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1 (1966) Le grain magique
atitude pour nous avoir aidées à sauver de l’oubli ces chants dont la lumière chemine vers nous depuis le fond des âges. Les ve
ature, une créature... une nappe d’or la couvrait jusqu’aux pieds. La lumière qui en émanait m’éblouit. Sans doute était-ce la
contre un arbre. Etait- ce un ange, une fée?... Son visage défiait la lumière . Une nappe d'or l’habillait. Quand je voulus la r
bras un enfant, un enfant si beau qu’il répandait autour de lui de la lumière , car ses cheveux étaient d’or et d’argent. Le sul
iolent qu’il ébranla le mur, y faisant un trou par où le soleil et la lumière entrèrent à profusion. Ebloui, le jeune homme s’a
e prêtèrent-ils leur 'force?... Au choc le mur s’entrouvit, un jet de lumière inonda la pièce. Je m’approchai et je vis ce qui
après le départ de son fils pour le pays de Soumicha et refusé toute lumière et toute nourriture, durant des jours et des jour
et planter dans une jarre un jeune grenadier qu’elle plaça en pleine lumière , devant cette fenêtre. Puis elle se fit apporter
ait pas toujours ignoré, que la justice impitoyable de Dieu ferait la lumière . Depuis longtemps les pluies avaient entraîné la
t roulé le grain du couscous, un grain si blond qu’il répandait de la lumière . Elle avait épluché et lavé les légumes. Elle ava
. Après s'être bien reposés, Mehend et celle qu’il aimait plus que la lumière , quittèrent un matin l’ermitage et poursuivirent
pour se partager une galette de blé si blonde qu'elle répandait de la lumière et boire une terrine de lait. Et puis la jeune fe
ent à un arbre leurs chevaux et traversèrent sans bruit le jardin. La lumière filtrait à travers les fissures de la porte. Ils
’écoula. Un matin que Aîcha-Cendrinette retirait la dernière fève, la lumière du jour apparut entre ses doigts par un trou minu
oici bientôt l’été ; et il y a si longtemps que mes sœurs n’ont vu la lumière du jour... Pourtant, lui, rentre et sort à sa gui
enêtre montrant le plus merveilleux visage qui se puisse voir sous la lumière de Dieu. La vieille femme lui sourit de loin et l
ns ses poches, répondit gravement le vieil aigle. S’il veut revoir la lumière de Dieu, qu’il prenne quelques feuilles à ce bel
ne ronde lui apparaîtra parmi les étoiles, dans le ciel, et demain la lumière du jour l’éblouira au réveil. Cheikh Smaïn écouta
son burnous et s’endormit heureux, sur un lit de feuilles sèches. La lumière de Dieu l’éblouit au réveil .11 se leva. Il cueil
lle sentit l’Oiseau de l’Orage sur le seuil, elle voulut découvrir la lumière . Mais à peine sa main toucha-t-elle l'assiette qu
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