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1 (1966) Le grain magique
wey : 398.4 : Folklore. Contes et légendes des régions et des pays du monde (recueils). Public concerné : Tout public En appl
s. Ils se réunirent et se dirent : — Cette fois, si notre mère met au monde un garçon, nous nous exilerons. Nous nous enfuiro
ue je vous vois ! Settoute m’a insultée. Elle m’a dit qu'en venant au monde je vous avais chassés de notre maison. Settoute —
. Le Gypaète passa : — Qu’as-tu, mon oncle le Crapaud ? — La grâce du monde est entrée dans la mare I — Est-ce tout?... Ce n’
apaud ? A pareille heure, que fais-tu par les chemins ? — La grâce du monde m’a délaissé I — Sois sans crainte, elle ne résis
au paradis, Uni à Dieu dans sa splendeur. Si tu préfères vivre en ce monde , Je te donnerai des dents et une autre jeunesse.
ais la fille que tu portes en toi nous passera en beauté. Elle mit au monde une fille à la chevelure d’or, une fille plus bel
. Il abandonna sa famille, sa maison et tous ses biens. Il déserta le monde et se réfugia dans la forêt. Il se rapprocha des
i. Elle eut la nostalgie du ciel, du soleil. Elle voulut découvrir le monde . Le serpent la laissait souvent seule pour aller
ri l’aimait. A la grande joie de toute la famille royale, elle mit au monde un enfant aux cheveux d’or, un enfant à sa ressem
e moi, ma mère, Comme d'Ali aux multiples peines. Passe une peine, au monde je dis : ‹ Celle-là est la dernière. › Il en surv
la marâtre ne fit aucun mal aux orphelins. Mais elle vint à mettre au monde une fille qu'elle appela Djohra et du jour où ell
ait attrapée au vol et conduite dans une grotte pour qu’elle y mît au monde le fils du sultan. La fée soigna tendrement la mè
e pièces d'or la trouva pleine. — O source, donne-moi de l'eau Car ce monde est tromperie ! Proverbes Bats des mains pour qui
i du mal, vécut en reclus et atteignit l’adolescence ignorant tout du monde . Mais un jour, un serviteur lui apporta un petit
ne adolescents, abandonnèrent un jour le toit paternel pour courir le monde . Ils s'aimaient d’amour très tendre. Avant de les
e fille du royaume. Elle jura de se venger sur la plus belle fille du monde . Et le jeune homme aux yeux de faucon reprit de s
prirent part au festin et se crurent les égaux des privilégiés de ce monde . Le sultan distribua de la semoule, de la viande
croyant qu’elle me revenait. Sans doute ignorais-tu qu’aucun être au monde n’avait pouvoir de la sauver, que mon seul mérite
d'un père qui me contraignait à vivre en reclus. Car pour m’isoler du monde et de toute souillure, mon père (un sultan noble
ouissait dans son cœur de ce que l’envie de le quitter pour courir le monde ne pût me venir jamais I II ne savait pas que Die
moi ! Il devint mon frère. Durant sept années nous avons erré par le monde , à la recherche de ton royaume et de ce que tu po
ussi chers que le haut-ciel car elle était veuve et n’avait qu'eux au monde . Leur père leur avait laissé des biens. Dès qu'il
non I Je suis las des prairies et du ciel d’ici. Je veux découvrir le monde . — Oh I mon frère, répondit l’autre, notre mère n
errés car ils tremblaient de le voir disparaître. Tout ce qui dans le monde était beau, et tout ce qui était bon, ils le lui
je t’ai tout donné, tout accordé jusqu’ici. Tu m’es plus cher que le monde et que la vie et aussi cher que le Haut-Ciel mais
nts qui ont attendu si longtemps ta naissance et ne t’ont vu venir au monde qu’après avoir vu les étoiles en plein midi I La
rge de femmes I Mais Mehend répondit : — Il n'existe plus de femme au monde pour qui a vu celle- là I — Puisses-tu ne pas t’e
possédait une perdrix, une perdrix plus chère à ses yeux que tout au monde . Plus chère que sa femme et que sa fille. Lui seu
qu'au soir. La pauvre femme était sur le point de mettre un enfant au monde : elle se sentait bien lasse et la petite fille a
avail? La vieille femme répondit : — Je suis âgée, fatiguée, seule au monde et je m’ennuie. Restez avec moi, ta sœur et toi.
