a vit poser sa galette au-dessus de toutes celles qu’elle n’avait pas
mangées
et qui formaient une pile sur une pierre. Et il l
présenta à ses sept frères, lorsqu’ils rentrèrent de la chasse. Tous
mangèrent
de grand appétit. Les sept garçons furent alors c
De soucis, de veilles Tu t’es épuisé. Les figues mûres Nous les avons
mangées
. Il te reste les feuilles jaunies O coeur jaloux
tre. Il dit : — J’y consens. Et il entra. Elle lui donna à boire et à
manger
. Et puis, comme la nuit tombait, elle le cacha da
t de bois qui cachait l’entrée du souterrain. Dès qu'elle eut fini de
manger
, Tseriel déclara : — Je m’en vais, ce soir, endui
épier les aigles. Il les vit descendre ; il les observa tandis qu’ils
mangeaient
. Le plus grand d'entre eux était si alourdi qu'il
rentra pour mettre sa maison en ordre. A midi, c’est à peine si elle
mangea
. Elle s’attela à moudre un plein couffin de blé.
une montée. Et puis, ils étaient alourdis par tout ce qu’ils avaient
mangé
. La Grenouille surtout était lasse. Ils marchèren
conté à des Seigneurs. Proverbes Lorsque manquent le cœur et le foie,
Mange
le mou qui voudra. La pleine lune paraît, Les éto
en allant à la source prier. Ses fidèles se sont dit : ‹ un lion l'a
mangé
. » Mais lui, dans le secret, cheminait vers la Me
le visage, les mains et les pieds. Il la fit asseoir et lui servit à
manger
. Elle mangea de la galette de blé et but du lait.
es mains et les pieds. Il la fit asseoir et lui servit à manger. Elle
mangea
de la galette de blé et but du lait. Dans un endr
le portait à sa bouche des grains de raisin. Il pensa : « Puisqu’elle
mange
, je puis l’aborder I › Il écarta les branches et
bes Le travail à trois ne réussit pas. Le plat dans lequel je ne puis
manger
Je souhaite qu’il se brise. La pierre a dit : « L
a tête que tu ne peux trancher : baise-la. Danse sacrée Ma mère, j’ai
mangé
de la braise J’ai avalé du feu En pleine inconsci
e à sa fille : — Suis-les demain, et reviens me dire ce qu’ils auront
mangé
dans les champs. Elle remit à l'enfant deux œufs
d’un petit couffin sa galette de blé et ses œufs durs. Les orphelins
mangèrent
leur galette de son. Puis ils allèrent à la vache
re de ma jeune femme, répondit le sultan. Je ne sais ce qu'il a bu ou
mangé
qui l’a ainsi changé en gazelle. Alors, le Cheikh
ta un petit gigot d’agneau qu’il avait omis de désosser. Le prince le
mangea
de grand appétit ; lorsqu'il n’en resta que l’os,
lé, des figues, des dattes et une gourde de petit-lait. Ils burent et
mangèrent
, mangèrent et burent et s’étendirent sur des natt
ues, des dattes et une gourde de petit-lait. Ils burent et mangèrent,
mangèrent
et burent et s’étendirent sur des nattes. Lorsqu’
uis, elle ne parle ni ne sourit, et dépérit sans cesse. Pourtant elle
mange
; pourtant elle boit. Mais tout ce qu’elle avale,
. L'ennui, une nostalgie indéfinissable m’alanguissaient. Quand j’eus
mangé
, je pris l’os et le frappai contre la muraille po
re aveugle ! Celui qui arrive à la fin d’un repas qu’il dise : ‹ J'ai
mangé
». Celui qui arrive à la fin d'un discours qu’il
à l’ombre, Le coeur refuse de l'oublier. Le pêcher au bord du fleuve,
Manger
ses fruits vous rend heureux. La marmite noire de
e avait beau le rudoyer, le battre même sauvagement certaines fois et
manger
la plus grosse part du goûter, il ne se plaignait
sourcil. L’amour d’Imizi ce sont les coups de poings. Le chien ne le
mange
qu’après l’avoir traîné. Chant religieux Levez-vo
Ils étaient fort ennuyés et agités. Ils lui dirent : — le chacal nous
mange
toutes nos bêtes. Cette nuit nous le guetterons.
