ent un si grand nombre d'histoires que, si on prenait ia peine de les
mettre
par écrit, on en remplirait des volumes. › Cette
e l'Antique Egypte, attendaient — pour être fidèlement transcrites et
mises
à l’abri — la venue d’un être joignant au savoir
a lumière chemine vers nous depuis le fond des âges. Les vers se sont
mis
dans le sel. Chant du berceau Et toi, ô Torkia, P
t frères. Ils se réunirent et se dirent : — Cette fois, si notre mère
met
au monde un garçon, nous nous exilerons. Nous nou
que nous ne savons rien d’eux. La jeune fille déclara : — Je vais me
mettre
à leur recherche et les ramener. La mère essaya d
faire son profit de tous ces bons conseils et monta à cheval. Elle se
mit
donc en route, suivie de la négresse. De colline
ais la jeune fille refusa. Dès qu’elle eut atteint un rocher, elle se
mit
à chanter d’une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élè
e de farine d’orge. A peine arrivée sur la hauteur, la jeune fille se
mettait
à chanter d’une voix plaintive, entourée des sept
mme neige et vermeil comme sang abandonna la perdrix à son compagnon,
mit
son fusil sur l'épaule et suivit la direction qui
un grand plat de bois posé à l’envers. A peine Loundja venait-elle de
mettre
à l’abri le jeune homme qu’elle entendit venir sa
s s’ouvrit pour les laisser passer et se referma derrière eux. Ils se
mirent
à courir, à courir de toutes leurs forces. Mais u
Tseriel passa néanmoins, mais ses pieds furent déchirés et ses habits
mis
en lambeaux. Elle se mit à courir, à courir comme
mais ses pieds furent déchirés et ses habits mis en lambeaux. Elle se
mit
à courir, à courir comme une démente en clamant p
usement : — Rivière d’immondices, je veux passer I Mais la rivière se
mit
à gronder de façon menaçante. Tseriel s’y jeta. U
en étendant le bras. Nous y serons à la tombée de la nuit. Et ils se
mirent
à grimper. Ils marchèrent longtemps en montagne.
dit : — L'aigle n’aura pas tué ton fils. Il est certain que s’il l’a
mis
sous son aile, il ne l’a pas tué. Pour délivrer t
aine chercher de l’eau ; à la forêt rapporter un fagot et rentra pour
mettre
sa maison en ordre. A midi, c’est à peine si elle
semoule la plus fine, la plus jolie, elle en fit une galette qu’elle
mit
de côté pour la montrer à son époux. Et puis, ell
son époux. Et puis, elle roula le grain du couscous. Lorsqu’elle eut
mis
la marmite sur le feu, il ne lui resta plus qu’à
Elle alluma la lampe à huile ; elle jeta la viande dans la marmite et
mit
le couscous à cuire à la vapeur. Et puis elle s'a
s mains et s'occupa du diner. Elle posa bientôt la marmite à terre et
mit
sur le feu un chaudron plein d'eau. La Grenouille
ils eurent fini, l’eau chantait. La Grenouille y jeta de la cendre et
mit
la laine à tremper. Puis elle rangea sa maison. L
enouille plus vaillante, sortit la laine du chaudron, la pressa et la
mit
à égoutter dans un couffin. Elle remplit la sacoc
harge de laine, le Crapaud suspendit la sacoche à un arbre. Et ils se
mirent
à l’ouvrage. Le Crapaud rassembla quelques pierre
’ombre des peupliers : ils se couchèrent dessus. Lorsque le soleil se
mit
à baisser, la Grenouille dit au Crapaud : — Homme
ettes et des tomates. Il en remplit la sacoche. Dans la corbeille, il
mit
des figues et des raisins. Et il s’en revint vers
ouille chargea en soupirant le couffin de laine sur son dos et ils se
mirent
en marche. ' Ils avançaient avec peine car, ce qu
tu revenais de la Mecque, tu n’aurais pas trahi la confiance qu’avait
mise
en toi le Prophète. Dieu ne t'aurait point maudit
ants, Tous à l'image de Tifas. Mais si tu choisis l’Au-delà, Tu seras
mise
en terre le même jour que Tifas. — Moi je préfère
lles, mais la fille que tu portes en toi nous passera en beauté. Elle
mit
au monde une fille à la chevelure d’or, une fille
t pleine de vie et de grâce. Sa mère lui dit un soir : — Demain, nous
mettrons
sur le métier une grande couverture. Nous irons p
ir la pelote ? La mère savait bien ce qu’elle faisait. La fillette se
mit
à faire courir la laine : — Plus vite I plus vite
e. La pelote était lourde. Elle s'échappa des mains de l’enfant et se
mit
à rouler. — Cours et rattrape-la ! cria la mère.
