ne. Nous sommes ici dans le royaume des bêtes ; il pourrait t’arriver
malheur
si tu t’aventurais. Le serpent l’éleva. Il fut po
moindre racine je me suis agrippé. O Dieu, que mon étoile Triomphe du
malheur
qui s’attache à mon sort I Proverbe A celui qui e
e vous voyez d'ici. Le passant se recueillit et puis il ajouta : — Le
malheur
est sur notre ville I Alors le jeune homme à la t
revenu : ils se reprirent à vivre et à travailler. Les sources que le
malheur
avait taries se remirent à couler. L’herbe et les
orterai bien. Si tu les vois jaunir, alors dis-toi qu’il m’est arrivé
malheur
et vole à mon secours. Le lévrier que je te laiss
‹ Mon frère est en danger. › Il courut vers sa mère et lui dit : — Un
malheur
est arrivé à mon frère, je pars. Prépare-moi des
ns qu’il ne soit allé du côté de la forêt et qu’il ne lui soit arrivé
malheur
! › Ahmed écouta et repartit à la recherche de so
tendirent vainement son retour. Alors le serpent dit : — n est arrivé
malheur
à la fourmi. C’est à mon tour de monter. Il rampa
froufroutant de toutes ses jolies ailes. — Qu’as-tu, ô notre roi, un
malheur
t’est-il arrivé? demandèrent du haut du ciel les
et fixe leur destin. Mais notre prince maudit n’avait à coeur que le
malheur
du pays : il sema le mal à longueur de journée et
gre terrible les défend farouchement et les défendra jusqu’à la mort.
Malheur
aux imprudents qui s’en approcheront ! — Mon père
seule voix, inexorable et froide comme une lame, clama à son tour : —
Malheur
au père qui ose convoiter .ses brus. Malheur au p
me, clama à son tour : — Malheur au père qui ose convoiter .ses brus.
Malheur
au père qui ose épouser les veuves de son fils, c
huchoter pour que seule Yamina les entende : — Tes parents feront ton
malheur
. Tes parents feront ton malheur I Le dernier jour
es entende : — Tes parents feront ton malheur. Tes parents feront ton
malheur
I Le dernier jour était arrivé. A l’heure du dîne
r : Yamina n’était pas heureuse et savait maintenant la raison de son
malheur
. Elle était troublée par ce que lui avaient dit s
en vain que les bêtes lui avaient chuchoté : «Tes parents feront ton
malheur
. Tes parents feront ton malheur ! » Rien ne pouva
nt chuchoté : «Tes parents feront ton malheur. Tes parents feront ton
malheur
! » Rien ne pouvait lutter contre cette petite bo
s de tes sœurs. Tu les as entendues te dire : «Tes parents feront ton
malheur
. Tes parents feront ton malheur ! › Ah ! que n'as
ues te dire : «Tes parents feront ton malheur. Tes parents feront ton
malheur
! › Ah ! que n'as-tu écouté la vache, la chèvre,