Quand il ne leur resta plus une seule fève ni un seul petit pois, ils
mangèrent
la galette, les œufs, les olives et les figues. I
illes. Ils écossèrent des fèves tout le jour. Ils en écossèrent et en
mangèrent
tant qu’ils ne se rendirent pas compte de l'heure
ands arbres. Tseriel les fit entrer et leur demanda : — Qu’allez-vous
manger
? du couscous de blé ou du couscous de cendre ? —
ne-moi ce qui te plaira. Si même c’était du couscous de cendre, je le
mangerais
. — Tu auras, toi, du couscous de blé. L’Ogresse s
l. Il attendait que se missent à crier toutes les bêtes qu'elle avait
mangées
pour se sauver. Ce n’est que tard dans la nuit qu
ous étions dans son champ en train d’écosser de grosses fèves. Elle a
mangé
notre âne et elle a attaché ses oreilles à une br
ains, qu’on les fasse travailler Ou qu’on les économise, La terre les
mangera
. Chant satirique Celui qui rêve d'une toute jeune
sa marmite se casse Et qu’il reste sans souper, je m’en réjouis. Il a
mangé
le mets qu’on lui a offert Et il a cassé le plat
de l’œil à une jarre pleine de grain. MA MERE M’A ÉGORGÉ MON PERE M’A
MANGÉ
MA SŒUR A RASSEMBLÉ MES OS L’on raconte qu’autref
orceau de viande, puis un autre. Un autre, et encore un autre... Elle
mangeait
avec tant de fièvre et si vite qu’elle se brûlait
ante à mesure que la femme retirait morceau sur morceau. Résolue à en
manger
un dernier morceau, la femme plongea encore une f
Le repas était prêt et la sauce répandait une odeur engageante. Tous
mangèrent
de grand appétit, à l’exception de la fillette. L
Us sont venus le chercher avec leur âne, ce matin. L’homme se remit à
manger
de plus belle. Quand il ne resta plus un seul mor
r sur le toit et chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a
mangé
, mangé... Ma sœur a rassemblé mes os. La petite f
e toit et chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a mangé,
mangé
... Ma sœur a rassemblé mes os. La petite fille re
toit et se mit à chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a
mangé
, mangé... Ma sœur a rassemblé mes os. Le père com
se mit à chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a mangé,
mangé
... Ma sœur a rassemblé mes os. Le père comprit. I
drai, je répéterai les mots de la petite fille, il m’ouvrira et je le
mangerai
l › Le lendemain, peu avant que n’arrive la fille
1 lui cria-t-il. Je sais qui tu es. L’Ogre s’en retourna chez lui. Il
mangea
encore et encore du miel. Il s’étendit de longues
qu’elle tenait, et courut au village alerter ses parents. — L’Ogre a
mangé
mon grand-père, leur annonça-t-elle en pleurant.