a le monde et se réfugia dans la forêt. Il se rapprocha des bêtes, se
mit
à vivre à leur façon, à se nourrir de chair et de
rix, cueillit des légumes et des fruits, et rentra. Il alluma le feu,
mit
tn train le repas et alla réveiller la fillette.
la laissait souvent seule pour aller chasser et couper du bois : elle
mit
à profit ces absences. Tout d’abord, elle se cont
son mari l’aimait. A la grande joie de toute la famille royale, elle
mit
au monde un enfant aux cheveux d’or, un enfant à
l bien peut-il nous venir de la fille du serpent ? Mais le prince qui
mettait
son espoir en Dieu répondit & la reine et au
être bientôt là, sur le seuil ; la veuve le sentait. Aussi avait-elle
mis
sur le métier une belle couverture pour que ses p
de la veuve et lui dit : ‹ Pousse-toi, je vais t’aider. › Et elle se
mit
à tisser. Elle tissait, tissait comme un démon, t
qu’ils étaient ne fut plus que flammes. Elle s’élança au dehors et se
mit
à courir, poursuivie par tous les chiens du voisi
e ? Ma mère, ô ma mère Ah I la la Tu dois me secourir Ah ! la la J’ai
mis
mes beaux atours Ah ! la la Et je suis restée Ah
D’abord, la marâtre ne fit aucun mal aux orphelins. Mais elle vint à
mettre
au monde une fille qu'elle appela Djohra et du jo
rent et se lamentèrent. Lorsqu’il fut arrivé sur la place, le père se
mit
à crier : — Qui veut acheter la vache des orpheli
donnait du beurre et l'autre du miel. Les enfants se penchèrent et se
mirent
à les sucer alternativement. Grâce aux roseaux, l
. Aussi le traînait-elle derrière elle en demandant la charité, et se
mettait
-elle chaque soir en quête d’un ravin, d’un endroi
ns un village. Il enjoignit à ses sujets de la lui attraper. Aîcha se
mit
à courir, à courir comme le vent. Son frère-gazel
ent, elle posa — mais à l’envers — le plat à galette sur le feu et se
mit
à pétrir la pâte. Aïcha, du haut de l’arbre lui p
u l’attacher, la gazelle rompait le lien, allait jusqu’au puits et se
mettait
à bramer en en faisant le tour. A bramer en en fa
ée l’avait attrapée au vol et conduite dans une grotte pour qu’elle y
mît
au monde le fils du sultan. La fée soigna tendrem
al et donne-moi ce poisson. Le pêcheur crut à une plaisanterie. Il se
mit
à rire : — Qui donc échangerait son cheval contre
l par la bride. Mehend s’étendit sur le sable, près du poisson, et se
mit
à réfléchir : il était loin de son pays et de ses
orme féminine. D’un coup de hache le jeune homme le trancha. Et il se
mit
à le sculpter, 'à lui donner un visage. L’aîné se
son tour : il découvrit à ses côtés une femme baignée de lune. Il se
mit
à l’implorer dans la nuit : «Par Dieu et son prop
nce. Il sera ma joie. Dès que ma fille sera plus vaillante, vous vous
mettrez
en route, dussé-je en verser bien des larmes. Sou
is à peine porta-t-il la flûte à sa bouche qu’une voix cristalline sc
mit
à chanter : ‹ O berger, pourquoi me réveiller?...
