atitude pour nous avoir aidées à sauver de l’oubli ces chants dont la
lumière
chemine vers nous depuis le fond des âges. Les ve
ature, une créature... une nappe d’or la couvrait jusqu’aux pieds. La
lumière
qui en émanait m’éblouit. Sans doute était-ce la
contre un arbre. Etait- ce un ange, une fée?... Son visage défiait la
lumière
. Une nappe d'or l’habillait. Quand je voulus la r
bras un enfant, un enfant si beau qu’il répandait autour de lui de la
lumière
, car ses cheveux étaient d’or et d’argent. Le sul
iolent qu’il ébranla le mur, y faisant un trou par où le soleil et la
lumière
entrèrent à profusion. Ebloui, le jeune homme s’a
e prêtèrent-ils leur 'force?... Au choc le mur s’entrouvit, un jet de
lumière
inonda la pièce. Je m’approchai et je vis ce qui
après le départ de son fils pour le pays de Soumicha et refusé toute
lumière
et toute nourriture, durant des jours et des jour
et planter dans une jarre un jeune grenadier qu’elle plaça en pleine
lumière
, devant cette fenêtre. Puis elle se fit apporter
ait pas toujours ignoré, que la justice impitoyable de Dieu ferait la
lumière
. Depuis longtemps les pluies avaient entraîné la
t roulé le grain du couscous, un grain si blond qu’il répandait de la
lumière
. Elle avait épluché et lavé les légumes. Elle ava
. Après s'être bien reposés, Mehend et celle qu’il aimait plus que la
lumière
, quittèrent un matin l’ermitage et poursuivirent
pour se partager une galette de blé si blonde qu'elle répandait de la
lumière
et boire une terrine de lait. Et puis la jeune fe
ent à un arbre leurs chevaux et traversèrent sans bruit le jardin. La
lumière
filtrait à travers les fissures de la porte. Ils
’écoula. Un matin que Aîcha-Cendrinette retirait la dernière fève, la
lumière
du jour apparut entre ses doigts par un trou minu
oici bientôt l’été ; et il y a si longtemps que mes sœurs n’ont vu la
lumière
du jour... Pourtant, lui, rentre et sort à sa gui
enêtre montrant le plus merveilleux visage qui se puisse voir sous la
lumière
de Dieu. La vieille femme lui sourit de loin et l
ns ses poches, répondit gravement le vieil aigle. S’il veut revoir la
lumière
de Dieu, qu’il prenne quelques feuilles à ce bel
ne ronde lui apparaîtra parmi les étoiles, dans le ciel, et demain la
lumière
du jour l’éblouira au réveil. Cheikh Smaïn écouta
son burnous et s’endormit heureux, sur un lit de feuilles sèches. La
lumière
de Dieu l’éblouit au réveil .11 se leva. Il cueil
lle sentit l’Oiseau de l’Orage sur le seuil, elle voulut découvrir la
lumière
. Mais à peine sa main toucha-t-elle l'assiette qu