cha d'elle très doucement et lui remit les pommes enchantées. Elle en
mangea
et sembla revenir à la vie, ce qui rassura Mehend
, il attendit les aigles. Il les vit bientôt descendre et les regarda
manger
. Ils mangèrent, mangèrent comme jamais. Alors, qu
t les aigles. Il les vit bientôt descendre et les regarda manger. Ils
mangèrent
, mangèrent comme jamais. Alors, quand ils furent
s. Il les vit bientôt descendre et les regarda manger. Ils mangèrent,
mangèrent
comme jamais. Alors, quand ils furent tous rassas
mous O Châbane Amous ! La récolte de cette année Les charançons l'ont
mangée
I O Châbane Oukhrit Châbane Oukhrit Oukhrit 0 Châ
ux garçons ; la poitrine à la mère. Et il se réserva les pattes. Tous
mangèrent
et se disposèrent à veiller. Le fils du roi se to
e repas. Elle donna au roi, sans qu’il s’en doutât, un narcotique. Il
mangea
. Il but. Et il s’endormit brusquement. Elle le so
mme et que sa fille. Lui seul en approchait, lui donnait à boire et à
manger
, fl avait dit et répété à son entourage qu’un dés
ent leur voyage. L’heure chaude les trouva sous les oliviers : Reskia
mangea
des figues et un morceau de galette. Puis elle mi
des œufs de serpent... Elles rentrèrent. Dès le lendemain, Zahoua fit
manger
à sa belle-sœur ces œufs de serpent : ils écloren
nts que cette pauvre petite a dans le ventre. Quelqu'un lui aura fait
manger
des œufs de serpent. — Et que puis-je faire pour
puis-je faire pour l'en délivrer? demanda le cavalier. — Donne-lui à
manger
force grillades que tu saleras exagérément et ne
ien salée, ils auront donc grand-soif. Lorsque cette jeune fille aura
mangé
à satiété, sus- pends-la par les pieds, la tête e
amena Reskia chez lui et lui donna autant de grillades qu’elle put en
manger
. Puis il la suspendit au plafond, juste au-dessus
ant que de loin en loin sous des arbres ou au bord d’un ruisseau pour
manger
, boire et se reposer. Le village de l’oncle était
qu’on nous permette d’y passer la nuit. Mais toi, dès que nous aurons
mangé
et que nous nous apprêterons à veiller, n’oublie
ta si violemment sa belle-sœur qu’un matin de printemps, elle lui fit
manger
des œufs de serpent. Ils éclorent dans les entrai
riste aventure. — Si tu nous promettais solennellement de ne pas nous
manger
, reprirent-elles toutes à la fois, nous te délivr
'il deviendra blanc. J’ai mis en toi ma confiance, chacal, Et tu m’as
mangé
ma chevrette. Chant d’exil A la maladie s’ajoute
ites femmes, préoccupées de ne pas froisser leurs beaux atours. Elles
mangèrent
et burent et se remirent en marche à peine reposé
s cernèrent l’enfant et lui dirent : — Arrange-toi pour nous donner à
manger
ou c’est toi que nous mangerons, car tu es la plu
irent : — Arrange-toi pour nous donner à manger ou c’est toi que nous
mangerons
, car tu es la plus faible. Aïcha se tourna vers D
prunes, de poires et de nèfles. Elle grimpa de branche en branche et
mangea
de tous les fruits jusqu’à ce qu’elle eût l’impre
s à découvrir la personne audacieuse qui s’introduisait chez lui pour
manger
ses provisions et brûler son bois. Lui, plus que
ueuses I Et que de provisions I Aicha alluma le feu et les orphelines
mangèrent
et burent, burent et mangèrent avec une joie nouv
Aicha alluma le feu et les orphelines mangèrent et burent, burent et
mangèrent
avec une joie nouvelle. Et Aicha pensait, en prom
Le lion dit à l'ânesse : « Je te prête deux litres d’orge, Mais je te
mangerai
après. › La route est longue pour celle qui pouss
ste plus qu’à acheter des tripes. Il nous en viendra beaucoup et nous
mangerons
à notre faim. › Le Pou alla au marché. La Puce se
t songeur au palais. Il feignit une grosse fièvre et se coucha. Il ne
mangea
ni ne parta. Affolé, le sultan appela au chevet d
formé, car il craignait de le voir en perdre à nouveau le boire et le
