s se sont exilés le jour de ta naissance ? La jeune fille revint à la
maison
avec son outre vide. La fièvre s’empara d’elle. S
t enfin le village où vivaient les sept frères : on leur indiqua leur
maison
. Us étaient allés à la chasse... Elles attendiren
ée. Elle m’a dit qu'en venant au monde je vous avais chassés de notre
maison
. Settoute — que Dieu la brûle I — vous a trompés.
ant me voici ! Dois-je rester parmi vous ou m'accompagnerez-vous à la
maison
de notre père et de notre mère ? Ils lui répondir
jours. Nous réfléchirons. La négresse s’installa en maîtresse dans la
maison
des sept frères. La jeune fille dut la servir et
i Pour que m'apparaisse Le pays de mes parents I La négresse & la
maison
demeure Moi, je suis gardeuse de chameaux, Pleure
e-toi Pour que m'apparaisse Le pays de mes parents I La négresse à la
maison
demeure Moi, je suis gardeuse de chameaux, Pleure
? Elle lui répondit : — Moi? Je-suis ta sœur. Lorsque j’étais dans la
maison
de mon père, je suis allée'un jour à la fontaine
-temps favori : la chasse. Leur sœur préparait les repas et tenait la
maison
. L'année suivante, au printemps, à l’endroit où a
eigneurs ! Proverbe Le chat dit : Que Dieu décime les habitants de la
maison
et les aveugle Afin que je puisse voler. Mais le
puisse voler. Mais le chien dit : Dieu multiplie les habitants de la
maison
et me les rende favorables Afin que chacun me don
avança pour la tuer et revêtir sa peau. Les ânes la conduisirent à la
maison
du jeune homme. Elle dit au père en arrivant : —
vivaient très heureux. L'abondance et la prospérité emplissaient leur
maison
. C’était la pleine saison des figues et l’automne
her de l’eau ; à la forêt rapporter un fagot et rentra pour mettre sa
maison
en ordre. A midi, c’est à peine si elle mangea. E
le y jeta de la cendre et mit la laine à tremper. Puis elle rangea sa
maison
. Le Crapaud, lui, qui était fatigué, alla se couc
Crapaud dit : — Sois courageuse. La nuit va nous surprendre et notre
maison
est encore loin. Ils marchèrent, marchèrent encor
colline se trouve le village. Nous allons bientôt voir les toits des
maisons
. Mais la Grenouille, exténuée, s’assit sur le bor
abord, il avait commencé par être un homme heureux : il possédait une
maison
, une femme, de nombreux champs et toutes sortes d
C’est ainsi qu’il fut changé en serpent. Il abandonna sa famille, sa
maison
et tous ses biens. Il déserta le monde et se réfu
Et l'autre vous fait griller. Les rats du dehors chassent ceux de la
maison
. Comme qui danserait devant un aveugle. Chant d’e
ha, la fillette, était trop jeune pour préparer les repas et tenir la
maison
. Le père se remaria. D’abord, la marâtre ne fit a
t déclara : — La vache qui a frappé ma fille ne saurait vivre dans ma
maison
. Homme, tu la vendras. Tu la vendras ! Il lui rép
a vendras ou je prendrai ma fille par la main et je te laisserai à ta
maison
, à tes enfants et à ta vache. Il la pria, la supp
orgeras. Car la vache qui a frappé ma fille, ne saurait vivre dans ma
maison
. Il égorgea la vache. Les orphelins se rendirent
ns le puits : et Aïcha tomba. Depuis, la gazelle bramait par toute la
maison
, bramait par tout le jardin. La femme jalouse ava
ils qu’ils virent une multitude de corbeaux tournoyer au-dessus de la
maison
la plus imposante et la cerner, l’assiéger. — Que
de vivre et plein d'insouciance. Un jour d’orage, l’aîné revint à la
maison
sans son aimable compagnon. les chèvres, affolées
pauvre corps de terre et attendit la fin de l’orage pour rentrer à la
maison
. Comme ses parents s’étonnaient de le voir reveni
Le pire et la mire avaient perdu d'un coup la joie de leurs yeux. La
maison
qui reflétait la bonne humeur et la clarté de l'e
un dit à l'autre : — Cette vie me déplaît. Me rendre, le matin, de la
maison
aux champs et, le soir, des champs à la maison, n
endre, le matin, de la maison aux champs et, le soir, des champs à la
maison
, non I Je suis las des prairies et du ciel d’ici.
