. Que de beautés vous enfantez, ô femmes, Pour les remettre entre les
mains
des hommes ! LÉ GRAIN MAGIQUE Que mon conte
ndit : — Je voudrais sa Tête pour chenet. Son pied pour tisonnier. Sa
main
pour pelle à cendre. Ils égorgèrent donc la négre
belle laine, remit dans le sac celle de moindre qualité, se lava les
mains
et s'occupa du diner. Elle posa bientôt la marmit
ur le dos et le Crapaud, la sacoche en bandoulière et le battoir à la
main
, sortirent à l’aube. Le chemin qui menait à la ri
eul dans la corbeille. Ils burent à une source, dans le creux de leur
main
. Et puis, comme l'air était chaud, et le soleil p
us vite ! lui dit sa mère. La pelote était lourde. Elle s'échappa des
mains
de l’enfant et se mit à rouler. — Cours et rattra
semblable à une rose ; les épines avaient égratigné ses pieds et ses
mains
. Ses vêtements étaient déchirés. Tant de beauté é
enais une pelote de laine : elle était lourde. Elle est tombée de mes
mains
et elle a roulé, roulé. Je l’ai suivie... Je l’ai
é à marcher jusqu'ici. Il prit de l’eau pour lui laver le visage, les
mains
et les pieds. Il la fit asseoir et lui servit à m
s’approcha du métier plus tôt que de coutume et y entra, tenant à la
main
la lampe à huile. Elle tissa, tissa jusque vers l
es de jouvenceau Ah ! la la Fleurent le beurre trais Ah I la la I Une
main
vous caresse Et l'autre vous fait griller. Les ra
u ? Tu vendras la vache, tu la vendras ou je prendrai ma fille par la
main
et je te laisserai à ta maison, à tes enfants et
glissa dans son corsage un morceau de galette, prit son frère par la
main
et ils partirent droit devant eux. Ils marchèrent
zelle n’est pas une bête mais un être humain. Elle me regarde, et les
mains
m’en tombent ! La femme jalouse demanda successiv
urs. Proverbes On trouve toujours trop gros Le morceau de galette aux
mains
de l’orphelin. Craignais-tu que je te devance ? I
e, donne-moi de l'eau Car ce monde est tromperie ! Proverbes Bats des
mains
pour qui veut danser ! L'on entoure d’égards le r
e et se jeta sur un lit en frissonnant. La reine inquiète lui prit la
main
: — Mon fils, lui dit-elle, on t'a jeté un sort.
pour qu’il ne s’y fît pas de grumeaux. Mehend bondit, s’empara de la
main
de la sorcière et ■la plongea dans la soupe bouil
longea dans la soupe bouillante. Settoute hurla. — Je ne retirerai ta
main
que tu ne m’aies dit où se trouve Soumicha fille
ille de Hitine, dit le prince. Alors, elle lui indiqua l’Orient de sa
main
libre. ■Le prince se dirigea en hâte vers sa cham
t plus que ce poisson. Il s’endormit. Dans son sommeil, il sentit une
main
se poser doucement sur son épaule et il entendit
un noir si brillant qu’il était impossible d’en soutenir l’éclat. Ses
mains
et son visage répandaient une clarté surnaturelle
rmés de leur couteau. Et les trois frères unis comme les doigts de la
main
qui s’aimaient d’amour si tendre, s’entretuèrent
s fusées éclatèrent en plein ciel. Durant ces jours et ces nuits, les
mains
du sultan furent comme des fontaines d’abondance.
