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1 (1966) Le grain magique
s le Chevrier. Viens, Dieu veuille t’inspirer. Retourne auprès de ton mari . — Va, occupe-toi donc de tes pieds pleins de ger
gneur le Lion, le roi des fauves. Viens, suis- moi, retourne vers ton mari . — Toi, mon seigneur? Si tu étais le roi des fauv
i. Elle vécut heureuse à la cour durant quelques mois. Le prince, son mari l’aimait. A la grande joie de toute la famille ro
de d’un grand mal. Lorsqu’elle se vit près de mourir, elle appela son mari et lui dit : — Promets-moi que tu ne vendras jama
n tirer ? CHANT satirique Laisse-moi la paix, mon fils, Je crains mon mari , mon fils. — S'il te bat, je te défendrai. Sur mo
bat, je te défendrai. Sur mon honneur, je refuse ! — Malheureuse, ton mari T'épie du grenier I Proverbes L’âne est emporté p
t appelé l’homme aux yeux clairs. Toi pioche, et moi je halèterai. Le mari est un bâton qui chasse les chiens, Une barrière
ule de ton père. Et toi, Djohra Orner, Si joliment formée, Tu as pour mari Lûrbi Aith Oubavas, Chien accroupi sur un charnie
vapeur et vint tranquillement s’asseoir sur le pas de sa porte ; son mari pourrait être fier d’elle, le repas serait prêt à
ceau de viande ! Alors, la malheureuse se souvint des invités que son mari devait lui amener. Qu’allait-elle leur présenter?
ie et ne referma sur lui la trappe que vers le soir, à l'heure où son mari avait coutume de rentrer. Mehend revenait tout jo
paix et le bonheur définitivement revenus. Mais un matin que le jeune mari était retourné à la chasse, l’Ogre dit à sa belle
ttendit que l’Ogre eût disparu pour se déshabiller et se coucher. Son mari ne tarda pas à rentrer. Elle se mit à gémir et à
ne volonté I implorait cette voix. La mère regarda ses enfants et son mari assis autour du haut plat de bois plein à ras bor
s pour trente jours seulement. Car, dans trente jours exactement, mon mari reviendra me chercher. Ses frères et sœurs accour
ne nous parles-tu que des splendeurs qui t’entourent et jamais de ton mari ? Vas-tu partir sans nous dire comment il est? Ne
r lever ton regard sur lui I Quelle est la femme qui accepterait pour mari un être dont elle ne connaîtrait que la voix, sin
sement la brise légère qui lui annonçait chaque nuit le retour de son mari . Dès qu’elle sentit l’Oiseau de l’Orage sur le se
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
toutes les richesses de sa maison, n’ayant osé y venir pendant que le mari y estoit, à cause de sa barbe bleuë, qui leur fai
binet. elle s’y arresta quelque temps, songeant à la deffense que son mari luy avoit faite, et considerant qu’il pourroit lu
rés des dames que vous y avez veuës. » Elle se jetta aux pieds de son mari en pleurant, et en luy demandant pardon, avec tou
e laisserent mort. La pauvre femme estoit presque aussi morte que son mari , et n’avoit pas la force de se lever pour embrass
illes de ſon humeur, & qui luy reſſembloient en toutes choſes. Le Mari avoit, de ſon coſté, une jeune fille, mais d’une
tout ce qu’elle avoit : car cet Ogre ne laissoit pas d’estre fort bon mari , quoy qu’il mangeast les petits enfans. Le petit
se trouvoit quelques femmes qui le chargeoient de Lettres pour leurs maris , mais elles le payoient si mal, et cela alloit à
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