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1 (1966) Le grain magique
ent un si grand nombre d'histoires que, si on prenait ia peine de les mettre par écrit, on en remplirait des volumes. › Cette
e l'Antique Egypte, attendaient — pour être fidèlement transcrites et mises à l’abri — la venue d’un être joignant au savoir
a lumière chemine vers nous depuis le fond des âges. Les vers se sont mis dans le sel. Chant du berceau Et toi, ô Torkia, P
t frères. Ils se réunirent et se dirent : — Cette fois, si notre mère met au monde un garçon, nous nous exilerons. Nous nou
que nous ne savons rien d’eux. La jeune fille déclara : — Je vais me mettre à leur recherche et les ramener. La mère essaya d
faire son profit de tous ces bons conseils et monta à cheval. Elle se mit donc en route, suivie de la négresse. De colline
ais la jeune fille refusa. Dès qu’elle eut atteint un rocher, elle se mit à chanter d’une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élè
e de farine d’orge. A peine arrivée sur la hauteur, la jeune fille se mettait à chanter d’une voix plaintive, entourée des sept
mme neige et vermeil comme sang abandonna la perdrix à son compagnon, mit son fusil sur l'épaule et suivit la direction qui
un grand plat de bois posé à l’envers. A peine Loundja venait-elle de mettre à l’abri le jeune homme qu’elle entendit venir sa
s s’ouvrit pour les laisser passer et se referma derrière eux. Ils se mirent à courir, à courir de toutes leurs forces. Mais u
Tseriel passa néanmoins, mais ses pieds furent déchirés et ses habits mis en lambeaux. Elle se mit à courir, à courir comme
mais ses pieds furent déchirés et ses habits mis en lambeaux. Elle se mit à courir, à courir comme une démente en clamant p
usement : — Rivière d’immondices, je veux passer I Mais la rivière se mit à gronder de façon menaçante. Tseriel s’y jeta. U
en étendant le bras. Nous y serons à la tombée de la nuit. Et ils se mirent à grimper. Ils marchèrent longtemps en montagne.
dit : — L'aigle n’aura pas tué ton fils. Il est certain que s’il l’a mis sous son aile, il ne l’a pas tué. Pour délivrer t
aine chercher de l’eau ; à la forêt rapporter un fagot et rentra pour mettre sa maison en ordre. A midi, c’est à peine si elle
semoule la plus fine, la plus jolie, elle en fit une galette qu’elle mit de côté pour la montrer à son époux. Et puis, ell
son époux. Et puis, elle roula le grain du couscous. Lorsqu’elle eut mis la marmite sur le feu, il ne lui resta plus qu’à
Elle alluma la lampe à huile ; elle jeta la viande dans la marmite et mit le couscous à cuire à la vapeur. Et puis elle s'a
s mains et s'occupa du diner. Elle posa bientôt la marmite à terre et mit sur le feu un chaudron plein d'eau. La Grenouille
ils eurent fini, l’eau chantait. La Grenouille y jeta de la cendre et mit la laine à tremper. Puis elle rangea sa maison. L
enouille plus vaillante, sortit la laine du chaudron, la pressa et la mit à égoutter dans un couffin. Elle remplit la sacoc
harge de laine, le Crapaud suspendit la sacoche à un arbre. Et ils se mirent à l’ouvrage. Le Crapaud rassembla quelques pierre
’ombre des peupliers : ils se couchèrent dessus. Lorsque le soleil se mit à baisser, la Grenouille dit au Crapaud : — Homme
ettes et des tomates. Il en remplit la sacoche. Dans la corbeille, il mit des figues et des raisins. Et il s’en revint vers
ouille chargea en soupirant le couffin de laine sur son dos et ils se mirent en marche. ' Ils avançaient avec peine car, ce qu
tu revenais de la Mecque, tu n’aurais pas trahi la confiance qu’avait mise en toi le Prophète. Dieu ne t'aurait point maudit
ants, Tous à l'image de Tifas. Mais si tu choisis l’Au-delà, Tu seras mise en terre le même jour que Tifas. — Moi je préfère
lles, mais la fille que tu portes en toi nous passera en beauté. Elle mit au monde une fille à la chevelure d’or, une fille
t pleine de vie et de grâce. Sa mère lui dit un soir : — Demain, nous mettrons sur le métier une grande couverture. Nous irons p
ir la pelote ? La mère savait bien ce qu’elle faisait. La fillette se mit à faire courir la laine : — Plus vite I plus vite
e. La pelote était lourde. Elle s'échappa des mains de l’enfant et se mit à rouler. — Cours et rattrape-la ! cria la mère.