le premier, Mehend, reprit : — Tu veilleras sur notre mère, sur notre
maison
et sur nos biens. Et je partirai seul sur mon che
es autour de lui. Ahmed explora le domaine de Tseriel et découvrit sa
maison
sous les arbres. Toutes les richesses y étaient a
au jardin. La nuit trouva les deux frères, assis côte à côte dans la
maison
de Tseriel. Elle les trouva mangeant des œufs fra
de fleurs. Depuis qu'en songe je t’ai vu, Adolescent mon frère, A la
maison
je ne suis revenue. Proverbes Il a volé, j’étais
du métier à tisser, Vous proférez votre serment, Le mal s’éloigne des
maisons
. Femmes des Aith Ouerthiran Salut à vous, le jour
z les bienvenus I Restez ici cette nuit, au matin vous repartirez. Sa
maison
était là, tout près, cachée par de grands arbres.
le bras vers cette fumée et dit à sa compagne : — Il doit y avoir une
maison
là-bas. Nous allons nous en approcher et nous y a
ocher et nous y arrêter cette nuit. Ils avancèrent avec peine vers la
maison
qu’une haie d’épines défendait. Mehend appela : u
de apparut. Il y descendit et comprit brusquement qu’il était dans la
maison
des Sept Ogres, aux ossements humains qui jonchai
dans la fosse. Le lendemain, dès le lever du jour, Mehend explora la
maison
et la trouva regorgeant de richesses. Il se prome
ce côte à côte, dans le crépuscule, et arrivèrent à la nuit noire. La
maison
était là, derrière une haie d’aloès. Mehend et so
rince s’approcha du surveillant et lui dit : — Je veux entrer dans ta
maison
. Le surveillant répondit : — Bien, seigneur. Et i
nt qui ne comprenait rien ne répondit pas. Us arrivèrent en vue de la
maison
. La plus jeune fille du surveillant (celle qui ét
ique-moi le gué ou je le chercherai ». Lorsque tu es entré dans notre
maison
, tu as regardé ma sœur et tu as dit : ‹ Le plat e
tagé le poulet. A mon père tu as donné la tête : il est la tête de la
maison
. A ma mère, tu as donné la poitrine : elle est le
a maison. A ma mère, tu as donné la poitrine : elle est le cœur de la
maison
. A nous, les filles, tu as donné les ailes : nous
s, tu as donné les cuisses : ils sont les soutiens, les piliers de la
maison
. Et toi, tu as pris les pattes parce que tu es l’
palais ne perdant pas de vue le coffre qui suivait. Une fois dans la
maison
de ses parents, la jeune reine ouvrit le coffre.
a mort a pris les talons Ses lèvres se dessèchent, Nous irons dans la
Maison
de la Balance. (Il n’est pas d’autre Dieu qu’Alla
touché les orteils Ses membres se dissocient, Nous entrerons dans la
Maison
Inconnue. (Il n’est pas d’autre Dieu qu'Allah.) L
rrive à la cuisse Recueillez-vous, ô foules, Nous pénétrerons dans la
Maison
Eternelle. La mort atteint les reins. Sa mère se
(Il n’est pas d’autre Dieu qu'Allah.) La mort atteint les épaules Sa
maison
est pleine et regorge, Que ses mérites le sauvent
langue Toi, son fils, penche-toi vers lui Pour qu’il te recommande sa
maison
et ses biens. (U n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.
a touché les cils Son regard ne nous connaît plus, Il entrera dans la
Maison
Dernière. (Il n'est pas d’autre Dieu qu’Allah.) L
e village. Elle était si fatiguée qu’elle s’arrêta devant la première
maison
pour demander l’hospitalité. On lui servit un bon
rent : — Notre mère, abrite-nous au nom de Dieu 1 Elle leur ouvrit sa
maison
, les nourrit de couscous, de lait et de fruits et
nous voudrions vivre dans ce pays. Où pourrais-je trouver une petite
maison
et du travail? La vieille femme répondit : — Je s
onde et je m’ennuie. Restez avec moi, ta sœur et toi. Elle tiendra la
maison
tandis que tu soigneras les bêtes et cultiveras l
ureux. Elle leur avait pourtant laissé tout ce qu'elle possédait : sa
maison
, ses champs d’oliviers et de figuiers, sa portion
is il l’assit devant lui sur son cheval et l’emmena. II lui ouvrit sa
maison
et lui déclara, dès qu’elle s’y fut bien reposée
champs d’oliviers et de figuiers, des bois, des vignobles, plusieurs
maisons
et un jardin, un jardin de montagne où poussaient
l’enfant : — Nous voici bien fatigués. Nous frapperons à la première
maison
que nous rencontrerons et nous demanderons qu’on
e vit revenir des champs à la tombée de la nuit et se diriger vers sa
maison
. Elle le suivit et lui dit : — Donne-nous asile p
a forêt des charges de bois mort. Les plus jeunes trottinaient par la
maison
et se rendaient utiles. Les pauvrettes espéraient
râtre déversait jour après jour sur la tête de son pauvre homme. — La
maison
est pleine de tes filles, lui disait-elle d’une v
ruse me faudra-t-il encore inventer pour être enfin seule dans cette
maison