son époux dans la chambre nuptiale, assise sur de moelleux tapis, ses
mains
blanches chargées de bagues. Ce fut Mehend qui ap
fitant de ce qu’elle remuait la semoule, je bondis et lui plongeai la
main
dans le liquide brûlant. Elle hurla. «Je ne retir
la main dans le liquide brûlant. Elle hurla. «Je ne retirerai pas ta
main
avant que tu ne m’aies montré la voie qui mène à
cha », lui répondis-je posément. Alors, elle m’indiqua l’Orient de sa
main
libre. Et c’est ainsi que, laissant mes parents e
dormis sur le sable tiède, pour ne me réveiller qu’au crépuscule. Une
main
ferme et tendre me touchait l'épaule, une voix pe
llant. (Il n’est pas d'autre Dieu qu'Allah.) Ceux qui boivent dans sa
main
Ne seront pas impatients. (Il n’est pas d’autre D
outes la plus monstrueuse. Le jeune homme alors prit son sabre à deux
mains
et la fit voler au loin. Les champs furent à nouv
garde à l’arbre... › Allons, pose ton olivier I Le Subtil lui prit la
main
et chercha le gué. Il faisait jour lorsqu'ils eur
propos ont des cheveux. Celui qui rit, qu'il craigne de pleurer. Les
mains
, qu’on les fasse travailler Ou qu’on les économis
rendit donc au marché de grand matin et il en revint, tenant dans ses
mains
un chapelet de morceaux de viande, enfilés comme
nous nous dresserons devant le Tout-Puissant, Nous n'aurons dans nos
mains
que nos bonnes actions. (Il n’est pas d’autre Die
t le sel I Aoulêlam I La soupe au lait I Qui passe devant Y trempe la
main
l Aoulêlam I L'alcôve d’ombre I On s'y engouffre
la première fois. Ma vie est en elle et mon âme ! › Il la prit par la
main
et la conduisit à ses parents, elle, une passante
as. Choisis une fiancée parmi les jeunes filles du village et pose la
main
sur elle. Je ne regarderai ni à l’argent, ni à ri
mon fils, et notre nom est grand ! Mehend prit la jeune fille par la
main
et s’éloigna avec elle sans un mot. Il lui dit, q
e eut pleuré et appelé en vain, le jeune homme se montra, tenant à la
main
une outre de chevreau : — L'un de tes petits est
e trahisse comme tu m’as trahi, car tu ne mérites pas de mourir de ma
main
. Et, laissant la jeune femme avec l’outre de lait
— Mon père, voici deux marchés que tu pars et que tu nous reviens les
mains
vides. Pourquoi ? — Ma fille, répondit le surveil
ois, c’est l’homme. Au matin de sa vie, il rampe sur les pieds et les
mains
, plus grand, il avance sur ses deux pieds. Devenu
e soir sur trois, c’est l’homme. Au matin de sa vie, il rampe sur les
mains
et les pieds. Plus grand, il avance sur ses deux
maîtresse. (11 n’est pas d'autre Dieu qu'Allah.) La mort a touché les
mains
On repousse les meubles, Les vieillards sont allé
erait I La mère remplit un panier de provisions, prit sa fille par la
main
et sortit. Elles marchèrent jusqu'au soir. La pau
e y coulait : ils s’en approchèrent pour boire dans le creux de leurs
mains
. Et Reskia dit : — O joie, mon frère est un adole
des œufs de caille qu’avait trouvés Reskia. Mais Zahoua avait mis la
main
sur des œufs de serpent... Elles rentrèrent. Dès
rement, jeta sur son épaule l'outre aux serpents, prit son fils d’une
main
, un panier de provisions de l’autre et sortit san
jeune épouse divisa ceux qui étaient aussi unis que les doigts de la
main
. Elle détesta si violemment sa belle-sœur qu’un m
be qui dit : ‹ On trouve toujours trop gros le morceau de galette aux
mains
de l'orphelin. › Aîcha seule demeurait près de l'
rpillés autour d’elle. Elle était là comme un joli objet, ses petites
mains
croisées et ses pieds repliés sous elle. Et elle
i étroitement le plat de bois que c’est à peine si je puis glisser ma
main
et ramener un peu de nourriture. Il te faudra cho
s’en étonnait : elle était si petite I Elle pouvait ainsi glisser la
main
dans son corsage pour en ramener des noyaux qu’el
ait parer les orphelines. Elle leur teignit au henné les cheveux, les
mains
et les pieds. Elle entreprit de moudre un couffin
arder son secret et de parer à ce nouveau danger, Aïcha tenait à deux
mains
son cœur, n’osant regarder vers le pauvre homme q
ppréhendait le courroux de la marâtre. En le voyant sans la mule, les
mains
vides et le cœur plein de tristesse, elle éclater
sable tout humide. Elle creusa, creusa plus fort à l’aide de ses deux
mains
: une poche d’eau se forma à sa grande joie, et l
res qu'elle partagea encore entre ses sœurs. La fillette avait mis la
main
sur une mine de fèves. Et le temps s’écoula. Un m
comme un mendiant se présenta aux portes du palais. Il tenait dans sa
main
le bâton des pèlerins. Aïcha courut vers lui : —
O toi ma très chère Que de fois ai-je teint au henné Tes cheveux, tes
mains
et tes pieds. Ahdada, Ahdada ma fille O toi ma tr
tisfaite : Nul n’est responsable que moi. J’ai épousé un homme que ma
main
a choisi Et ma main, aujourd'hui, se repent de ce
responsable que moi. J’ai épousé un homme que ma main a choisi Et ma
main
, aujourd'hui, se repent de ce choix. S’il s’agiss
à cuire des galettes, sort de sa maison, une galette crue dans chaque
main
. Elle demande à son tour : — Qu’as-tu, Dame Puce?