a le monde et se réfugia dans la forêt. Il se rapprocha des bêtes, se mit à vivre à leur façon, à se nourrir de chair et de
rix, cueillit des légumes et des fruits, et rentra. Il alluma le feu, mit tn train le repas et alla réveiller la fillette.
la laissait souvent seule pour aller chasser et couper du bois : elle mit à profit ces absences. Tout d’abord, elle se cont
son mari l’aimait. A la grande joie de toute la famille royale, elle mit au monde un enfant aux cheveux d’or, un enfant à
l bien peut-il nous venir de la fille du serpent ? Mais le prince qui mettait son espoir en Dieu répondit & la reine et au
être bientôt là, sur le seuil ; la veuve le sentait. Aussi avait-elle mis sur le métier une belle couverture pour que ses p
de la veuve et lui dit : ‹ Pousse-toi, je vais t’aider. › Et elle se mit à tisser. Elle tissait, tissait comme un démon, t
qu’ils étaient ne fut plus que flammes. Elle s’élança au dehors et se mit à courir, poursuivie par tous les chiens du voisi
e ? Ma mère, ô ma mère Ah I la la Tu dois me secourir Ah ! la la J’ai mis mes beaux atours Ah ! la la Et je suis restée Ah
D’abord, la marâtre ne fit aucun mal aux orphelins. Mais elle vint à mettre au monde une fille qu'elle appela Djohra et du jo
rent et se lamentèrent. Lorsqu’il fut arrivé sur la place, le père se mit à crier : — Qui veut acheter la vache des orpheli
donnait du beurre et l'autre du miel. Les enfants se penchèrent et se mirent à les sucer alternativement. Grâce aux roseaux, l
. Aussi le traînait-elle derrière elle en demandant la charité, et se mettait -elle chaque soir en quête d’un ravin, d’un endroi
ns un village. Il enjoignit à ses sujets de la lui attraper. Aîcha se mit à courir, à courir comme le vent. Son frère-gazel
ent, elle posa — mais à l’envers — le plat à galette sur le feu et se mit à pétrir la pâte. Aïcha, du haut de l’arbre lui p
u l’attacher, la gazelle rompait le lien, allait jusqu’au puits et se mettait à bramer en en faisant le tour. A bramer en en fa
ée l’avait attrapée au vol et conduite dans une grotte pour qu’elle y mît au monde le fils du sultan. La fée soigna tendrem
al et donne-moi ce poisson. Le pêcheur crut à une plaisanterie. Il se mit à rire : — Qui donc échangerait son cheval contre
l par la bride. Mehend s’étendit sur le sable, près du poisson, et se mit à réfléchir : il était loin de son pays et de ses
orme féminine. D’un coup de hache le jeune homme le trancha. Et il se mit à le sculpter, 'à lui donner un visage. L’aîné se
son tour : il découvrit à ses côtés une femme baignée de lune. Il se mit à l’implorer dans la nuit : «Par Dieu et son prop
nce. Il sera ma joie. Dès que ma fille sera plus vaillante, vous vous mettrez en route, dussé-je en verser bien des larmes. Sou
is à peine porta-t-il la flûte à sa bouche qu’une voix cristalline sc mit à chanter : ‹ O berger, pourquoi me réveiller?...
