/ 2
1 (1966) Le grain magique
a vit poser sa galette au-dessus de toutes celles qu’elle n’avait pas mangées et qui formaient une pile sur une pierre. Et il l
présenta à ses sept frères, lorsqu’ils rentrèrent de la chasse. Tous mangèrent de grand appétit. Les sept garçons furent alors c
De soucis, de veilles Tu t’es épuisé. Les figues mûres Nous les avons mangées . Il te reste les feuilles jaunies O coeur jaloux
tre. Il dit : — J’y consens. Et il entra. Elle lui donna à boire et à manger . Et puis, comme la nuit tombait, elle le cacha da
t de bois qui cachait l’entrée du souterrain. Dès qu'elle eut fini de manger , Tseriel déclara : — Je m’en vais, ce soir, endui
épier les aigles. Il les vit descendre ; il les observa tandis qu’ils mangeaient . Le plus grand d'entre eux était si alourdi qu'il
rentra pour mettre sa maison en ordre. A midi, c’est à peine si elle mangea . Elle s’attela à moudre un plein couffin de blé.
une montée. Et puis, ils étaient alourdis par tout ce qu’ils avaient mangé . La Grenouille surtout était lasse. Ils marchèren
conté à des Seigneurs. Proverbes Lorsque manquent le cœur et le foie, Mange le mou qui voudra. La pleine lune paraît, Les éto
en allant à la source prier. Ses fidèles se sont dit : ‹ un lion l'a mangé . » Mais lui, dans le secret, cheminait vers la Me
le visage, les mains et les pieds. Il la fit asseoir et lui servit à manger . Elle mangea de la galette de blé et but du lait.
es mains et les pieds. Il la fit asseoir et lui servit à manger. Elle mangea de la galette de blé et but du lait. Dans un endr
le portait à sa bouche des grains de raisin. Il pensa : « Puisqu’elle mange , je puis l’aborder I › Il écarta les branches et
bes Le travail à trois ne réussit pas. Le plat dans lequel je ne puis manger Je souhaite qu’il se brise. La pierre a dit : « L
a tête que tu ne peux trancher : baise-la. Danse sacrée Ma mère, j’ai mangé de la braise J’ai avalé du feu En pleine inconsci
e à sa fille : — Suis-les demain, et reviens me dire ce qu’ils auront mangé dans les champs. Elle remit à l'enfant deux œufs
d’un petit couffin sa galette de blé et ses œufs durs. Les orphelins mangèrent leur galette de son. Puis ils allèrent à la vache
re de ma jeune femme, répondit le sultan. Je ne sais ce qu'il a bu ou mangé qui l’a ainsi changé en gazelle. Alors, le Cheikh
ta un petit gigot d’agneau qu’il avait omis de désosser. Le prince le mangea de grand appétit ; lorsqu'il n’en resta que l’os,
lé, des figues, des dattes et une gourde de petit-lait. Ils burent et mangèrent , mangèrent et burent et s’étendirent sur des natt
ues, des dattes et une gourde de petit-lait. Ils burent et mangèrent, mangèrent et burent et s’étendirent sur des nattes. Lorsqu’
uis, elle ne parle ni ne sourit, et dépérit sans cesse. Pourtant elle mange ; pourtant elle boit. Mais tout ce qu’elle avale,
. L'ennui, une nostalgie indéfinissable m’alanguissaient. Quand j’eus mangé , je pris l’os et le frappai contre la muraille po
re aveugle ! Celui qui arrive à la fin d’un repas qu’il dise : ‹ J'ai mangé ». Celui qui arrive à la fin d'un discours qu’il
à l’ombre, Le coeur refuse de l'oublier. Le pêcher au bord du fleuve, Manger ses fruits vous rend heureux. La marmite noire de
e avait beau le rudoyer, le battre même sauvagement certaines fois et manger la plus grosse part du goûter, il ne se plaignait
sourcil. L’amour d’Imizi ce sont les coups de poings. Le chien ne le mange qu’après l’avoir traîné. Chant religieux Levez-vo
Ils étaient fort ennuyés et agités. Ils lui dirent : — le chacal nous mange toutes nos bêtes. Cette nuit nous le guetterons.
