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1 (1966) Le grain magique
s se sont exilés le jour de ta naissance ? La jeune fille revint à la maison avec son outre vide. La fièvre s’empara d’elle. S
t enfin le village où vivaient les sept frères : on leur indiqua leur maison . Us étaient allés à la chasse... Elles attendiren
ée. Elle m’a dit qu'en venant au monde je vous avais chassés de notre maison . Settoute — que Dieu la brûle I — vous a trompés.
ant me voici ! Dois-je rester parmi vous ou m'accompagnerez-vous à la maison de notre père et de notre mère ? Ils lui répondir
jours. Nous réfléchirons. La négresse s’installa en maîtresse dans la maison des sept frères. La jeune fille dut la servir et
i Pour que m'apparaisse Le pays de mes parents I La négresse & la maison demeure Moi, je suis gardeuse de chameaux, Pleure
e-toi Pour que m'apparaisse Le pays de mes parents I La négresse à la maison demeure Moi, je suis gardeuse de chameaux, Pleure
? Elle lui répondit : — Moi? Je-suis ta sœur. Lorsque j’étais dans la maison de mon père, je suis allée'un jour à la fontaine
-temps favori : la chasse. Leur sœur préparait les repas et tenait la maison . L'année suivante, au printemps, à l’endroit où a
eigneurs ! Proverbe Le chat dit : Que Dieu décime les habitants de la maison et les aveugle Afin que je puisse voler. Mais le
puisse voler. Mais le chien dit : Dieu multiplie les habitants de la maison et me les rende favorables Afin que chacun me don
avança pour la tuer et revêtir sa peau. Les ânes la conduisirent à la maison du jeune homme. Elle dit au père en arrivant : —
vivaient très heureux. L'abondance et la prospérité emplissaient leur maison . C’était la pleine saison des figues et l’automne
her de l’eau ; à la forêt rapporter un fagot et rentra pour mettre sa maison en ordre. A midi, c’est à peine si elle mangea. E
le y jeta de la cendre et mit la laine à tremper. Puis elle rangea sa maison . Le Crapaud, lui, qui était fatigué, alla se couc
Crapaud dit : — Sois courageuse. La nuit va nous surprendre et notre maison est encore loin. Ils marchèrent, marchèrent encor
colline se trouve le village. Nous allons bientôt voir les toits des maisons . Mais la Grenouille, exténuée, s’assit sur le bor
abord, il avait commencé par être un homme heureux : il possédait une maison , une femme, de nombreux champs et toutes sortes d
C’est ainsi qu’il fut changé en serpent. Il abandonna sa famille, sa maison et tous ses biens. Il déserta le monde et se réfu
Et l'autre vous fait griller. Les rats du dehors chassent ceux de la maison . Comme qui danserait devant un aveugle. Chant d’e
ha, la fillette, était trop jeune pour préparer les repas et tenir la maison . Le père se remaria. D’abord, la marâtre ne fit a
t déclara : — La vache qui a frappé ma fille ne saurait vivre dans ma maison . Homme, tu la vendras. Tu la vendras ! Il lui rép
a vendras ou je prendrai ma fille par la main et je te laisserai à ta maison , à tes enfants et à ta vache. Il la pria, la supp
orgeras. Car la vache qui a frappé ma fille, ne saurait vivre dans ma maison . Il égorgea la vache. Les orphelins se rendirent
ns le puits : et Aïcha tomba. Depuis, la gazelle bramait par toute la maison , bramait par tout le jardin. La femme jalouse ava
ils qu’ils virent une multitude de corbeaux tournoyer au-dessus de la maison la plus imposante et la cerner, l’assiéger. — Que
de vivre et plein d'insouciance. Un jour d’orage, l’aîné revint à la maison sans son aimable compagnon. les chèvres, affolées
pauvre corps de terre et attendit la fin de l’orage pour rentrer à la maison . Comme ses parents s’étonnaient de le voir reveni
Le pire et la mire avaient perdu d'un coup la joie de leurs yeux. La maison qui reflétait la bonne humeur et la clarté de l'e
un dit à l'autre : — Cette vie me déplaît. Me rendre, le matin, de la maison aux champs et, le soir, des champs à la maison, n
endre, le matin, de la maison aux champs et, le soir, des champs à la maison , non I Je suis las des prairies et du ciel d’ici.
