reine, en luy faisant manger une jeune biche en vostre place. » Il la
mena
aussitost à sa chambre, où, la laissant embrasser
emmes estoient devenuës. La Barbe-Bleue, pour faire connoissance, les
mena
, avec leur mere et trois ou quatre de leurs meill
ſeras-tu bonne fille ? dit ſa Maraine ; je t’y feray aller ? Elle la
mena
dans ſa chambre, et luy dit, va dans le jardin &a
la recevoir ; il luy donna la main à la deſcente du caroſſe, & la
mena
dans la ſalle où eſtoit la compagnie : il ſe fit
oi la mit à la place la plus honorable, & enſuite la prit pour la
mener
danſer : elle dança avec tant de grace, qu’on l’a
de bon cœur, & qu’elle les prioit de l’aimer bien toûjours. On la
mena
chez le jeune Prince, parée comme elle eſtoit : i
ois les voir mourir de faim devant mes yeux, et je suis resolu de les
mener
perdre demain au bois, ce qui sera bien aisé, car
s qu’ils nous voyent. Ah ! s’écria la Bucheronne, pourois-tu toy-même
mener
perdre tes enfans ? Son mary avoit beau luy repre
eray bien au logis, suivez-moy seulement: ils le suivirent, et il les
mena
jusqu’à leur maison, par le même chemin qu’ils es
urent de les perdre encore, et, pour ne pas manquer leur coup, de les
mener
bien plus loin que la premiere fois. Ils ne puren
cacher à son mary jusqu’au lendemain matin, les laissa entrer et les
mena
se chauffer auprés d’un bon feu , car il y avoit
, donne leur bien à souper affin qu’ils ne maigrissent pas, et va les
mener
coucher. La bonne femme fut ravie de joye, et le
resse dans la maison des sept frères. La jeune fille dut la servir et
mener
les chameaux au pâturage. La négresse lui donnait
revêtir sa peau sombre. Tu n’auras plus qu’à suivre les ânes. Ils te
mèneront
chez nous. Et là, dis à mon père : ‹ Ton fils, un
andoulière et le battoir à la main, sortirent à l’aube. Le chemin qui
menait
à la rivière était en pente. Ils s’y engagèrent.
Je ne retirerai pas ta main avant que tu ne m’aies montré la voie qui
mène
à Soumicha », lui répondis-je posément. Alors, el
le temps s’écoula. Les enfants étaient maintenant des adolescents qui
menaient
paître les troupeaux sur les crêtes. Ils partaien
valeureux, capable de prouesses. — Demain, au point du jour, vous me
mènerez
vers le dragon- aux-sept-têtes, déclara Mehend. L
autres hommes identiques au premier, en retrait dans la pénombre. On
mena
la belle jeune fille se reposer dans une chambre.
ent aux bienheureux qui les goûtent une éternelle jeunesse. L’Ogresse
mena
le jeune homme vers un bel arbre constelle de fru
nderait. Mehend se montra et dit : — C’est moi. Je voudrais que tu me
mènes
sur le plus haut glacier et que tu me permettes d
du monde ont des oncles qu'ils vont voir, sauf moi. Je veux qu’on me
mène
chez mon oncle Ali. › Le père en rentrant trouva
plainte : O Vouîedhmim, mon fils, Que m’a fait ton oncle Ali ! Il m’a
mené
dans les bois Et m'a abandonnée I... Ali et sa fe
u, ô roi des animaux? A en juger par ce que je vois, tes jambes t’ont
mené
fort loin. Il faut que tu aies retrouvé l’agilité
t d’elles. Les plus grandes pourtant aidaient aux travaux des champs,
menaient
paître les troupeaux, ramassaient l’herbe, cueill
à deux mains son cœur, n’osant regarder vers le pauvre homme qui les
menait
à la mort. Les enfants marchèrent d’un bon pas. M
Smaïn ? Mais c’est le fils de ma sœur chérie que tu viens de nommer I
Mène
-moi vers lui sur le champ, afin que je sois la pr
érément. Le sultan ordonna qu’on le chargeât sur un mulet et qu’on le
menât
en pleine forêt pour que les fauves le dévorent.
lus souvent les repas. Les garçons aidaient aux travaux des champs et
menaient
paître, l’été, les troupeaux dans la montagne. Ag
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