Quand il ne leur resta plus une seule fève ni un seul petit pois, ils mangèrent la galette, les œufs, les olives et les figues. I
illes. Ils écossèrent des fèves tout le jour. Ils en écossèrent et en mangèrent tant qu’ils ne se rendirent pas compte de l'heure
ands arbres. Tseriel les fit entrer et leur demanda : — Qu’allez-vous manger ? du couscous de blé ou du couscous de cendre ? —
ne-moi ce qui te plaira. Si même c’était du couscous de cendre, je le mangerais . — Tu auras, toi, du couscous de blé. L’Ogresse s
l. Il attendait que se missent à crier toutes les bêtes qu'elle avait mangées pour se sauver. Ce n’est que tard dans la nuit qu
ous étions dans son champ en train d’écosser de grosses fèves. Elle a mangé notre âne et elle a attaché ses oreilles à une br
ains, qu’on les fasse travailler Ou qu’on les économise, La terre les mangera . Chant satirique Celui qui rêve d'une toute jeune
sa marmite se casse Et qu’il reste sans souper, je m’en réjouis. Il a mangé le mets qu’on lui a offert Et il a cassé le plat
de l’œil à une jarre pleine de grain. MA MERE M’A ÉGORGÉ MON PERE M’A MANGÉ MA SŒUR A RASSEMBLÉ MES OS L’on raconte qu’autref
orceau de viande, puis un autre. Un autre, et encore un autre... Elle mangeait avec tant de fièvre et si vite qu’elle se brûlait
ante à mesure que la femme retirait morceau sur morceau. Résolue à en manger un dernier morceau, la femme plongea encore une f
Le repas était prêt et la sauce répandait une odeur engageante. Tous mangèrent de grand appétit, à l’exception de la fillette. L
Us sont venus le chercher avec leur âne, ce matin. L’homme se remit à manger de plus belle. Quand il ne resta plus un seul mor
r sur le toit et chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a mangé , mangé... Ma sœur a rassemblé mes os. La petite f
e toit et chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a mangé, mangé ... Ma sœur a rassemblé mes os. La petite fille re
toit et se mit à chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a mangé , mangé... Ma sœur a rassemblé mes os. Le père com
se mit à chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a mangé, mangé ... Ma sœur a rassemblé mes os. Le père comprit. I
drai, je répéterai les mots de la petite fille, il m’ouvrira et je le mangerai l › Le lendemain, peu avant que n’arrive la fille
1 lui cria-t-il. Je sais qui tu es. L’Ogre s’en retourna chez lui. Il mangea encore et encore du miel. Il s’étendit de longues
qu’elle tenait, et courut au village alerter ses parents. — L’Ogre a mangé mon grand-père, leur annonça-t-elle en pleurant.
