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1 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ir toute la compagnie, et il n’y eut personne qui ne pleurât. Dans ce moment , la jeune fée sortit de derriere la tapisserie, e
et de faysans, s’endormirent, et le feu aussi. Tout cela se fit en un moment : les fées n’estoient pas longues à leur besogne.
vous donne un demy-quart d’heure, reprit la Barbe-Bleuë, mais pas un moment davantage. » Lorsqu’elle fut seule, elle appella
rce à sa femme : « Descens viste, ou je monteray là-haut. — Encore un moment , s’il vous plaist, » lui répondoit sa femme ; et
tons… — Ne veux-tu pas descendre ? crioit la Barbe-Bleuë. — Encore un moment , » répondoit sa femme ; et puis elle crioit : « A
is ils sont bien loin encore. » « Dieu soit loué ! s’ écria-t-elle un moment aprés, ce sont mes freres. Je leur fais signe tan
et le regardant avec des yeux mourans, le pria de luy donner un petit moment pour se recueillir. « Non, non, dit-il, recommand
, dit-il, recommande-toy bien à Dieu » ; et, levant son bras… Dans ce moment , on heurta si fort à la porte que la Barbe-Bleuë
us serez tous hachez menu comme chair à pasté. » Le roy, qui passa un moment aprés, voulut sçavoir à qui appartenoient tous le
ne pas paſſer minuit, l’avertiſſant que, ſi elle demeuroit au bal un moment davantage, ſon caroſſe redeviendroit citroüille,
le dire d’une maniere fine, aisée et naturelle. Elle commença, dés ce moment , une conversation galante et soutenuë avec Riquet
2 (1966) Le grain magique
lle entendait de moins en moins la voix de sa mère. Il arriva même un moment où elle ne l’entendit plus du tout. Et sa peau s'
it : — Va... Va... Va... I La négresse apeurée n'insista pas. Mais un moment après, impatiente, excédée, elle dit encore : — D
à s’endormir. Loundja fit mine de dormir. En réalité, elle épiait le moment où elle entendrait crier toutes les bêtes que sa
Alors le Crapaud la prit à califourchon sur ses épaules. Au bout d’un moment , il dit agacé : — Quelle est cette eau qui mouill
ent toute caparaçonnée de soie et le roi l’escorta. Mais au bout d’un moment elle s'écria : — J’ai oublié mon peigne I Elle de
du feu. La veuve ajouta une bûche et de hautes flammes jaillirent. Un moment après, la veuve sentit une démangeaison à la tête
confiée à son épaule. Le benjamin et l’aîné dormaient depuis un long moment lorsque le cadet se réveilla à son tour : il déco
ts et à son peuple. «Sans doute me croient-ils mort, se disait-il par moment avec quelle tristesse, et il est des surprises tr
t Tseriel nous a emmenés chez elle. Le Subtil ajouta : — J'ai épié le moment oit se mettraient à crier toutes les bêtes que l’
serait prêt à l’heure et il promettait d’être excellent. Au bout d’un moment , un agréable fumet se répandit dans la cour. La f
barrassée : — Il est chez mes parents, il rentrera bientôt. Arriva le moment où la femme ne put plus répondre : ‹ H est chez m
e contre un arbre : elle ne quittait pas des yeux son père. Arriva le moment de se mettre à l'ouvrage. Les petites, s’encourag
— Arriverons-nous avant le coucher du soleil ? demandaient- elles par moment à leur père. Et lui leur répondait à peine dans s
de ces dix sous ils feraient leur repas de noces. Ils réfléchirent un moment et se dirent : ‹ Qu’allons-nous acheter maintenan
oignards ! Et il s’en alla joyeux trouver le prince pour lui dire, au moment le plus favorable : — Mon fils, est-ce l'effet de
s défaillance. Qu'elle soit remerciée de nous donner un rare et grave moment de vérité, un livre qui procède de ce que Paul Él
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