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1 (1966) Le grain magique
fusil sur l'épaule et suivit la direction qui lui était indiquée. Il marcha , marcha tout un jour et toute une nuit avant d’en
ur l'épaule et suivit la direction qui lui était indiquée. Il marcha, marcha tout un jour et toute une nuit avant d’entrer dan
ri le jeune homme qu’elle entendit venir sa mère. Tseriel, l’ogresse, marchait pesamment : Tseriel touchait à la.fois à la terre
Nous y serons à la tombée de la nuit. Et ils se mirent à grimper. Ils marchèrent longtemps en montagne. Comme ils s'engageaient da
tout ce qu’ils avaient mangé. La Grenouille surtout était lasse. Ils marchèrent , marchèrent. A la vue d'un chêne, la Grenouille s
ils avaient mangé. La Grenouille surtout était lasse. Ils marchèrent, marchèrent . A la vue d'un chêne, la Grenouille soupira : — J
euse. La nuit va nous surprendre et notre maison est encore loin. Ils marchèrent , marchèrent encore. Une colline apparut. — Je sui
t va nous surprendre et notre maison est encore loin. Ils marchèrent, marchèrent encore. Une colline apparut. — Je suis fatiguée,
st ton seigneur le Roitelet des roitelets, vert comme le fiel. Tu vas marcher devant moi, ou gare à la matraque I — Un instant
ssons. Revenir en arrière?... Elle avait perdu son chemin. Alors elle marcha au hasard sur ses petites jambes. Elle marcha lon
son chemin. Alors elle marcha au hasard sur ses petites jambes. Elle marcha longtemps, elle marcha jusqu’à l’orée de la forêt
marcha au hasard sur ses petites jambes. Elle marcha longtemps, elle marcha jusqu’à l’orée de la forêt. C'est alors qu’elle d
lé, roulé. Je l’ai suivie... Je l’ai perdue de vue et j’ai continué à marcher jusqu'ici. Il prit de l’eau pour lui laver le vis
outes sortes de biens et de richesses. Mais une nuit, par mégarde, il marcha sur un serpent. Ce serpent le regarda, se dressa
te, prit son frère par la main et ils partirent droit devant eux. Ils marchèrent , ils marchèrent. Ils atteignirent au crépuscule u
re par la main et ils partirent droit devant eux. Ils marchèrent, ils marchèrent . Ils atteignirent au crépuscule une forêt. Ils pa
emps des yeux. Mehend, comme une flèche, se dirigea vers l’Orient. Il marcha des jours et des jours, parcourut les plaines, tr
t de ne se séparer jamais. Ils le lui promirent et s’éloignèrent. Ils marchèrent longtemps avant d’atteindre un matin la forêt. El
Ma sœur a rassemblé mes os. Le père comprit. Il se leva, terrible, et marcha vers la femme. Mais alors l’oiseau chanta à nouve
a charité. Ils traversèrent des rivières, gravirent des hauteurs. Ils marchèrent , marchèrent jusqu’à en être épuisés et pénétrèren
ls traversèrent des rivières, gravirent des hauteurs. Ils marchèrent, marchèrent jusqu’à en être épuisés et pénétrèrent dans une c
à celui qui, pour une femme, a perdu la raison ! Mehend s’éloigna. Il marcha longtemps avant de découvrir le jardin de Tseriel
t dans un souffle : — Si tu m’aimes, si tu tiens à me voir sourire et marcher , donne-moi à boire l’eau pour laquelle se battent
t un panier de provisions, prit sa fille par la main et sortit. Elles marchèrent jusqu'au soir. La pauvre femme était sur le point
l’enfant pour s'écrier : — O joie, mon frère marche ! Et elle le vit marcher le long de l’eau. Elle lui donna encore un peu de
ombre et s’endormirent. Un vent frais les réveilla Ils repartirent et marchèrent longtemps, en montagne et en plaine, en plaine et
s de l’autre et sortit sans bruit. C’était l'été. La mère et l’enfant marchèrent comme des mendiants. Ils marchèrent durant deux j
’était l'été. La mère et l’enfant marchèrent comme des mendiants. Ils marchèrent durant deux jours, ne s’arrêtant que de loin en l
’échappa. Et la mère et la petite fille s’enfuirent de terreur. Elles marchèrent , marchèrent longtemps. La nuit les surprit en ple
la mère et la petite fille s’enfuirent de terreur. Elles marchèrent, marchèrent longtemps. La nuit les surprit en pleine forêt. L
t regarder vers le pauvre homme qui les menait à la mort. Les enfants marchèrent d’un bon pas. Mais vers midi elles se déclarèrent
rt. Cheikh Smaïn prit le nègre par la main et s'éloigna avec lui. Ils marchèrent . Ils marchèrent longtemps. A la tombée de la nuit
prit le nègre par la main et s'éloigna avec lui. Ils marchèrent. Ils marchèrent longtemps. A la tombée de la nuit, ils remarquère
t en marche. Il alla, il alla droit devant lui à travers la forêt. Il marcha , il marcha longtemps. Lorsqu’il se vit devant de
. Il alla, il alla droit devant lui à travers la forêt. Il marcha, il marcha longtemps. Lorsqu’il se vit devant de beaux champ
Et brisé son serment. Moi seule suis démente. Proverbes Le tronc veut marcher Mais les genoux sont raides. Ma chèvre, si je sui
chacun. Qu’on aimerait suivre les âmes Au pays où elle s'enfuient. Je marcherais la nuit, le jour, Et les deux je parcourrais Pour
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
peine et sans peril, à cause de ses bottes, qui ne valoient rien pour marcher sur les tuiles. Quelque temps aprés, le Chat, aya
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