cha d'elle très doucement et lui remit les pommes enchantées. Elle en mangea et sembla revenir à la vie, ce qui rassura Mehend
, il attendit les aigles. Il les vit bientôt descendre et les regarda manger . Ils mangèrent, mangèrent comme jamais. Alors, qu
t les aigles. Il les vit bientôt descendre et les regarda manger. Ils mangèrent , mangèrent comme jamais. Alors, quand ils furent
s. Il les vit bientôt descendre et les regarda manger. Ils mangèrent, mangèrent comme jamais. Alors, quand ils furent tous rassas
mous O Châbane Amous ! La récolte de cette année Les charançons l'ont mangée I O Châbane Oukhrit Châbane Oukhrit Oukhrit 0 Châ
ux garçons ; la poitrine à la mère. Et il se réserva les pattes. Tous mangèrent et se disposèrent à veiller. Le fils du roi se to
e repas. Elle donna au roi, sans qu’il s’en doutât, un narcotique. Il mangea . Il but. Et il s’endormit brusquement. Elle le so
mme et que sa fille. Lui seul en approchait, lui donnait à boire et à manger , fl avait dit et répété à son entourage qu’un dés
ent leur voyage. L’heure chaude les trouva sous les oliviers : Reskia mangea des figues et un morceau de galette. Puis elle mi
des œufs de serpent... Elles rentrèrent. Dès le lendemain, Zahoua fit manger à sa belle-sœur ces œufs de serpent : ils écloren
nts que cette pauvre petite a dans le ventre. Quelqu'un lui aura fait manger des œufs de serpent. — Et que puis-je faire pour
puis-je faire pour l'en délivrer? demanda le cavalier. — Donne-lui à manger force grillades que tu saleras exagérément et ne
ien salée, ils auront donc grand-soif. Lorsque cette jeune fille aura mangé à satiété, sus- pends-la par les pieds, la tête e
amena Reskia chez lui et lui donna autant de grillades qu’elle put en manger . Puis il la suspendit au plafond, juste au-dessus
ant que de loin en loin sous des arbres ou au bord d’un ruisseau pour manger , boire et se reposer. Le village de l’oncle était
qu’on nous permette d’y passer la nuit. Mais toi, dès que nous aurons mangé et que nous nous apprêterons à veiller, n’oublie
ta si violemment sa belle-sœur qu’un matin de printemps, elle lui fit manger des œufs de serpent. Ils éclorent dans les entrai
riste aventure. — Si tu nous promettais solennellement de ne pas nous manger , reprirent-elles toutes à la fois, nous te délivr
'il deviendra blanc. J’ai mis en toi ma confiance, chacal, Et tu m’as mangé ma chevrette. Chant d’exil A la maladie s’ajoute
ites femmes, préoccupées de ne pas froisser leurs beaux atours. Elles mangèrent et burent et se remirent en marche à peine reposé
s cernèrent l’enfant et lui dirent : — Arrange-toi pour nous donner à manger ou c’est toi que nous mangerons, car tu es la plu
irent : — Arrange-toi pour nous donner à manger ou c’est toi que nous mangerons , car tu es la plus faible. Aïcha se tourna vers D
prunes, de poires et de nèfles. Elle grimpa de branche en branche et mangea de tous les fruits jusqu’à ce qu’elle eût l’impre
s à découvrir la personne audacieuse qui s’introduisait chez lui pour manger ses provisions et brûler son bois. Lui, plus que
ueuses I Et que de provisions I Aicha alluma le feu et les orphelines mangèrent et burent, burent et mangèrent avec une joie nouv
Aicha alluma le feu et les orphelines mangèrent et burent, burent et mangèrent avec une joie nouvelle. Et Aicha pensait, en prom
Le lion dit à l'ânesse : « Je te prête deux litres d’orge, Mais je te mangerai après. › La route est longue pour celle qui pouss
ste plus qu’à acheter des tripes. Il nous en viendra beaucoup et nous mangerons à notre faim. › Le Pou alla au marché. La Puce se
t songeur au palais. Il feignit une grosse fièvre et se coucha. Il ne mangea ni ne parta. Affolé, le sultan appela au chevet d
formé, car il craignait de le voir en perdre à nouveau le boire et le manger . Il fit même discrètement savoir à ses sujets : ‹
Devant si royal festin, le sultan pâlit de stupeur et d'envie. Il en mangea tout de travers et sentit les griffes de la jalou