manger
. Il fit même discrètement savoir à ses sujets : ‹
Devant si royal festin, le sultan pâlit de stupeur et d'envie. Il en
mangea
tout de travers et sentit les griffes de la jalou
lant les serviteurs, vous avez été obéi car il n’est rien, de ce qu’a
mangé
le prince, qui n’ait contenu du poison et quel po
ier qui poussait en bordure du chemin et se mit à clamer : — Qui veut
manger
des figues, qui veut en manger? Le figuier de Vel
chemin et se mit à clamer : — Qui veut manger des figues, qui veut en
manger
? Le figuier de Velâjoudh est lourd de fruits mûrs
r? Le figuier de Velâjoudh est lourd de fruits mûrs à point. Qui veut
manger
des figues hors de saison ? Que ceux qui veulent
. Qui veut manger des figues hors de saison ? Que ceux qui veulent en
manger
accourent : le paradis de Dieu est descendu sur l
rosait le pied du figuier. Elle entendit Velâjoudh crier : ‹ Qui veut
manger
des figues?... › Tseriel était aveugle mais géant
elle tira de son corsage un morceau de galette et des figues qu’elle
mangea
. Elle but au ruisseau et se dirigea enfin vers l’
lever l’outre. L’outre lui tomba des mains. Elle se dit : ‹ Qu’a-t-il
mangé
? Pour quelle raison Velâjoudh, qui était si léger
rdant non pas ses pieds mais le ciel, il se mit à clamer : — Qui veut
manger
des figues, qui veut en manger? Le figuier de Vel
ciel, il se mit à clamer : — Qui veut manger des figues, qui veut en
manger
? Le figuier de Velâjoudh est lourd de figues mûre
? Le figuier de Velâjoudh est lourd de figues mûres à point. Qui veut
manger
des figues hors de saison? Que ceux qui veulent e
t. Qui veut manger des figues hors de saison? Que ceux qui veulent en
manger
accourent ; le paradis de Dieu est descendu sur l
rgeant de miel, de beurre, de figues sèches, de dattes et de noix : —
Mange
tout ce que tu voudras, lui recommanda-t-elle. Et
dras, lui recommanda-t-elle. Et elle tira sur lui la porte. Velâjoudh
mangeait
et 'dormait, dormait et mangeait. L’ogresse lui d
lle tira sur lui la porte. Velâjoudh mangeait et 'dormait, dormait et
mangeait
. L’ogresse lui donnait à boire par un petit guich
es ogrillons et ogrillonnes autour d’un troisième. Et ils se mirent à
manger
de grand appétit. Velâjoudh versait la sauce, ser
tait à boire, veillait à tout. Les ogresses lui dirent : — Viens donc
manger
, Vetellis t H répondit aimablement : — Quand vous
par le bras et lui chuchota : — Maman, l’œil de cousine Vetellis ! —
Mange
donc ! lui répliqua sa mère. Mais l’ogrillonne re
rs une poignée de poivre et sauta sur le toit en criant : — Tseriel a
mangé
sa fille 1 Tseriel s’était déjà précipitée. Elle
de l’argent, On l'appelle : Monsieur de Chien ! Je me réjouis s’il le
mange
, J’applaudis s’il le laisse. Quelle est la marmit
Mecque ; je me suis purifié. Maintenant, je vais honorer Dieu. Je ne
mangerai
plus un seul rat. Je vais me marier et inviter me
t mère. Négligeant de me méfier, Je lui avais tout remis. Mais elle a
mangé
ma confiance, N’en laissant même pas un brin l Pr
iré au cœur de la forêt, Ses fidèles se sont dit : ‹ Les fauves l'ont
mangé
. › (Il n’est pas d'autre Dieu qu’Allah.) Loué soi
était paisible : Je lui ai cherché une raison de se tourmenter. Il a
mangé
la semence comme un mauvais champ. Il se plaignai
nuit qu’il suspendit son vol et déposa l’enfant. Il la fît asseoir et
manger
dans l’obscurité et lui parla en ces termes : — P
hamps. Elle se rendit & la fontaine, la cruche sur l'épaule. Elle
mangea
la nourriture frugale mais savoureuse de sa mère,
s yeux de toutes les voisines. Je lui souhaite d'enfanter sept filles
Mangées
de teigne par surcroît Mieux vaudrait que tu m'ég
'Le subtil et l’innocent 99 Ma mère m’a égorgé, mon père m’a
mangé
, ma sœur a rassemblé mes os 107 Le chêne de l’o