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1 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
it mettre la princesse dans le plus bel appartement du palais, sur un lit en broderie d’or et d’argent. On eût dit d’un ang
ffe, petite chienne de la princesse, qui estoit auprés d’elle sur son lit . Dés qu’elle les eust touchez, ils s’endormirent
utres assis. Il entre dans une chambre toute dorée, et il voit sur un lit , dont les rideaux estoient ouverts de tous costez
, que ma mere vous envoye. » La bonne mere-grand, qui estoit dans son lit , à cause qu’elle se trouvoit un peu mal, luy cria
l n’avoit mangé. Ensuite il ferma la porte, et s’alla coucher dans le lit de la mere-grand, en attendant le petit Chaperon
te s’ouvrit. Le Loup, la voyant entrer, luy dit en se cachant dans le lit , sous la couverture : « Mets la galette et le pet
moy. » Le petit Chaperon rouge se deshabille, et va se mettre dans le lit , où elle fut bien estonnée de voir comment sa mer
e pouvoient assez admirer le nombre et la beauté des tapisseries, des lits , des sophas, des cabinets, des gueridons, des tab
ſes ſœurs eſtoient dans des chambres parquetées, où elles avoient des lits des plus à la mode, & des miroirs où elles ſe
t Poucet oüit tout ce qu’ils dirent, car, ayant entendu de dedans son lit qu’ils parloient d’affaires, il s’estoit levé dou
stoit l’Ogre qui revenoit. Aussi tost sa femme les fit cacher sous le lit et alla ouvrir la porte. L’Ogre demanda d’abord s
entant pas; en disant ces mots, il se leva de Table, et alla droit au lit . Ah, dit il voilà, donc comme tu veux me tromper
s qui doivent me venir voir ces jours icy. Il les tira de dessous le lit l’un aprés l’autre. Ces pauvres enfans se mirent
t coucher de bonne heure, et elles estoient toutes sept dans un grand lit , ayant chacune une Couronne d’or sur la teste. Il
Couronne d’or sur la teste. Il y avoit dans la même Chambre un autre lit de la même grandeur , ce fut dans ce lit que la f
ans la même Chambre un autre lit de la même grandeur , ce fut dans ce lit que la femme de l’Ogre mit coucher les sept petit
u’il pouvoit executer la veille, il se jetta donc brusquement hors du lit , et prenant son grand Couteau, allons voir, dit-i
s; il monta donc à tâtons à la Chambre de ses filles et s’approcha du lit où étoient les petits garçons, qui dormoient tous
vrage , je voy bien que je bus trop hier au soir. Il alla ensuite au lit de ses filles, où ayant senti les petits bonnets
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a au-dessus du souterrain et aspira l’air. Elle jeta un regard sur le lit de Loundja et elle comprit. Elle s’écria : — Loun
n enfant aux cheveux d’or, un enfant à sa ressemblance. Elle garda le lit quarante jours et puis, un matin, elle se leva po
he des orphelins? Qui me l’achèterait? J’ai juré à leur mère, sur son lit de mort, de ne jamais m’en défaire. — Tu as enten
palais. Il entra dans la pièce où se tenait sa mère et se jeta sur un lit en frissonnant. La reine inquiète lui prit la mai
n pleine lumière, devant cette fenêtre. Puis elle se fit apporter son lit , ses vêtements et ses objets familiers près de ce
s gardaient encore un souffle de vie. Ahmed allongea son frère sur un lit d’herbe et s'assit près de lui en pleurant. Il pl
entrait ni ne sortait, car il était paralysé. On lui avait traîné son lit près de la porte, et cette porte, il en tirait la
t il tirait la targette. Aïcha entrait, balayait la masure, aérait le lit . Puis elle servait au vieillard son repas, lui ve
que sa femme referma la trappe sur l’Ogre et courut se jeter sur son lit . Le jeune époux s’approcha d'elle très doucement
ne s’éloignait-il que l’épouse au lumineux visage sautait hors de son lit et se précipitait vers la trappe. Elle délivrait
ait ri et folâtré avec l’Ogre, n'eut que le temps de se jeter sur son lit : ‹ Et moi qui espérais tant ne plus le revoir I
fre. Elle prit doucement son époux dans ses bras et l’étendit sur son lit . Assise à son chevet, elle attendit patiemment so
mander l’hospitalité. On lui servit un bon repas et on lui prépara un lit . Au lever du soleil, elle repartit droit devant e
n, les nourrit de couscous, de lait et de fruits et leur prépara deux lits . Ils dormirent profondément. Le jeune homme s’éve
aître, il s'arrêta. H délia la pauvre jeune fille et l’étendit sur un lit . Comme il se disposait à tuer les serpents et à l
s'enveloppa étroitement de son burnous et s’endormit heureux, sur un lit de feuilles sèches. La lumière de Dieu l’éblouit
d le lendemain et crut rêver quand elle se vit seule, dans un immense lit , parmi la soie, la fine laine et la plume. Yamina
jamais nourriture si délicate n’était entrée dans sa bouche. Près du lit des robes attendaient, étalées sur des sièges, ai
orsqu’elle regagnait son palais solitaire et qu’elle entrait dans son lit trop vaste que des soupirs gros comme des vagues
ns prix. Elle recouvrit ce vase d’une assiette et le posa prés de son lit , à portée de sa main. Le sommeil la fuit ce soir-
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