e au jeune homme Que je suis délaissée. Proverbes Celui qui a levé la
main
, C’est comme s’il avait frappé. Il ne touche ni a
. Le prince se sépara d’eux, à la croisée des chemins et leur dit, la
main
tendue : — Allez de votre côté tandis que j’irai
plus furieuse que de coutume, elle teignit en hâte ses cheveux et ses
mains
au henné. Elle revêtit ses plus beaux atours et p
e battrai pour toi jusqu’à la mort. Cheikh Smaïn prit le nègre par la
main
et s'éloigna avec lui. Ils marchèrent. Ils marchè
lés d'or. Elle attendait que son époux veuille bien la prendre par la
main
et l’emmener. Cheikh Smaïn parut, la fit asseoir
n le plus engageant. Si j’en juge par ta voix qui est douce et par ta
main
qui est parfaite, tu dois être fort belle et bonn
e saluer et à le presser sur mon cœur ! La jeune femme la prit par la
main
et la conduisit auprès de son maître. Settoute se
ense. Fallait-il être assez stupide ou fou pour se remettre entre les
mains
de son pire ennemi? Enfin le sultan allait pouvoi
bienvenu, mon enfant ! lui dit-elle en lui prenant la tête entre ses
mains
brunes. Nous avions si peur de mourir seuls. Pouv
ère monstrueux de notre bien-aimé maître. Cheikh Smaïn, le sabre à la
main
, s’était frayé un passage parmi la foule stupéfai
Et il se tourna enfin vers son père pour lui clouer contre le mur les
mains
et les pieds. — Qu’on allume un feu lent à ses pi
ensif qu’un enfant, et j’ai été assez naïf pour me remettre entre tes
mains
et me laisser enchaîner par la chaînette d’argent
e la scène. Tseriel essaya de soulever l’outre. L’outre lui tomba des
mains
. Elle se dit : ‹ Qu’a-t-il mangé? Pour quelle rai
ntendit Velâjoudh crier : ‹ Qui veut des figues ? »... Elle avança la
main
entre les branches et tira Velâjoudh par la patte
le s'approcha du guichet et dit : — Velâjoudh, mon fils, donne-moi ta
main
pour que je voie si elle est plus potelée. Il lui
ser. Quelques jours après, elle dit à nouveau : — Donne-moi ta petite
main
, Velâjoudh mon fils I Il lui offrit le manche d’u
ix : — Je te dis que c’est l’œil de cousine Vetellis ! L’œil passa de
main
en main. Et chacun dit : —C’est l’œil de Vetellis
e te dis que c’est l’œil de cousine Vetellis ! L’œil passa de main en
main
. Et chacun dit : —C’est l’œil de Vetellis ! Velâj
ire à la taille, Imitant les jouvenceaux. Il tenait un miroir dans sa
main
, Il mirait d» près son visage, Arrachant un à un
t s’il fait beau, nos figues sécheront. Chant dbs noces Donne-nous ta
main
Pour que nous l’enduisions de henné. Dénoue ta lo
Celui qui jouit qu'il se hâte, La vie ne dure pas : La mort avance la
main
. Chant de méditation Je me suis promis de dire la
vieillesse besogneuse est redoutable I Proverbe Les durillons de mes
mains
Sont préférables à ceux de mon cœur. Chant d'amou
tendit ses convives. Les souris entrèrent les premières, tenant d’une
main
leurs présents et de l’autre leurs souriceaux. Le
d'abord les souris au Chat-pèlerin. Elles lui baisèrent la tête et la
main
et lui dirent : — La paix soit sur toi, fr Chat-p
verbes En apparence il est guéri, Mais au dedans il est miné. Pose la
main
sur ton cœur : il te dira Et tu comprendras. L
adis terrestre. Il te suffira de tourner cet anneau que je passe à ta
main
gauche pour que tout ce que tu désires te soit ac
râces. Et les fruits les plus rares attendront d’être cueillis par ta
main
. Seulement, moi qui suis près de toi, moi qui te
rit ce vase d’une assiette et le posa prés de son lit, à portée de sa
main
. Le sommeil la fuit ce soir-là. Yamina attendait
Orage sur le seuil, elle voulut découvrir la lumière. Mais à peine sa
main
toucha-t-elle l'assiette qu’un vent furieux renve
pleurs Afin qu'elles thésaurisent le bien Et se présentent à lui les
mains
pleines, Après avoir couché dans le froid de la t
? 235 Nous les laisserons à des héritiers, Et nous nous en irons les
mains
nues De ce monde éphémère, Car n'est éternelle qu
ient transparent quand elle boit. L’on croit y voir l’eau courir. Ses
mains
sont toutes menues Comme celles d'un enfant, Elle