le premier, Mehend, reprit : — Tu veilleras sur notre mère, sur notre maison et sur nos biens. Et je partirai seul sur mon che
es autour de lui. Ahmed explora le domaine de Tseriel et découvrit sa maison sous les arbres. Toutes les richesses y étaient a
au jardin. La nuit trouva les deux frères, assis côte à côte dans la maison de Tseriel. Elle les trouva mangeant des œufs fra
de fleurs. Depuis qu'en songe je t’ai vu, Adolescent mon frère, A la maison je ne suis revenue. Proverbes Il a volé, j’étais
du métier à tisser, Vous proférez votre serment, Le mal s’éloigne des maisons . Femmes des Aith Ouerthiran Salut à vous, le jour
z les bienvenus I Restez ici cette nuit, au matin vous repartirez. Sa maison était là, tout près, cachée par de grands arbres.
le bras vers cette fumée et dit à sa compagne : — Il doit y avoir une maison là-bas. Nous allons nous en approcher et nous y a
ocher et nous y arrêter cette nuit. Ils avancèrent avec peine vers la maison qu’une haie d’épines défendait. Mehend appela : u
de apparut. Il y descendit et comprit brusquement qu’il était dans la maison des Sept Ogres, aux ossements humains qui jonchai
dans la fosse. Le lendemain, dès le lever du jour, Mehend explora la maison et la trouva regorgeant de richesses. Il se prome
ce côte à côte, dans le crépuscule, et arrivèrent à la nuit noire. La maison était là, derrière une haie d’aloès. Mehend et so
rince s’approcha du surveillant et lui dit : — Je veux entrer dans ta maison . Le surveillant répondit : — Bien, seigneur. Et i
nt qui ne comprenait rien ne répondit pas. Us arrivèrent en vue de la maison . La plus jeune fille du surveillant (celle qui ét
ique-moi le gué ou je le chercherai ». Lorsque tu es entré dans notre maison , tu as regardé ma sœur et tu as dit : ‹ Le plat e
tagé le poulet. A mon père tu as donné la tête : il est la tête de la maison . A ma mère, tu as donné la poitrine : elle est le
a maison. A ma mère, tu as donné la poitrine : elle est le cœur de la maison . A nous, les filles, tu as donné les ailes : nous
s, tu as donné les cuisses : ils sont les soutiens, les piliers de la maison . Et toi, tu as pris les pattes parce que tu es l’
palais ne perdant pas de vue le coffre qui suivait. Une fois dans la maison de ses parents, la jeune reine ouvrit le coffre.
a mort a pris les talons Ses lèvres se dessèchent, Nous irons dans la Maison de la Balance. (Il n’est pas d’autre Dieu qu’Alla
touché les orteils Ses membres se dissocient, Nous entrerons dans la Maison Inconnue. (Il n’est pas d’autre Dieu qu'Allah.) L
rrive à la cuisse Recueillez-vous, ô foules, Nous pénétrerons dans la Maison Eternelle. La mort atteint les reins. Sa mère se
(Il n’est pas d’autre Dieu qu'Allah.) La mort atteint les épaules Sa maison est pleine et regorge, Que ses mérites le sauvent
langue Toi, son fils, penche-toi vers lui Pour qu’il te recommande sa maison et ses biens. (U n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.