I › Des semaines s’écoulèrent dans une paix tromp
rprise, elle courut apprendre la nouvelle au village et emprunter, de
maison
en maison, les riches vêtements et les bijoux don
le courut apprendre la nouvelle au village et emprunter, de maison en
maison
, les riches vêtements et les bijoux dont elle ent
cahuètes et de dattes. Elle eût donné tout le miel et le beurre de la
maison
si on ne l’avait modérée. Puis elle baigna les se
e sarcasmes et d’injures. Aurait-il la force de passer le seuil de sa
maison
? Dans la caverne où se trouvaient les orphelines,
massées depuis de nombreuses années. Les pauvrettes avaient enfin une
maison
d’où nul ne pourrait les chasser. Elles firent le
ceux qui avaient fui de terreur et souffert d’exil revinrent à leurs
maisons
et à leurs biens. Et la ville et tout le pays con
bêtes, le Pou habitait la montagne. La Puce, elle, avait construit sa
maison
plus bas, dans la plaine. Mais un jour un grand v
as, dans la plaine. Mais un jour un grand vent se leva qui emporta la
maison
du Pou. Il se rendit sur l’heure chez la Puce ave
es ânes. Une voisine qui s’apprêtait à cuire des galettes, sort de sa
maison
, une galette crue dans chaque main. Elle demande
t il a disparu ! La voisine se plaque une galette sur chaque joue. La
maison
de la voisine se déplace et dit : — Qu’as-tu, Dam
escendu aux enfers. Il est tombé dans la marmite et il a disparu I La
maison
s'écroule : Arrive la source : — Qu'as-tu Dame Pu
'as-tu Dame Puce? — Ce que j’ai? Hou I hou I Que n'est-il arrivé I La
maison
écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
— Ce que j’ai — Hou ! hou ! Que n'est-il arrivé ! La source tarie, la
maison
écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
’ai ? Que n’est-il arrivé ! La brebis dépouillée, la source tarie, la
maison
écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
té, la haie d’épines noyée, la brebis dépouillée, la source tarie ,1a
maison
écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
té, la haie d’épines noyée, la brebis dépouillée, la source tarie, la
maison
écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
té, la haie d’épines noyée, la brebis dépouillée, la source tarie, la
maison
écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
té, la haie d’épines noyée, la brebis dépouillée, la source tarie, la
maison
écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux
’avance et balaie tout. Plie entraîne le rocher, la haie d’épines, la
maison
écroulée. Elle emporte la brebis dépouillée, la v
Smaïn se trouva à l’intérieur de la ville. De la fumée montait d’une
maison
toute proche dont un nègre immense gardait l’entr
r cette nuit, au nom de Dieu. La vieille femme les fit entrer dans sa
maison
et se désola de n’avoir à leur offrir qu’une gale
eikh Smaïn de se tenir prêt à m’enlever dès que je passerai devant sa
maison
. La vieille retourna auprès du sultan pour lui di
illard entrèrent dans le village. Ils s’arrêtèrent devant la première
maison
: elle était rustique mais propre ; un beau figui
dans l’outre, il ne put échapper à l'ogresse. A peine arrivé dans sa
maison
, Tseriel tâta Velâjoudh et le trouva maigre. Afin
resse faisait à sa fille. Tseriel sortit à l’aube. Vetellis rangea la
maison
, alluma le feu, éplucha beaucoup de gros oignons
- pèlerin. Lui, prépara soigneusement sa réception. H tendit toute sa
maison
de nattes, de tapis, de couvertures. Il boucha ai
on s'emparait de toutes les offrandes pour les mettre en lieu sûr. La
maison
fut bientôt pleine. Des groupes se formèrent : le
ie de la nuit. Les fillettes se rendaient utiles et trottaient par la
maison
: c’étaient elles qui remplissaient à la fontaine
aux dans la montagne. Agneaux et cabris nourrissaient en partie cette
maison
que l’on enviait à la ronde non tant pour sa bonn
u avant l’aube, il déposa doucement la jeune fille sur le seuil de la
maison
familiale. Yamina savait que son père et sa mère
t sœurs accoururent des villages voisins pour fêter son retour. Et la
maison
fut pleine comme au temps bienheureux de l’enfanc
s grandes ailes. Il laissa Yamina comme un chiffon sur le seuil de la
maison
de son père et s’éloigna. Yamina vit mourir son p
ère. Yamina se sépara de ses frères et sœurs mais ne quitta jamais la
maison
. Elle attendit durant des jours, des semaines, de
, ils amoindrissent- Proverbes Dieu, lorsqu’il veut donner Connaît la
maison
. Lorsque la chance vous précède Un mot suffit pou
es frères, Auprès de chacun je te remplacerai, Et je leur ouvrirai ma
maison
toute grande. › J’ai pensé : « Le mal ne peut l'a