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1 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
reine, en luy faisant manger une jeune biche en vostre place. » Il la mena aussitost à sa chambre, où, la laissant embrasser
emmes estoient devenuës. La Barbe-Bleue, pour faire connoissance, les mena , avec leur mere et trois ou quatre de leurs meill
ſeras-tu bonne fille ? dit ſa Maraine ; je t’y feray aller ? Elle la mena dans ſa chambre, et luy dit, va dans le jardin &a
la recevoir ; il luy donna la main à la deſcente du caroſſe, & la mena dans la ſalle où eſtoit la compagnie : il ſe fit
oi la mit à la place la plus honorable, & enſuite la prit pour la mener danſer : elle dança avec tant de grace, qu’on l’a
de bon cœur, & qu’elle les prioit de l’aimer bien toûjours. On la mena chez le jeune Prince, parée comme elle eſtoit : i
ois les voir mourir de faim devant mes yeux, et je suis resolu de les mener perdre demain au bois, ce qui sera bien aisé, car
s qu’ils nous voyent. Ah ! s’écria la Bucheronne, pourois-tu toy-même mener perdre tes enfans ? Son mary avoit beau luy repre
eray bien au logis, suivez-moy seulement: ils le suivirent, et il les mena jusqu’à leur maison, par le même chemin qu’ils es
urent de les perdre encore, et, pour ne pas manquer leur coup, de les mener bien plus loin que la premiere fois. Ils ne puren
cacher à son mary jusqu’au lendemain matin, les laissa entrer et les mena se chauffer auprés d’un bon feu , car il y avoit
, donne leur bien à souper affin qu’ils ne maigrissent pas, et va les mener coucher. La bonne femme fut ravie de joye, et le
2 (1966) Le grain magique
resse dans la maison des sept frères. La jeune fille dut la servir et mener les chameaux au pâturage. La négresse lui donnait
revêtir sa peau sombre. Tu n’auras plus qu’à suivre les ânes. Ils te mèneront chez nous. Et là, dis à mon père : ‹ Ton fils, un
andoulière et le battoir à la main, sortirent à l’aube. Le chemin qui menait à la rivière était en pente. Ils s’y engagèrent.
Je ne retirerai pas ta main avant que tu ne m’aies montré la voie qui mène à Soumicha », lui répondis-je posément. Alors, el
le temps s’écoula. Les enfants étaient maintenant des adolescents qui menaient paître les troupeaux sur les crêtes. Ils partaien
valeureux, capable de prouesses. — Demain, au point du jour, vous me mènerez vers le dragon- aux-sept-têtes, déclara Mehend. L
autres hommes identiques au premier, en retrait dans la pénombre. On mena la belle jeune fille se reposer dans une chambre.
ent aux bienheureux qui les goûtent une éternelle jeunesse. L’Ogresse mena le jeune homme vers un bel arbre constelle de fru
nderait. Mehend se montra et dit : — C’est moi. Je voudrais que tu me mènes sur le plus haut glacier et que tu me permettes d
du monde ont des oncles qu'ils vont voir, sauf moi. Je veux qu’on me mène chez mon oncle Ali. › Le père en rentrant trouva
plainte : O Vouîedhmim, mon fils, Que m’a fait ton oncle Ali ! Il m’a mené dans les bois Et m'a abandonnée I... Ali et sa fe
u, ô roi des animaux? A en juger par ce que je vois, tes jambes t’ont mené fort loin. Il faut que tu aies retrouvé l’agilité
t d’elles. Les plus grandes pourtant aidaient aux travaux des champs, menaient paître les troupeaux, ramassaient l’herbe, cueill
à deux mains son cœur, n’osant regarder vers le pauvre homme qui les menait à la mort. Les enfants marchèrent d’un bon pas. M
Smaïn ? Mais c’est le fils de ma sœur chérie que tu viens de nommer I Mène -moi vers lui sur le champ, afin que je sois la pr
érément. Le sultan ordonna qu’on le chargeât sur un mulet et qu’on le menât en pleine forêt pour que les fauves le dévorent.
lus souvent les repas. Les garçons aidaient aux travaux des champs et menaient paître, l’été, les troupeaux dans la montagne. Ag
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