/ 2
1 (1966) Le grain magique
rgea en soupirant le couffin de laine sur son dos et ils se mirent en marche . ' Ils avançaient avec peine car, ce qui était un
e cela ? Je vais te la ramener. — Dame Grenouille? appela-t-il. — Qui marche au-dessus de mon toit? répondit-elle, irritée. De
fuie et m’a abandonné. Ne te désole pas. Je vais te la ramener. — Qui marche au-dessus de mon toit? demanda la Grenouille en c
é. — Je cours te la ramener. — Dame Grenouille ? appela-t-elle. — Qui marche au-dessus de mon toit? Des débris tombent sur mon
ssèrent la nuit dans un palmier-dattier. Au matin, ils se remirent en marche . Ils demandaient la charité de village en village
n endroit sûr où se cacher avec lui. Dès l’aube, elle se remettait en marche . Mais voici que le sultan l’aperçut un jour dans
compris ces devinettes. La première : Quel est l’étre qui, le matin, marche sur quatre pattes, À midi sur deux, et le soir su
it la jeune fille. — Il nous a demandé quel est l’être qui, le matin, marche sur quatre pattes, à midi sur deux, le soir sur t
eu avant de répondre : — C'est facile, mon père : l’être qui le matin marche sur quatre pattes, à midi sur deux et le soir sur
? Le surveillant parla. Il dit : — Oui, seigneur. L’être qui le matin marche sur quatre pattes, à midi sur deux, le soir sur t
et l’entendit gazouiller. Alors elle cessa de pleurer et se remit en marche . Elle traversa la forêt, toute la forêt. Elle en
un ruisseau, elle déposa l’enfant pour s'écrier : — O joie, mon frère marche ! Et elle le vit marcher le long de l’eau. Elle l
râtre. Mais j’ai marqué le chemin de noyaux d’olives. Aïcha ouvrit la marche . Et à la tombée de la nuit les sept petites fille
isser leurs beaux atours. Elles mangèrent et burent et se remirent en marche à peine reposées, tant elles avaient de hâte à at
t de feuilles à l’arbre merveilleux, ramassa son bâton et se remit en marche . Il alla, il alla droit devant lui à travers la f
saute est perdue. D’abord il se traîne Et puis il rampe, Et enfin il marche . Chant dh dansb Veux-tu me suivre Zârour, Zârour,
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
et ces épines s’écarterent d’elles-mesmes pour le laisser passer. Il marche vers le chasteau, qu’il voyoit au bout d’une gran
/ 2