bine, mon sabre et l’un de nos lévriers (je te laisserai l’autre). Je
mettrai
en terre un arbre : tant que ses feuilles seront
pagné des vieillards et des notables. A leur approche, la fontaine se
mit
à écumer et le dragon montra l'une de ses têtes :
les feuilles de l'arbre que Mehend avait planté avant son départ, se
mirent
à jaunir. Ahmed qui les surveillait s’en aperçut
Lorsque Mehend partit, nous plantâmes un arbre. Ses feuilles s’étant
mises
à jaunir, j’ai compris qu’il fallait me mettre im
e. Ses feuilles s’étant mises à jaunir, j’ai compris qu’il fallait me
mettre
immédiatement à la recherche de mon frère. Le sul
es narines de son frère. Le lézard évanoui éternua, se réveilla et se
mit
à bouger. Ahmed pensa : ‹ Si le lézard a ressusci
et puis vous le fumerez et puis vous l’ensemencerez. ■Les enfants se
mirent
en route. Ils jouèrent, jouèrent tout le long du
usqu’au ruisseau I Ainsi firent-ils jusqu’ au printemps. L’abeille se
mit
à bourdonner, l’oiseau à chanter ; c’était la sai
C’est l’époque de l’abondance ! Ils lancèrent donc leur tamis qui se
mit
à rouler, à rouler. Us le suivirent et se trouvèr
i longue qu’un avant-bras. Ils attachèrent leur fine à un arbre et se
mirent
à écosser. Ils en écossaient, tout en mangeant, d
fit mine de dormir. En réalité il épiait Tseriel. Il attendait que se
missent
à crier toutes les bêtes qu'elle avait mangées po
a emmenés chez elle. Le Subtil ajouta : — J'ai épié le moment oit se
mettraient
à crier toutes les bêtes que l’Ogresse avait aval
e se casse Et qu’il reste sans souper, je m’en réjouis. Il a mangé le
mets
qu’on lui a offert Et il a cassé le plat ! Comme
ait de la lumière. Elle avait épluché et lavé les légumes. Elle avait
mis
la viande à macérer dans l’huile d’olive et toute
mplissaient une terrine. La femme les jeta dans la marmite. Puis elle
mit
à cuire le couscous à la vapeur et vint tranquill
rassemblé mes os. La petite fille reconnut la voix de son frère et se
mit
à trembler. ‹ Que va faire mon père quand il ente
d’une voix sombre. C'est alors que l'oiseau se posa sur le toit et se
mit
à chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon pèr
coururent de tous côtés pour porter ces fagots jusqu’à la masure et y
mettre
le feu. L’Ogre essaya vainement de fuir. Il pesa
endra en aide. Va, et que Dieu te rende la raison I Le jeune homme se
mit
en quête de la génisse la plus grasse. Il la cond
e déshabiller et se coucher. Son mari ne tarda pas à rentrer. Elle se
mit
à gémir et à pleurer dès qu'elle l’entendit. Il d
ur voler deux lionceaux. La chèvre que Mehend emmena dans la forêt se
mit
à bêler, à bêler. Les fauves l'entendirent et s’a
ère, chercha ses petits. Ne les découvrant pas, elle les appela et se
mit
à rugir plaintivement. Quand elle eut pleuré et a
l'ai conté à des Seigneurs. Proverbes J’allais 1e marier Et il s’est
mis
à pleurer ! Laissez-nous l’enfanter et vous l’étr
lle un autre : le métier. La jeune fille répondit : — Lorsque tu t’es
mis
en route, tu as déclaré à mon père : ‹ Je me suis
Elles marchèrent jusqu'au soir. La pauvre femme était sur le point de
mettre
un enfant au monde : elle se sentait bien lasse e
tendit à la fillette. Et puis elle lui confia son frère. Elle le lui
mit
dans les bras et lui dit : — Ecoute, écoute-moi b