lant les serviteurs, vous avez été obéi car il n’est rien, de ce qu’a mangé le prince, qui n’ait contenu du poison et quel po
ier qui poussait en bordure du chemin et se mit à clamer : — Qui veut manger des figues, qui veut en manger? Le figuier de Vel
chemin et se mit à clamer : — Qui veut manger des figues, qui veut en manger ? Le figuier de Velâjoudh est lourd de fruits mûrs
r? Le figuier de Velâjoudh est lourd de fruits mûrs à point. Qui veut manger des figues hors de saison ? Que ceux qui veulent
. Qui veut manger des figues hors de saison ? Que ceux qui veulent en manger accourent : le paradis de Dieu est descendu sur l
rosait le pied du figuier. Elle entendit Velâjoudh crier : ‹ Qui veut manger des figues?... › Tseriel était aveugle mais géant
elle tira de son corsage un morceau de galette et des figues qu’elle mangea . Elle but au ruisseau et se dirigea enfin vers l’
lever l’outre. L’outre lui tomba des mains. Elle se dit : ‹ Qu’a-t-il mangé ? Pour quelle raison Velâjoudh, qui était si léger
rdant non pas ses pieds mais le ciel, il se mit à clamer : — Qui veut manger des figues, qui veut en manger? Le figuier de Vel
ciel, il se mit à clamer : — Qui veut manger des figues, qui veut en manger ? Le figuier de Velâjoudh est lourd de figues mûre
? Le figuier de Velâjoudh est lourd de figues mûres à point. Qui veut manger des figues hors de saison? Que ceux qui veulent e
t. Qui veut manger des figues hors de saison? Que ceux qui veulent en manger accourent ; le paradis de Dieu est descendu sur l
rgeant de miel, de beurre, de figues sèches, de dattes et de noix : — Mange tout ce que tu voudras, lui recommanda-t-elle. Et
dras, lui recommanda-t-elle. Et elle tira sur lui la porte. Velâjoudh mangeait et 'dormait, dormait et mangeait. L’ogresse lui d
lle tira sur lui la porte. Velâjoudh mangeait et 'dormait, dormait et mangeait . L’ogresse lui donnait à boire par un petit guich
es ogrillons et ogrillonnes autour d’un troisième. Et ils se mirent à manger de grand appétit. Velâjoudh versait la sauce, ser
tait à boire, veillait à tout. Les ogresses lui dirent : — Viens donc manger , Vetellis t H répondit aimablement : — Quand vous
par le bras et lui chuchota : — Maman, l’œil de cousine Vetellis ! — Mange donc ! lui répliqua sa mère. Mais l’ogrillonne re
rs une poignée de poivre et sauta sur le toit en criant : — Tseriel a mangé sa fille 1 Tseriel s’était déjà précipitée. Elle
de l’argent, On l'appelle : Monsieur de Chien ! Je me réjouis s’il le mange , J’applaudis s’il le laisse. Quelle est la marmit
Mecque ; je me suis purifié. Maintenant, je vais honorer Dieu. Je ne mangerai plus un seul rat. Je vais me marier et inviter me
t mère. Négligeant de me méfier, Je lui avais tout remis. Mais elle a mangé ma confiance, N’en laissant même pas un brin l Pr
iré au cœur de la forêt, Ses fidèles se sont dit : ‹ Les fauves l'ont mangé . › (Il n’est pas d'autre Dieu qu’Allah.) Loué soi
était paisible : Je lui ai cherché une raison de se tourmenter. Il a mangé la semence comme un mauvais champ. Il se plaignai
nuit qu’il suspendit son vol et déposa l’enfant. Il la fît asseoir et manger dans l’obscurité et lui parla en ces termes : — P
hamps. Elle se rendit & la fontaine, la cruche sur l'épaule. Elle mangea la nourriture frugale mais savoureuse de sa mère,
s yeux de toutes les voisines. Je lui souhaite d'enfanter sept filles Mangées de teigne par surcroît Mieux vaudrait que tu m'ég
'Le subtil et l’innocent      99 Ma mère m’a égorgé, mon père m’a mangé , ma sœur a rassemblé mes os 107 Le chêne de l’o
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
il emportoit tous les enfans qu’il pouvoit attraper, pour les pouvoir manger à son aise et sans qu’on le pust suivre, ayant se
qu’il avait couché dans la hutte d’un charbonnier, qui luy avoit fait manger du pain noir et du fromage. Le roi, son pere, qui