r reprit : — Quelqu’un peut-il nous séparer?... Rassure-toi : rien au monde ne peut nous diviser. Je vais me mettre en quête
de lui, elle avait laissé son cœur. Reskia fut enceinte. Elle mit au monde un garçon qu’elle appela Vouïedhmim qui veut dire
e pas de pleurer devant lui et de dire : ‹ Tous les petits garçons du monde ont des oncles qu'ils vont voir, sauf moi. Je veu
qui possédait une perdrix, une perdrix qu’il aimait plus que tout au monde ; plus que sa femme et que sa fille. Il avait dit
eine forêt. La pauvre femme était sur le point de mettre un enfant au monde : elle était très lasse. Les fauves se rassemblèr
I » Elle les accueillit, les aima et les adopta. Elle était seule au monde : en mourant, elle laissa tous ses biens aux orph
voisins et les asservirait, il exigea des femmes qu’elles missent au monde des enfants sans répit. Or Dieu seul octroie les
u m'accompagner De la plaine à la plaine ? Nous verrions la gloire du monde Tu le sais, la mort est là. Ma mère, le fleuve m'
toie sur moi Pleure avec moi. Ma mère, ma tendre mère, Si j’ai par le monde un ami Qu'il pleure avec moi I Proverbe Personne
jument et le coeur à ta femme. La sultane sera enceinte et mettra au monde un garçon. Mais, ce garçon, gardez-vous bien de l
vant que je n’apparaisse. Neuf mois s’écoulèrent et la sultane mit au monde un enfant que l’on appela seulement : ‹ Prince. ›
e les sept frères avaient choisi de planter leur tente aux confins du monde et de promettre Roundja à un prince infiniment pl
fiancée a quitté le pays. Ses frères l’ont emmenée à l’autre bout du monde . Le prince paya les oranges du perdant. Puis il p
ous battrons ainsi jusqu’à la mort, car rien ne nous est plus cher au monde que notre sœur au visage de lait et aux cheveux c
indiquer et se mit à converser avec son père le plus agréablement du monde et à lui conter son voyage au pays des Indes. Bla
Je ne crains ni le plomb, ni le fer, ni les liens. Tous les fusils du monde pourraient tirer sur moi sans m’atteindre ; toute
e père travaillait ses champs avec ardeur. La mère, pour habiller son monde , filait et tissait tout le jour et même une parti
s, Les poires et les figues Et toutes les richesses Qui emplissent le monde , Dieu les a données à ses créatures. Mais il leur
aisserons à des héritiers, Et nous nous en irons les mains nues De ce monde éphémère, Car n'est éternelle que la face de Dieu
que" d'une civilisation, d'une poésie, d'une race. » Raymond Jean, Le Monde . « Le grain est magique : il devient un arbre dan
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
si faschez qu’on ne sçauroit dire. Ils allerent à toutes les eaux du monde : vœux, pelerinages, menuës devotions, tout fut m
lus jeune luy donna pour don qu’elle seroit la plus belle personne du monde ; celle d’aprés, qu’elle auroit de l’esprit comme
n pere qu’il y avoit dans ce chasteau une princesse, la plus belle du monde ; qu’elle y devoit dormir cent ans, et qu’elle se
qu’en voyant passer de petits enfans elle avoit toutes les peines du monde à se retenir de se jeter sur eux : ainsi le princ
cher. AUTRE MORALITÉ Pour peu qu’on ait l’esprit sensé Et que du monde on sçache le grimoire, On voit bien tost que cett
attendit que quelque jeune lapin, peu instruit encore des ruses de ce monde , vint se fourrer dans son sac pour manger ce qu’i
sur le bord de la riviere, avec sa fille, la plus belle princesse du monde , il dit à son maistre : « Si vous voulez suivre m
le : elle tenoit cela de ſa Mere, qui eſtoit la meilleure perſonne du monde . Les nopces ne furent pas plûtoſt faites que la B
vis, car elle avoit le goût bon. Cendrillon les conſeilla le mieux du monde , & s’offrit meſme à les coëffer ; ce qu’elles
uy donna enſuite une paire de pentoufles de verre, les plus jolies du monde . Quand elle fut ainſi parée, elle monta en caroſſ
u Roi en eſtoit fort en peine, & qu’il donneroit toutes choſes au monde pour ſçavoir qui elle eſtoit. Cendrillon ſourit &
aiſſé tomber une de ſes petites pantoufles de verre, la plus jolie du monde ; que le fils du Roy l’avoit ramaſſée, & qu’i
nsola un peu la pauvre reine, qui estoit bien affligée d’avoir mis au monde un si vilain marmot. Il est vray que cet enfant n
si spirituel qu’on en estoit charmé. J’oubliois de dire qu’il vint au monde avec une petite houppe de cheveux sur la teste, c
d’un royaume voisin accoucha de deux filles. La premiere qui vint au monde estoit plus belle que le jour ; la reine en fut s
s me l’avez promis. » Mais, comme celuy à qui je parle est l’homme du monde qui a le plus d’esprit, je suis seure qu’il enten
rincesse, je souhaite de tout mon cœur que vous deveniez le prince du monde le plus beau et le plus aimable, et je vous en fa
oncé ces paroles que Riquet à la Houppe parut, à ses yeux, l’homme du monde le plus beau, le mieux fait et le plus aimable qu
de la bonté de son esprit: il estoit fort petit, et, quand il vint au monde il n’estoit guere plus gros que le pouce, ce qui
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