a touché les cils Son regard ne nous connaît plus, Il entrera dans la Maison Dernière. (Il n'est pas d’autre Dieu qu’Allah.) L
e village. Elle était si fatiguée qu’elle s’arrêta devant la première maison pour demander l’hospitalité. On lui servit un bon
rent : — Notre mère, abrite-nous au nom de Dieu 1 Elle leur ouvrit sa maison , les nourrit de couscous, de lait et de fruits et
nous voudrions vivre dans ce pays. Où pourrais-je trouver une petite maison et du travail? La vieille femme répondit : — Je s
onde et je m’ennuie. Restez avec moi, ta sœur et toi. Elle tiendra la maison tandis que tu soigneras les bêtes et cultiveras l
ureux. Elle leur avait pourtant laissé tout ce qu'elle possédait : sa maison , ses champs d’oliviers et de figuiers, sa portion
is il l’assit devant lui sur son cheval et l’emmena. II lui ouvrit sa maison et lui déclara, dès qu’elle s’y fut bien reposée
champs d’oliviers et de figuiers, des bois, des vignobles, plusieurs maisons et un jardin, un jardin de montagne où poussaient
l’enfant : — Nous voici bien fatigués. Nous frapperons à la première maison que nous rencontrerons et nous demanderons qu’on
e vit revenir des champs à la tombée de la nuit et se diriger vers sa maison . Elle le suivit et lui dit : — Donne-nous asile p
a forêt des charges de bois mort. Les plus jeunes trottinaient par la maison et se rendaient utiles. Les pauvrettes espéraient
râtre déversait jour après jour sur la tête de son pauvre homme. — La maison est pleine de tes filles, lui disait-elle d’une v
ruse me faudra-t-il encore inventer pour être enfin seule dans cette maison I › Des semaines s’écoulèrent dans une paix tromp
rprise, elle courut apprendre la nouvelle au village et emprunter, de maison en maison, les riches vêtements et les bijoux don
le courut apprendre la nouvelle au village et emprunter, de maison en maison , les riches vêtements et les bijoux dont elle ent
cahuètes et de dattes. Elle eût donné tout le miel et le beurre de la maison si on ne l’avait modérée. Puis elle baigna les se
e sarcasmes et d’injures. Aurait-il la force de passer le seuil de sa maison ? Dans la caverne où se trouvaient les orphelines,
massées depuis de nombreuses années. Les pauvrettes avaient enfin une maison d’où nul ne pourrait les chasser. Elles firent le
ceux qui avaient fui de terreur et souffert d’exil revinrent à leurs maisons et à leurs biens. Et la ville et tout le pays con
bêtes, le Pou habitait la montagne. La Puce, elle, avait construit sa maison plus bas, dans la plaine. Mais un jour un grand v
as, dans la plaine. Mais un jour un grand vent se leva qui emporta la maison du Pou. Il se rendit sur l’heure chez la Puce ave
es ânes. Une voisine qui s’apprêtait à cuire des galettes, sort de sa maison , une galette crue dans chaque main. Elle demande
t il a disparu ! La voisine se plaque une galette sur chaque joue. La maison de la voisine se déplace et dit : — Qu’as-tu, Dam
escendu aux enfers. Il est tombé dans la marmite et il a disparu I La maison s'écroule : Arrive la source : — Qu'as-tu Dame Pu
'as-tu Dame Puce? — Ce que j’ai? Hou I hou I Que n'est-il arrivé I La maison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
— Ce que j’ai — Hou ! hou ! Que n'est-il arrivé ! La source tarie, la maison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
’ai ? Que n’est-il arrivé ! La brebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
té, la haie d’épines noyée, la brebis dépouillée, la source tarie ,1a maison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
té, la haie d’épines noyée, la brebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
té, la haie d’épines noyée, la brebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
té, la haie d’épines noyée, la brebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
’avance et balaie tout. Plie entraîne le rocher, la haie d’épines, la maison écroulée. Elle emporte la brebis dépouillée, la v
Smaïn se trouva à l’intérieur de la ville. De la fumée montait d’une maison toute proche dont un nègre immense gardait l’entr
r cette nuit, au nom de Dieu. La vieille femme les fit entrer dans sa maison et se désola de n’avoir à leur offrir qu’une gale
eikh Smaïn de se tenir prêt à m’enlever dès que je passerai devant sa maison . La vieille retourna auprès du sultan pour lui di
