mère, ma tendre mère, Si j’ai par le
monde
un ami Qu'il pleure avec moi I Proverbe Personne
jument et le coeur à ta femme. La sultane sera enceinte et mettra au
monde
un garçon. Mais, ce garçon, gardez-vous bien de l
vant que je n’apparaisse. Neuf mois s’écoulèrent et la sultane mit au
monde
un enfant que l’on appela seulement : ‹ Prince. ›
e les sept frères avaient choisi de planter leur tente aux confins du
monde
et de promettre Roundja à un prince infiniment pl
fiancée a quitté le pays. Ses frères l’ont emmenée à l’autre bout du
monde
. Le prince paya les oranges du perdant. Puis il p
ous battrons ainsi jusqu’à la mort, car rien ne nous est plus cher au
monde
que notre sœur au visage de lait et aux cheveux c
indiquer et se mit à converser avec son père le plus agréablement du
monde
et à lui conter son voyage au pays des Indes. Bla
Je ne crains ni le plomb, ni le fer, ni les liens. Tous les fusils du
monde
pourraient tirer sur moi sans m’atteindre ; toute
e père travaillait ses champs avec ardeur. La mère, pour habiller son
monde
, filait et tissait tout le jour et même une parti
s, Les poires et les figues Et toutes les richesses Qui emplissent le
monde
, Dieu les a données à ses créatures. Mais il leur
aisserons à des héritiers, Et nous nous en irons les mains nues De ce
monde
éphémère, Car n'est éternelle que la face de Dieu
que" d'une civilisation, d'une poésie, d'une race. » Raymond Jean, Le
Monde
. « Le grain est magique : il devient un arbre dan