bine, mon sabre et l’un de nos lévriers (je te laisserai l’autre). Je mettrai en terre un arbre : tant que ses feuilles seront
pagné des vieillards et des notables. A leur approche, la fontaine se mit à écumer et le dragon montra l'une de ses têtes :
les feuilles de l'arbre que Mehend avait planté avant son départ, se mirent à jaunir. Ahmed qui les surveillait s’en aperçut
Lorsque Mehend partit, nous plantâmes un arbre. Ses feuilles s’étant mises à jaunir, j’ai compris qu’il fallait me mettre im
e. Ses feuilles s’étant mises à jaunir, j’ai compris qu’il fallait me mettre immédiatement à la recherche de mon frère. Le sul
es narines de son frère. Le lézard évanoui éternua, se réveilla et se mit à bouger. Ahmed pensa : ‹ Si le lézard a ressusci
et puis vous le fumerez et puis vous l’ensemencerez. ■Les enfants se mirent en route. Ils jouèrent, jouèrent tout le long du
usqu’au ruisseau I Ainsi firent-ils jusqu’ au printemps. L’abeille se mit à bourdonner, l’oiseau à chanter ; c’était la sai
C’est l’époque de l’abondance ! Ils lancèrent donc leur tamis qui se mit à rouler, à rouler. Us le suivirent et se trouvèr
i longue qu’un avant-bras. Ils attachèrent leur fine à un arbre et se mirent à écosser. Ils en écossaient, tout en mangeant, d
fit mine de dormir. En réalité il épiait Tseriel. Il attendait que se missent à crier toutes les bêtes qu'elle avait mangées po
a emmenés chez elle. Le Subtil ajouta : — J'ai épié le moment oit se mettraient à crier toutes les bêtes que l’Ogresse avait aval
e se casse Et qu’il reste sans souper, je m’en réjouis. Il a mangé le mets qu’on lui a offert Et il a cassé le plat ! Comme
ait de la lumière. Elle avait épluché et lavé les légumes. Elle avait mis la viande à macérer dans l’huile d’olive et toute
mplissaient une terrine. La femme les jeta dans la marmite. Puis elle mit à cuire le couscous à la vapeur et vint tranquill
rassemblé mes os. La petite fille reconnut la voix de son frère et se mit à trembler. ‹ Que va faire mon père quand il ente
d’une voix sombre. C'est alors que l'oiseau se posa sur le toit et se mit à chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon pèr
coururent de tous côtés pour porter ces fagots jusqu’à la masure et y mettre le feu. L’Ogre essaya vainement de fuir. Il pesa
endra en aide. Va, et que Dieu te rende la raison I Le jeune homme se mit en quête de la génisse la plus grasse. Il la cond
e déshabiller et se coucher. Son mari ne tarda pas à rentrer. Elle se mit à gémir et à pleurer dès qu'elle l’entendit. Il d
ur voler deux lionceaux. La chèvre que Mehend emmena dans la forêt se mit à bêler, à bêler. Les fauves l'entendirent et s’a
ère, chercha ses petits. Ne les découvrant pas, elle les appela et se mit à rugir plaintivement. Quand elle eut pleuré et a
l'ai conté à des Seigneurs. Proverbes J’allais 1e marier Et il s’est mis à pleurer ! Laissez-nous l’enfanter et vous l’étr
lle un autre : le métier. La jeune fille répondit : — Lorsque tu t’es mis en route, tu as déclaré à mon père : ‹ Je me suis
Elles marchèrent jusqu'au soir. La pauvre femme était sur le point de mettre un enfant au monde : elle se sentait bien lasse e
tendit à la fillette. Et puis elle lui confia son frère. Elle le lui mit dans les bras et lui dit : — Ecoute, écoute-moi b
tites jambes ! › Et tu le verras se tenir debout. ‹ O joie, mon frère met un pied en avant I › Et tu le verras faire un pas
arbres en pleurant. Une clairière lui apparut ; la fillette s'arrêta, mit un peu de moelle entre les lèvres du bébé et s'éc