uelques jours aprés, et dit un soir à son maistre d’hôtel : « Je veux manger demain à mon dîner la petite Aurore. — Ah ! Madam
veux, dit la reine (et elle le dit d’un ton d’ogresse qui a envie de manger de la chair fraische), et je la veux manger à la
d’ogresse qui a envie de manger de la chair fraische), et je la veux manger à la sausse Robert. » Ce pauvre homme, voyant bie
i bonne sausse que sa maistresse l’assura qu’elle n’avoit jamais rien mangé de si bon. Il avoit emporté en même temps la peti
jours après, la méchante reine dit à son maistre d’hôtel : « Je veux manger à mon soupé le petit Jour. » Il ne répliqua pas,
ais, un soir, cette méchante reine dit au maistre d’hôtel : « Je veux manger la reine à la mesme sausse que ses enfans. » Ce f
où je les ay cachez, et je tromperay encore la reine, en luy faisant manger une jeune biche en vostre place. » Il la mena aus
nfans et pleurer avec eux, il alla accommoder une biche, que la reine mangea à son soupé, avec le même appetit que si c’eut es
préparoit à dire au roy, à son retour, que des loups enragez avoient mangé la reine sa femme et ses deux enfans. Un soir qu’
ans un bois, elle rencontra compere le Loup, qui eut bien envie de la manger , mais il n’osa, à cause de quelques bucherons qui
ra en moins de rien, car il y avoit plus de trois jours qu’il n’avoit mangé . Ensuite il ferma la porte, et s’alla coucher dan
nt ! — Ma mere-grand, que vous avez de grandes dens ! — C’est pour te manger ! » Et, en disant ces mots, ce méchant Loup se je
ces mots, ce méchant Loup se jetta sur le petit Chaperon rouge, et la mangea .   MORALITÉ On voit icy que de jeunes enfan
gens, Et que ce n’est pas chose étrange S’il en est tant que le loup mange . Je dis le loup, car tous les loups Ne sont pas d
ny le procureur n’y furent point appellés. Ils auroient eu bien-tost mangé tout le pauvre patrimoine. L’aisné eut le moulin,
vie honnestement en se mettant ensemble ; pour moi, lors que j’aurai mangé mon chat, et que je me seray fait un manchon de s
truit encore des ruses de ce monde, vint se fourrer dans son sac pour manger ce qu’il y avoit mis. A peine fut-il couché qu’il
. Le Chat ne l’eut pas plus tost aperçûë, qu’il se jetta dessus et la mangea . Cependant le roy, qui vit en passant le beau cha
temps, avoit une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisoit manger à la cuisine et travailler sans cesse. Il falloit
le les coëffa parfaitement bien. Elles furent prés de deux jours ſans manger , tant elles eſtoient tranſportées de joye : on ro
vantage. On apporta une fort belle collation, dont le jeune Prince ne mangea point, tant il eſtoit occupé à la conſiderer. Ell
sa femme à la Boucherie. Comme il y avoit long-temps qu’elle n’avoit mangé , elle acheta trois fois plus de viande qu’il n’en
dans cette Forest ? Helas ! mon Dieu les Loups les ont peut être déjà mangez ; tu es bien inhumain d’avoir perdu ainsi tes enfa
etrouver une seule miette, les Oiseaux étoient venus qui avoient tout mangé . Les voylà donc bien affligés , car plus ils marc
de tous côtés que des heurlemens de Loups qui venoient à eux pour les manger . Ils n’osoient presque se parler ny tourner la te
s-vous venus ? sçavez-vous bien que c’est icy la maison d’un Ogre qui mange les petits enfants. Helas ! Madame, luy répondit
Il est bien seur que les Loups de la Forest ne manqueront pas de nous manger cette nuit, si vous ne voulez pas nous retirer ch
z vous. Et cela étant nous aimons mieux que ce soit Monsieur qui nous mange , peut-estre qu’il aura pitié de nous, si vous vou
ux me tromper maudite femme, je ne sçais à quoy il tient que je ne te mange aussi , bien t’en prend d’estre une vieille beste
e fut ravie de joye, et leur porta bien à souper , mais ils ne purent manger tant ils estoient saisis de peur. Pour l’Ogre il
gens-là asseurent le sçavoir de bonne part, et même pour avoir bû et mangé dans la maison du Bucheron. Ils assurent que lors
/ 2