effort n’ait pas été vain, que l’élève n’ait pas été trop indigne du
maître
, et que soit entendue enfin cette parole que tu n
utre Dieu qu'Allah.) La nourriture seule nous est due ; La terre, son
maître
est un seigneur. (Il n’est pas d’autre Dieu qu'Al
complie et épouse sa fille. Tombe la pluie Dans la brume et le vent O
maître
du champ, Œil de tourterelle ! Proverbes Le trava
d’abord prendre de ton lait dans cette outre et profite de ce que ton
maître
, le lion, dort pour arracher deux poils à sa mous
lline, quand un chacal vint à passer qui dit au roi des animaux : — O
maître
, veux-tu retrouver l'agilité de ta jeunesse? — J’
t pas, bien au contraire, tant les navrait le sort de leur malheureux
maître
. Les lanières finirent par s’imbiber. Les perdrix
tout prix cette fois il faudrait que la queue parle et renseigne son
maître
. Il la prit résolument entre ses griffes et lui d
eillard qui commença ainsi : — Mes filles, Moche était le seigneur et
maître
tout puissant de cette ville. C’était un prince d
e, ma solitude Est celle de l'ascète Retranché sur son rocher. Pitié,
maître
des deux, Frayez-moi le chemin I Proverbe Les ble
ur ! La jeune femme la prit par la main et la conduisit auprès de son
maître
. Settoute se jeta sur le prince et l’embrassa. El
re, Roundja plus belle que lune et que rose l’arrêta par ces mots : —
Maître
, je vois du sang parmi tes proches. Il répondit ;
e femme au visage de lait et aux cheveux couleur de mais l’arrêta : —
Maître
, lui dit-elle avec tendresse, je vois du sang sur
e, comme il s’acheminait vers la fontaine où l’attendait son père : —
Maître
, lui avait crié l’épouse qui avait le pouvoir de
avait crié l’épouse qui avait le pouvoir de se transformer en nègre,
maître
je vois du sang parmi tes proches et cette fois j
fourbir. — Mon père, dit-il, pourquoi cette arme ? — Mon fils, notre
maître
le sultan veut que nous allions nous battre contr
ns l’odeur du maître I — Va, lui répondirent-elles avec tristesse, le
maître
est bien mort. Aussi, dès que tu sentiras ta forc
ux vaut mourir que d’appartenir au père monstrueux de notre bien-aimé
maître
. Cheikh Smaïn, le sabre à la main, s’était frayé
tait frayé un passage parmi la foule stupéfaite. — Je sens l’odeur du
maître
! dit à nouveau le nègre, mais avec plus de convi
Tous ses enfants se sont envolés Et lui ne cesse de pleurer. Pitié, ô
maître
des vents, Venez en aide à ceux qui souffrent. Je