t à se reposer qu’au crépuscule, devant les portes d'un village. Elle mit un peu de moelle sur les lèvres de l’enfant et s’
de moelle sur les lèvres de l’enfant et s’écria : — O joie, mon frère met un pied en avant I Elle le vit faire son premier
iviers : Reskia mangea des figues et un morceau de galette. Puis elle mit un peu de moelle sur les lèvres d’Ali et s’écria
arer?... Rassure-toi : rien au monde ne peut nous diviser. Je vais me mettre en quête dès demain et te choisir une fiancée par
C’était des œufs de caille qu’avait trouvés Reskia. Mais Zahoua avait mis la main sur des œufs de serpent... Elles rentrère
uit la tête dans le creux de ses genoux. Elle, tout naturellement, se mit à lui caresser les cheveux. Il demeura là, immobi
nça, en lui criant : — Attache-la bien autour de tes reins ! Et il se mit à tirer Reskia hors du trou, à bout de bras. Dès
fond, juste au-dessus d’un immense plat de bois plein d’eau. Et il se mit à remuer cette eau à grand bruit. Sept serpents y
r, près de lui, elle avait laissé son cœur. Reskia fut enceinte. Elle mit au monde un garçon qu’elle appela Vouïedhmim qui
e et son fils. Comme ils se disposaient tous à veiller, Vouïedhmim se mit à pleurer : — Raconte-lui donc une histoire, cons
it les surprit en pleine forêt. La pauvre femme était sur le point de mettre un enfant au monde : elle était très lasse. Les f
chait la queue. Quand il eut fixé les cent queues, il s’éloigna et se mit à crier comme un brûlé : — Sauve qui peut ! le pr
c'est lui qui a voulu ta mort ! Le lion remercia le Vieux Sage et se mit immédiatement en quête de la génisse la plus gras
r. Comme qui frotterait un nègre Espérant qu'il deviendra blanc. J’ai mis en toi ma confiance, chacal, Et tu m’as mangé ma
rbre : elle ne quittait pas des yeux son père. Arriva le moment de se mettre à l'ouvrage. Les petites, s’encourageant mutuelle
. Elles le cherchèrent. Elles l’appelèrent de plus en plus fort et se mirent à pleurer. Alors Aïcha rassembla ses sœurs et leu
e serait indispensable pour porter les présents et il convenait de se mettre aux préparatifs sans perdre de temps. Laissant le
eux autres qu'elle partagea encore entre ses sœurs. La fillette avait mis la main sur une mine de fèves. Et le temps s’écou
grotte que bonne entente et joie. Dès la tombée de la nuit, Aïcha se mettait à l’affût et voyait Moche passer, majestueux et r
e ne s’inquiéta pas des menaces du chat. Mais du jour où ses sœurs se mirent à exiger de véritables repas, elle trembla de voi
’a échappé ce soir, ne m’échappera pas au lever du soleil ! › Elle se mit à l’affût de grand matin et elle vit, par le trou
oux, elle la remplit de fruits. Dans son ivresse de cueillir, elle en mit jusque dans son corsage. Chargée comme un baudet,
raises et te condamne à mourir de froid. Comme elle se taisait, il se mit à la rouer de coups, tout en se rapprochant incon
es royaumes voisins et les asservirait, il exigea des femmes qu’elles missent au monde des enfants sans répit. Or Dieu seul oct
chez la Puce avec dix sous et lui déclara : — Voici toute ma fortune. Mettons -nous en ménage. Elle y consentit. Alors les deux
p et nous mangerons à notre faim. › Le Pou alla au marché. La Puce se mit à moudre le blé. Lorsque le Pou revint, il trouva
oudre le blé. Lorsque le Pou revint, il trouva son épouse en train de mettre la marmite sur le feu. Ils lavèrent ensemble les
agner Le long de la rivière ? Nous irions mangeant des figues La mort met (in aux misères. Ma mère, le (leuve m'a emportée.