illard entrèrent dans le village. Ils s’arrêtèrent devant la première maison : elle était rustique mais propre ; un beau figui
dans l’outre, il ne put échapper à l'ogresse. A peine arrivé dans sa maison , Tseriel tâta Velâjoudh et le trouva maigre. Afin
resse faisait à sa fille. Tseriel sortit à l’aube. Vetellis rangea la maison , alluma le feu, éplucha beaucoup de gros oignons
- pèlerin. Lui, prépara soigneusement sa réception. H tendit toute sa maison de nattes, de tapis, de couvertures. Il boucha ai
on s'emparait de toutes les offrandes pour les mettre en lieu sûr. La maison fut bientôt pleine. Des groupes se formèrent : le
ie de la nuit. Les fillettes se rendaient utiles et trottaient par la maison : c’étaient elles qui remplissaient à la fontaine
aux dans la montagne. Agneaux et cabris nourrissaient en partie cette maison que l’on enviait à la ronde non tant pour sa bonn
u avant l’aube, il déposa doucement la jeune fille sur le seuil de la maison familiale. Yamina savait que son père et sa mère
t sœurs accoururent des villages voisins pour fêter son retour. Et la maison fut pleine comme au temps bienheureux de l’enfanc
s grandes ailes. Il laissa Yamina comme un chiffon sur le seuil de la maison de son père et s’éloigna. Yamina vit mourir son p
ère. Yamina se sépara de ses frères et sœurs mais ne quitta jamais la maison . Elle attendit durant des jours, des semaines, de
, ils amoindrissent- Proverbes Dieu, lorsqu’il veut donner Connaît la maison . Lorsque la chance vous précède Un mot suffit pou
es frères, Auprès de chacun je te remplacerai, Et je leur ouvrirai ma maison toute grande. › J’ai pensé : « Le mal ne peut l'a
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
e quinze ou seize ans, le roi et la reine estant allez à une de leurs maisons de plaisance, il arriva que la jeune princesse, c
: c’est par delà le moulin que vous voyez tout là-bas, à la premiere maison du village. — Et bien ! dit le Loup, je veux l’al
urs qu’elle rencontroit. Le Loup ne fut pas long-temps à arriver à la maison de la mere-grand. Il heurte : toc, toc. « Qui est
, complaisans et doux, Suivent les jeunes demoiselles Jusque dans les maisons , jusque dans les ruelles. Mais, hélas ! qui ne sç
  LA BARBE BLEÜE   Il estoit une fois un homme qui avoit de belles maisons à la ville et à la campagne, de la vaisselle d’or
s meilleures amies et quelques jeunes gens du voisinage, à une de ses maisons de campagne, où on demeura huit jours entiers. Ce
e, tant elles avoient d’impatience de voir toutes les richesses de sa maison , n’ayant osé y venir pendant que le mari y estoit
is de se haster. » La Barbe-Bleuë se mit à crier si fort que toute la maison en trembla. La pauvre femme descendit, et alla se
la le petit Poucet. Ce pauvre enfant estoit le souffre douleurs de la maison , et on luy donnoit toûjours le tort. Cependant il
l emplit ses poches de petits cailloux blancs, et ensuite revint à la maison . On partit, et le petit Poucet ne découvrit rien
t Poucet les laissoit crier, sçachant bien par où il reviendroit à la maison ; car en marchant il avoit laissé tomber le long d
, suivez-moy seulement: ils le suivirent, et il les mena jusqu’à leur maison , par le même chemin qu’ils estoient venus dans la
its cailloux, il ne put en venir à bout, car il trouva la porte de la maison fermée à double tour. Il ne sçavoit que faire, lo
la lumiere, il la revit en sortant du Bois. Ils arriverent enfin à la maison où estoit cette chandelle, non sans bien des fray
uvres enfans, où estes-vous venus ? sçavez-vous bien que c’est icy la maison d’un Ogre qui mange les petits enfants. Helas ! M
n eut moins de peur, et dit à ses freres de s’enfuir promptement à la maison pendant que l’Ogre dormoit bien fort, et qu’ils n
point en peine de luy. Ils crurent son conseil, et gagnerent viste la maison . Le petit Poucet s’estant approché de l’Ogre, lui
jambes que si elles avoient esté faites pour lui. Il alla droit à la maison de l’Ogre où il trouva sa femme qui pleuroit aupr
rent le sçavoir de bonne part, et même pour avoir bû et mangé dans la maison du Bucheron. Ils assurent que lorsque le petit Po
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