enfant tremblait. Il lui dit : — Ne crains rien, je ne te ferai aucun
mal
. Mais dis-moi, petite fille, ce qui t'a conduite
fille du serpent. Le roi s’indigna. Le prince tomba malade d’un grand
mal
. La fièvre ne le quitta ni jour ni nuit. Le roi f
anger Je souhaite qu’il se brise. La pierre a dit : « La tête me fait
mal
». La motte de terre a répondu : « Il ne me reste
dait une vache. Mais voici qu’un jour la mère tomba malade d’un grand
mal
. Lorsqu’elle se vit près de mourir, elle appela s
tenir la maison. Le père se remaria. D’abord, la marâtre ne fit aucun
mal
aux orphelins. Mais elle vint à mettre au monde u
dit que sa mère la nourrissait de poison. Djohra poussa tant bien que
mal
, néanmoins. Les orphelins, de jour en jour, deven
esure d'y goûter, que des viandes sans os. Mehend grandit à l’abri du
mal
, vécut en reclus et atteignit l’adolescence ignor
un jour lorsque, brusquement, notre princesse tomba malade d'un grand
mal
. Et depuis, elle ne parle ni ne sourit, et dépéri
de l'enfant s'endeuilla pour toujours. La mère fut malade d'un grand
mal
qui, s'il ne l’emporta pas, la laissa infirme. Le
tre qui tomba inanimé. Ahmed murmura : — Les animaux aussi se font du
mal
les uns aux autres I Mais le lézard qui l’entendi
la peine et nos champs et nos bêtes m’attendent. — Moi aussi j’ai le
mal
du pays, répondit Mehend. Je veux revoir ma mère
s’est exilée. Chant d’amour — Arrête-toi, jeune fille, écoute ; Aucun
mal
ne te viendra par moi. Ecoute, si tu voulais me s
l’ai cru I SI l’homme de bien est inquiet, Que sera-ce de l’homme de
mal
? Comme qui avancerait dans le brouillard et les
ran, Prisonnières du métier à tisser, Vous proférez votre serment, Le
mal
s’éloigne des maisons. Femmes des Aith Ouerthiran
ctions. (Il n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) Proverbes Le bien et le
mal
sont frères. Combien se trouvent dans un coffre E
nt des olives Aoulêlam t La petite aile de l'oisillon ! Ma mère. J'ai
mal
au pied I Aoulêlam Pousse et berce I La tille aux
le ciel et l'enfant sur la terre : Mehend se plaignait-il du moindre
mal
, ses parents en étaient atterrés car ils tremblai
de le voir toucher une épine. Us le virent ainsi grandir à l’abri du
mal
, de la laideur et du danger, mais avec un goût pr
aux yeux noirs. Viens, viens sommeil T'endormir près de lui ; Que le
mal
ne l'atteigne Et que le bien règne en son cœur. 1
fant qu’elle porte en elle. Prends-le délicatement, ne lui fais aucun
mal
. Et donne-le moi. Le lion ouvrit avec soin le ven
serions plus nous adresser à âme qui vive dans le village. Ali dormit
mal
cette nuit-là. Il se réveilla dès l’aube. H prit
alchanceux, La misère se guérit par la résignation. L’adolescent a le
mal
du pays. Au loin il est amoindri : Que ses frères
s leur marâtre et s’accusaient naïvement dans leur cœur de l’avoir si
mal
jugée. Seule Aïcha était clairvoyante. Le père fi
tre prince maudit n’avait à coeur que le malheur du pays : il sema le
mal
à longueur de journée et fit couler les larmes. D
face, Mais qu’y a-t-il en profondeur ? Mieux vaut une vérité qui fait
mal
Qu’un mensonge qui fait plaisir. Il répand au deh
e ? — Lance-lui cette bague, dès que tu la verras prête à te faire du
mal
, et elle te recevra, j'en suis sûr, ajouta Cheikh
ce, tu me verras à ta merci et à la merci de quiconque me voudrait du
mal
. Le sultan prit la chaînette en tremblant et lia
dja plus belle que lune et que rose, réussirent à peine à endormir le
mal
secret qui rongeait son cœur. Mon conte est comme
s épaules. Elle s’écria : — Retire tes genoux, Velâjoudh, ils me font
mal
au dos ! De loin, Velâjoudh lui répondit dans un
rbes Ce n'est pas que je sois fatigué, Ce sont mes genoux qui me font
mal
! Comme qui pleurerait un mort : Le ramener, ii n
verbes La poussière d’été est toute farine. Pour qui a enduré tant de
maux
, Avaler les mouches, nos amies, qu’est-ce donc ?
re, ce qu’il fit en grande hâte. Mais voici qu’en chemin deux fils du
mal
l’assaillirent. Intrigués par l’aspect du capucho
re en implorant : — Je l’ai enfanté, il ne m'a pas enfanté, ô fils du
mal
ne le tuez pas l De saisissement, les malfaiteurs
r. Il a mangé la semence comme un mauvais champ. Il se plaignait d'un
mal
: Un plus grand mal fond sur lui. Chant d'exil Ma
ence comme un mauvais champ. Il se plaignait d'un mal : Un plus grand
mal
fond sur lui. Chant d'exil Ma mère, ma douce mère
qu’un seul Et il était mort-né ! » Chant d'amour Mon cœur pleure, des
maux
multiples l’accablent. Des ciseaux le cisaillent
multiples l’accablent. Des ciseaux le cisaillent : Fièvre, douleurs,
mal
au côté. Mon cœur pleure, il est égaré A cause de
erai, Et je leur ouvrirai ma maison toute grande. › J’ai pensé : « Le
mal
ne peut l'atteindre Lui qui d'un jet a poussé Com