pomme à ta jument et le coeur à ta femme. La sultane sera enceinte et mettra au monde un garçon. Mais, ce garçon, gardez-vous
rénom avant que je n’apparaisse. Neuf mois s’écoulèrent et la sultane mit au monde un enfant que l’on appela seulement : ‹
frêle arbrisseau qui semblait danser sous la lune. Il le coupa et se mit à le sculpter face à la lune, à lui donner un cor
ette bague au cavalier qui te demandera de mes nouvelles ›. Le prince mit l’anneau à son petit doigt et donna au berger une
rments entre trois grosses pierres. Puis elle pétrit sa galette et la mit à cuire dans le plat qu’à dessein elle avait posé
is précieux surgissent, couvertes de grands plats d'argent remplis de mets succulents. Devant si royal festin, le sultan pâl
ses genoux, s'assit à l’endroit qu’elle venait de lui indiquer et se mit à converser avec son père le plus agréablement du
urs et leur commanda d’arracher les yeux à Cheikh Smain et de les lui mettre dans ses poches. Le prince sans regard était là,
ira tout penaud. Et le pauvre prince s'assit au pied d’un arbre et se mit à méditer. La nuit venait, une nuit fraîche. Chei
ur le prince. Et le débat menaçait de durer, quand la vieille femme y mit fin : — Partez tous les deux, dit-elle. Le père v
: — Voici une pomme. Lance-la lui : s’il la porte à ses narines et la met dans sa poche, c’est lui. Mais s'il la laisse à t
our, il grimpa sur le figuier qui poussait en bordure du chemin et se mit à clamer : — Qui veut manger des figues, qui veut
rger l’outre sur son dos. Elle fit quelques pas, mais les cailloux se mirent à lui piquer les épaules. Elle s’écria : — Retire
lus haute branche et, regardant non pas ses pieds mais le ciel, il se mit à clamer : — Qui veut manger des figues, qui veut
et nous rapporterons du bois. Toi, pendant ce temps, allume le feu et mets au-dessus la grande marmite des mariages. Et puis
e Vetellis avait un œil blanc, Velâjoudh, pour n’être pas reconnu, se mit un bandeau sur l’œil : il prétexterait que la fum
utre et les ogrillons et ogrillonnes autour d’un troisième. Et ils se mirent à manger de grand appétit. Velâjoudh versait la s
it un tison enflammé et le glissa au cœur du tas de branchages pour y mettre le feu et s’enfuir. A cet instant, une ogrillonne
s rats étaient inondés d’allégresse et d’espoir : — Où allons-nous te mettre , ô joie ! s’écrièrent-ils. Nous ne connaîtrons pl
vec soin : elles rougirent leurs lèvres à l'écorce de noyer. Elles se mirent du noir aux yeux, du rose aux joues. Elles sortir
fruits, figues sèches, noix, raisins secs, dattes, blé, fèves. Toutes mirent dans de petits couffins ce qu’elles possédaient d
te à mes côtés. Le chaton s'emparait de toutes les offrandes pour les mettre en lieu sûr. La maison fut bientôt pleine. Des gr
lorsque le foie bondit hors du capuchon, se dégagea du mouchoir et se mit à tressaillir et à palpiter au sol, à ramper, à s
es sur des sièges, ainsi que de précieuses écharpes. Yamina, éblouie, mit longtemps à faire son choix. Elle revêtit une rob
— les vaches, les brebis, les chèvres, les agneaux et même l’âne — se mirent alors à chuchoter pour que seule Yamina les enten
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
int au palais du roi, où il y avoit un grand festin pour les fées. On mit devant chacune d’elles un couvert magnifique, ave
qu’il falloit que cela arrivast, puisque les fées l’avoient dit, fit mettre la princesse dans le plus bel appartement du pala
umineux et de divin. Il s’approcha en tremblant et en admirant, et se mit à genoux auprés d’elle. Alors, comme la fin de l’
et en riant se jetter à son col, et luy demander du bon du bon. Il se mit à pleurer : le couteau luy tomba des mains, et il
ut devorée en un instant par les vilaines bestes qu’elle y avoit fait mettre . Le roi ne laissa pas d’en estre fasché : elle es
y par ce chemin-là ; et nous verrons qui plûtost y sera. » Le Loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui esto
ant entrer, luy dit en se cachant dans le lit, sous la couverture : « Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche
e coucher avec moy. » Le petit Chaperon rouge se deshabille, et va se mettre dans le lit, où elle fut bien estonnée de voir co
Je leur fais signe tant que je puis de se haster. » La Barbe-Bleuë se mit à crier si fort que toute la maison en trembla. L
