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1 (1966) Le grain magique
une bûche ›. Il est temps pour nous de penser à l'hiver. Rends-toi au marché , achète de la laine. Je te tisserai un burnous so
. Le Crapaud se saisit d’une sacoche et d’un sac et prit le chemin du marché . La Grenouille, elle, courut à la fontaine cherch
it : — Ne le cherche pas, c’est moi. Il y a longtemps, une nuit, j’ai marché sur un serpent par mégarde. Il s’est vengé car il
plia en vain. Il finit par céder. Le lendemain, il traîna la vache au marché . Les orphelins pleurèrent et se lamentèrent. Lors
des orphelins ! › Il reconduisit la vache à deux ou trois reprises au marché . Mais il ne trouva personne pour la lui acheter.
e de la mer, Quatre-vingt-dix-neuf génies te protègent. O toi dont le marché n’est jamais désert, Fais que la ruche abandonnée
il vit ce que jamais encore il n’avait vu : la foule sur la place du marché . Il sortit de sa chambre comme un fou, s’empara d
rochai et je vis ce qui jamais encore ne m’était apparu : la place du marché et la foule mouvante et toutes les richesses étal
ppé à la crinière d’un jeune poulain, je me revois m’élançant vers le marché . L’assistance me reconnut à ma monture et se rang
femme : — Demain nous aurons des invités. J’achèterai de la viande au marché pour que tu puisses nous faire un bon couscous de
e tu puisses nous faire un bon couscous de fête. Il se rendit donc au marché de grand matin et il en revint, tenant dans ses m
d plat de couscous garni de viande et de légumes, car c'était jour de marché . — C’est un jour comme celui-ci, et à pareille he
ombien se trouvent dans un coffre Et leur honneur est sur la place du marché ; Combien se rendent au marché Et leur honneur es
re Et leur honneur est sur la place du marché ; Combien se rendent au marché Et leur honneur est dans un coffre ! Chant des ol
ls tendrement aimé qui lui dit : — Roi, mon père, laisse-moi aller au marché et voir tes sujets. — Fais selon ton plaisir, lui
selon ton plaisir, lui répondit le roi. ■Le prince s’en vint donc au marché et dit à tous les hommes : — Vous ne vendrez ni n
feuilles ? Aucun ne sut répondre. Tous les hommes restèrent muets. Le marché se dissout. Une semaine tourna. Le jour de marché
restèrent muets. Le marché se dissout. Une semaine tourna. Le jour de marché ramena le fils du roi. Il demanda : — Avez-vous t
i devait acheter n’acheta pas. Et qui devait vendre ne vendit pas. Le marché se défit. Or, parmi ces hommes rassemblés se trou
défit. Or, parmi ces hommes rassemblés se trouvait le surveillant du marché . Il était très pauvre et avait deux filles : l’un
sque son père rentra, cette dernière lui dit : — Mon père, voici deux marchés que tu pars et que tu nous reviens les mains vide
ue mois porte trente jours. Une semaine passa. En ramenant le jour de marché , elle ramena le fils du roi. Il demanda : — Et au
l’année a douze mois, et chaque mois porte trente jours. — Ouvrez le marché ! ordonna le fils du roi. Quand vint le soir, le
re et lui déclara : — Moi, je veux épouser la fille du surveillant du marché . Te roi s’indigna : — Comment pourrais-tu, toi fi
nte est comme un ruisseau, je l’ai conté à des Seigneurs. Proverbe Le marché se tient à l’aube : Qui ne se lève de grand matin
d'abord en vain. Mais un cavalier vint & passer qui revenait d’un marché voisin. Il l'entendit pleurer. Il descendit de ch
e, Vouïedhmim, quand ton père rentrera ce soir, quand il reviendra du marché , n’oublie pas de pleurer devant lui et de dire :
ela d'abord en vain. Mais un cavalier vint à passer qui revenait d’un marché voisin : c’est Dieu qui le lui envoyait. Il déliv
en viendra beaucoup et nous mangerons à notre faim. › Le Pou alla au marché . La Puce se mit à moudre le blé. Lorsque le Pou r
la maison. Lorsque la chance vous précède Un mot suffit pour que les marchés se concluent Chant d'exil Je t’en prie, ô jeune T
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
il fut à terre, il ne vit plus rien ; cela le desola. Cependant ayant marché quelque temps avec ses freres du costé qu’il avoi
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