tites jambes ! › Et tu le verras se tenir debout. ‹ O joie, mon frère
met
un pied en avant I › Et tu le verras faire un pas
arbres en pleurant. Une clairière lui apparut ; la fillette s'arrêta,
mit
un peu de moelle entre les lèvres du bébé et s'éc
t à se reposer qu’au crépuscule, devant les portes d'un village. Elle
mit
un peu de moelle sur les lèvres de l’enfant et s’
de moelle sur les lèvres de l’enfant et s’écria : — O joie, mon frère
met
un pied en avant I Elle le vit faire son premier
iviers : Reskia mangea des figues et un morceau de galette. Puis elle
mit
un peu de moelle sur les lèvres d’Ali et s’écria
arer?... Rassure-toi : rien au monde ne peut nous diviser. Je vais me
mettre
en quête dès demain et te choisir une fiancée par
C’était des œufs de caille qu’avait trouvés Reskia. Mais Zahoua avait
mis
la main sur des œufs de serpent... Elles rentrère
uit la tête dans le creux de ses genoux. Elle, tout naturellement, se
mit
à lui caresser les cheveux. Il demeura là, immobi
nça, en lui criant : — Attache-la bien autour de tes reins ! Et il se
mit
à tirer Reskia hors du trou, à bout de bras. Dès
fond, juste au-dessus d’un immense plat de bois plein d’eau. Et il se
mit
à remuer cette eau à grand bruit. Sept serpents y
r, près de lui, elle avait laissé son cœur. Reskia fut enceinte. Elle
mit
au monde un garçon qu’elle appela Vouïedhmim qui
e et son fils. Comme ils se disposaient tous à veiller, Vouïedhmim se
mit
à pleurer : — Raconte-lui donc une histoire, cons
it les surprit en pleine forêt. La pauvre femme était sur le point de
mettre
un enfant au monde : elle était très lasse. Les f
chait la queue. Quand il eut fixé les cent queues, il s’éloigna et se
mit
à crier comme un brûlé : — Sauve qui peut ! le pr
c'est lui qui a voulu ta mort ! Le lion remercia le Vieux Sage et se
mit
immédiatement en quête de la génisse la plus gras
r. Comme qui frotterait un nègre Espérant qu'il deviendra blanc. J’ai
mis
en toi ma confiance, chacal, Et tu m’as mangé ma
rbre : elle ne quittait pas des yeux son père. Arriva le moment de se
mettre
à l'ouvrage. Les petites, s’encourageant mutuelle
. Elles le cherchèrent. Elles l’appelèrent de plus en plus fort et se
mirent
à pleurer. Alors Aïcha rassembla ses sœurs et leu
e serait indispensable pour porter les présents et il convenait de se
mettre
aux préparatifs sans perdre de temps. Laissant le
eux autres qu'elle partagea encore entre ses sœurs. La fillette avait
mis
la main sur une mine de fèves. Et le temps s’écou
grotte que bonne entente et joie. Dès la tombée de la nuit, Aïcha se
mettait
à l’affût et voyait Moche passer, majestueux et r
e ne s’inquiéta pas des menaces du chat. Mais du jour où ses sœurs se
mirent
à exiger de véritables repas, elle trembla de voi
’a échappé ce soir, ne m’échappera pas au lever du soleil ! › Elle se
mit
à l’affût de grand matin et elle vit, par le trou
oux, elle la remplit de fruits. Dans son ivresse de cueillir, elle en
mit
jusque dans son corsage. Chargée comme un baudet,
raises et te condamne à mourir de froid. Comme elle se taisait, il se
mit
à la rouer de coups, tout en se rapprochant incon
es royaumes voisins et les asservirait, il exigea des femmes qu’elles
missent
au monde des enfants sans répit. Or Dieu seul oct
chez la Puce avec dix sous et lui déclara : — Voici toute ma fortune.