t s’en alla dans une garenne où il y avoit grand nombre de lapins. Il mit du son et des lasserons dans son sac, et, s’esten
e ce monde, vint se fourrer dans son sac pour manger ce qu’il y avoit mis . A peine fut-il couché qu’il eut contentement : u
Dans le temps qu’il se baignoit, le roy vint à passer, et le Chat se mit à crier de toute sa force : « Au secours ! au sec
voilà monsieur le marquis de Carabas qui se noye ! » A ce cry, le roy mit la teste à la portiere, et, reconnoissant le Chat
us allez voir. » Et en même temps il se changea en une souris, qui se mit à courir sur le plancher. Le Chat ne l’eut pas pl
si vous voulez. — Vous n’estes guere honneste, reprit la fée sans se mettre en colere. Et bien ! puisque vous estes si peu ob
ernoit entierement. Lorſqu’elle avoit fait ſon ouvrage, elle s’alloit mettre au coin de la cheminée & s’aſſeoir dans les c
le plus longtemps qu’elle put ; lorſqu’elle ne les vit plus, elle ſe mit à pleurer. Sa Maraine, qui la vit toute en pleurs
ffes aſſez belles & des ouvriers aſſez habiles. Le Fils du Roi la mit à la place la plus honorable, & enſuite la pr
Helas ! Mademoiſelle Javote, preſtez-moi voſtre habit jaune que vous mettez tous les jours : vraiment, dit mademoiſelle Javot
t en riant, que je voye ſi elle ne me ſerait pas bonne : ſes ſœurs ſe mirent à rire et à ſe moquer d’elle. Le Gentilhomme qui
e quand Cendrillon tira de ſa poche l’autre petite pentoufle, qu’elle mit à ſon pied. Là-deſſus arriva la Maraine, qui, aya
cela consola un peu la pauvre reine, qui estoit bien affligée d’avoir mis au monde un si vilain marmot. Il est vray que cet
ë. — Si ce n’est que cela, Madame, qui vous afflige, je puis aisement mettre fin à vostre douleur. — Et comment ferez-vous ? d
tte marmite » ; l’autre : « Donne-moy cette chaudiere » ; l’autre : « Mets du bois dans ce feu. » La terre s’ouvrit dans le
ui tous, la lardoire à la main et la queuë de renard sur l’oreille se mirent à travailler en cadence, au son d’une chanson har
me a de l’esprit. AUTRE MORALITÉ Dans un objet où la nature Aura mis de beaux traits et la vive peinture D’un teint où
dix pas de distance on ne se voyoit pas l’un l’autre. Le Bucheron se mit à couper du bois et ses enfans à ramasser des bro
un petit sentier détourné. Lors que ces enfans se virent seuls, il se mirent à crier et à pleurer de toute leur force. Le peti
oient venus dans la forest. Ils n’oserent d’abord entrer, mais ils se mirent tous contre la porte pour écouter ce que disaient
ois si haut que les enfans, qui étoient à la porte l’ayant entendu se mirent à crier tous ensemble, nous voyla, nous voyla. E
qu’il estoit un peu rousseau, et qu’elle estoit un peu rousse. Ils se mirent à Table, et mangerent d’un apetit qui faisoit pla
doient à coucher par charité. Cette femme les voyant tous si jolis se mit à pleurer, et leur dit , helas ! mes pauvres enfa
si le soupé estoit prest et si on avoit tiré du vin, et aussitost se mit à table. Le Mouton estoit encore tout sanglant, m
les tira de dessous le lit l’un aprés l’autre. Ces pauvres enfans se mirent à genoux en luy demandant pardon , mais ils avoie
e lit de la même grandeur , ce fut dans ce lit que la femme de l’Ogre mit coucher les sept petits garçons , aprés quoi elle
nant les bonnets de ses freres et le sien, il alla tout doucement les mettre sur la teste des sept filles de l’Ogre aprés leur
ept filles de l’Ogre aprés leur avoir osté leurs Couronnes d’or qu’il mit sur la teste de ses freres et sur la sienne affin
es de sept lieuës, luy dit-il, afin que j’aille les attrapper. Il se mit en campagne, et aprés avoir couru bien loin de to
ent à la maison pendant que l’Ogre dormoit bien fort, et qu’ils ne se missent point en peine de luy. Ils crurent son conseil, e
et s’estant approché de l’Ogre, lui tira doucement ses bottes, et les mit aussi tost; les bottes estoient fort grandes et f
payoient si mal, et cela alloit à si peu de chose, qu’il ne daignoit mettre en ligne de conte, ce qu’il gagnoit de ce côté-là
ù il n’est pas possible d’imaginer la joye qu’on eut de le revoir. Il mit toute sa famille à son aise. Il achepta des Offic
ue numérique multilingue, construite par des bénévoles, a pour but de mettre à la disposition du plus grand nombre tout type d
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