Mettons
-nous en ménage. Elle y consentit. Alors les deux
p et nous mangerons à notre faim. › Le Pou alla au marché. La Puce se
mit
à moudre le blé. Lorsque le Pou revint, il trouva
oudre le blé. Lorsque le Pou revint, il trouva son épouse en train de
mettre
la marmite sur le feu. Ils lavèrent ensemble les
agner Le long de la rivière ? Nous irions mangeant des figues La mort
met
(in aux misères. Ma mère, le (leuve m'a emportée.
pomme à ta jument et le coeur à ta femme. La sultane sera enceinte et
mettra
au monde un garçon. Mais, ce garçon, gardez-vous
rénom avant que je n’apparaisse. Neuf mois s’écoulèrent et la sultane
mit
au monde un enfant que l’on appela seulement : ‹
frêle arbrisseau qui semblait danser sous la lune. Il le coupa et se
mit
à le sculpter face à la lune, à lui donner un cor
ette bague au cavalier qui te demandera de mes nouvelles ›. Le prince
mit
l’anneau à son petit doigt et donna au berger une
rments entre trois grosses pierres. Puis elle pétrit sa galette et la
mit
à cuire dans le plat qu’à dessein elle avait posé
is précieux surgissent, couvertes de grands plats d'argent remplis de
mets
succulents. Devant si royal festin, le sultan pâl
ses genoux, s'assit à l’endroit qu’elle venait de lui indiquer et se
mit
à converser avec son père le plus agréablement du
urs et leur commanda d’arracher les yeux à Cheikh Smain et de les lui
mettre
dans ses poches. Le prince sans regard était là,
ira tout penaud. Et le pauvre prince s'assit au pied d’un arbre et se
mit
à méditer. La nuit venait, une nuit fraîche. Chei
ur le prince. Et le débat menaçait de durer, quand la vieille femme y
mit
fin : — Partez tous les deux, dit-elle. Le père v
: — Voici une pomme. Lance-la lui : s’il la porte à ses narines et la
met
dans sa poche, c’est lui. Mais s'il la laisse à t
our, il grimpa sur le figuier qui poussait en bordure du chemin et se
mit
à clamer : — Qui veut manger des figues, qui veut
rger l’outre sur son dos. Elle fit quelques pas, mais les cailloux se
mirent
à lui piquer les épaules. Elle s’écria : — Retire
lus haute branche et, regardant non pas ses pieds mais le ciel, il se
mit
à clamer : — Qui veut manger des figues, qui veut
et nous rapporterons du bois. Toi, pendant ce temps, allume le feu et
mets
au-dessus la grande marmite des mariages. Et puis
e Vetellis avait un œil blanc, Velâjoudh, pour n’être pas reconnu, se
mit
un bandeau sur l’œil : il prétexterait que la fum
utre et les ogrillons et ogrillonnes autour d’un troisième. Et ils se
mirent
à manger de grand appétit. Velâjoudh versait la s
it un tison enflammé et le glissa au cœur du tas de branchages pour y
mettre
le feu et s’enfuir. A cet instant, une ogrillonne
s rats étaient inondés d’allégresse et d’espoir : — Où allons-nous te
mettre
, ô joie ! s’écrièrent-ils. Nous ne connaîtrons pl
vec soin : elles rougirent leurs lèvres à l'écorce de noyer. Elles se
mirent
du noir aux yeux, du rose aux joues. Elles sortir
fruits, figues sèches, noix, raisins secs, dattes, blé, fèves. Toutes
mirent
dans de petits couffins ce qu’elles possédaient d
te à mes côtés. Le chaton s'emparait de toutes les offrandes pour les
mettre
en lieu sûr. La maison fut bientôt pleine. Des gr
lorsque le foie bondit hors du capuchon, se dégagea du mouchoir et se
mit
à tressaillir et à palpiter au sol, à ramper, à s
es sur des sièges, ainsi que de précieuses écharpes. Yamina, éblouie,
mit
longtemps à faire son choix. Elle revêtit une rob
— les vaches, les brebis, les chèvres, les agneaux et même l’âne — se
mirent
alors à chuchoter pour que seule Yamina les enten