ge. (Il n'est pas d’autre Dieu qu’Allah.) Proverbes Qui osera dire au
lion
: ‹ ta bouche sent mauvais ? » Tu m'as vendu des
rais-je trouvé la patte brisée, dans un piège, au fond d’un ravin? Le
Lion
vint à passer : — Qu’as-tu, Crapaud, à garder les
en colère. Des débris tombent sur mon dîner. — C’est ton seigneur le
Lion
, le roi des fauves. Viens, suis- moi, retourne ve
un Arabe ne te traînerait pas au bout d’une corde comme un chien. Le
Lion
découragé, s’en alla retrouver le Crapaud. Le Gyp
Disparut en allant à la source prier. Ses fidèles se sont dit : ‹ un
lion
l'a mangé. » Mais lui, dans le secret, cheminait
squ’à nous, s’écrièrent-ils. Accepte notre hospitalité et tue-nous le
lion
qui, non seulement la nuit, mais le jour, nous en
e nos juments. Le jeune homme se cacha derrière un arbre et guetta le
lion
. Il l'entendit de loin s’avancer en rugissant. Il
ssant. Il le laissa approcher et le visa au front, entre les yeux. Le
lion
s’écroula et le jeune homme reçut une noble jumen
ui dirent : — Nous connaissons tes prouesses ; tu as tué un tigre, un
lion
. Mais nous, nous ne savons quel fauve (tigre, lio
s tué un tigre, un lion. Mais nous, nous ne savons quel fauve (tigre,
lion
ou panthère) nous décime notre troupeau. Si tu en
ait semé le bien, tué un chacal, un aigle en plein ciel, un tigre, un
lion
, une panthère. Lorsque Dieu nous l’envoya, le dra
ue trop attendu. Nous allons cette fois confier Mehend à la gueule du
lion
. Lorsque ton époux rentrera ce soir, feins d’être
est arrivée. Rien ne saurait peut-être me sauver qu’un peu de lait de
lionne
dans une outre en peau de lionceau nouée à l’aide
au de lionceau nouée à l’aide de deux poils dérobés à la moustache du
lion
. » L’Ogre et la jeune femme se sentirent heureux
résigner à me voir mourir cette fois. Je ne vois qu’un peu de lait de
lionne
, dans une outre en peau de lionceau, nouée à l'ai
de lionceau, nouée à l'aide de deux poils arrachés 'à la moustache du
lion
, qui puisse peut-être me ranimer ! Mehend sentit
n ~mi fidèle : — Voici maintenant qu’elle exige pour vivre du lait de
lionne
as une outre en peau de lionceau, liée à l’aide d
u de lionceau, liée à l’aide de deux poils -rrachés à la moustache du
lion
I dit-il accablé. — Ne comprends-tu pas, malheure
Attache-la à un arbre : tu l’entendras bientôt bêler et tu verras le
lion
et la lionne accourir. Alors, toi, profite de ce
à un arbre : tu l’entendras bientôt bêler et tu verras le lion et la
lionne
accourir. Alors, toi, profite de ce qu’ils seront
ssèrent rien de la pauvre chèvre et revinrent chez eux satisfaits. Le
lion
, repu, s'allongea commodément et s’endormit. Mais
isfaits. Le lion, repu, s'allongea commodément et s’endormit. Mais la
lionne
, bonne mère, chercha ses petits. Ne les découvran
ession, lui-dit-il — Exige de moi tout ce que tu voudras, répondit la
lionne
, mais rends-moi mon petit. — Laisse-moi d’abord p
ndre de ton lait dans cette outre et profite de ce que ton maître, le
lion
, dort pour arracher deux poils à sa moustache et
on, dort pour arracher deux poils à sa moustache et me les donner. La
lionne
obéit. Elle se laissa docilement traire. Et puis
se laissa docilement traire. Et puis elle approcha très doucement du
lion
pour arracher deux poils à sa noble moustache. Al
l’outre en peau de lionceau et de lier cette outre avec les poils du
lion
. Cependant, au lieu de s’en retourner directement
noces. Ils se disaient l'un à l’autre entre deux rires : «Mehend, le
lion
nous en a enfin délivrés, ô chance, le lion nous
deux rires : «Mehend, le lion nous en a enfin délivrés, ô chance, le
lion
nous a délivrés de Mehend !› Et l’Ogre et la jeun
dire, entre deux rires : «Mehend, nous l’avons confié à la gueule du
lion
›, quand la porte s’ouvrit brusquement. Un coup d
sèrent au pied de l’arbre : — Je sens l’odeur de l’homme ! annonça le
lion
. A l’instant même la fillette murmura : — Maman,
, toi qui es cause de ma ruine ! Une goutte tomba sur la moustache du
lion
, n rugit : — Un être a dû se cacher dans les plus
ent. Les fauves allaient se ruer sur elle et la démembrer, lorsque le
lion
leur ordonna de s’éloigner. Alors, se tournant ve
e. Prends-le délicatement, ne lui fais aucun mal. Et donne-le moi. Le
lion
ouvrit avec soin le ventre de la mère, en retira
très lasse. Les fauves se rassemblèrent et se la partagèrent. Mais le
lion
épargna l’enfant qu’elle portait en elle et le do
i a bonne langue A mieux qu’un champ d'oliviers. HISTOIRE DU VIEUX
LION
ET DU VOL DE PERDRIX Que mon conte soit beau e
t se déroule comme un long fil 1 Aux temps où parlaient les bêtes, un
lion
déjà vieux se chauffait au soleil sur la pente d'
ilité de ta jeunesse? — J’avoue que la chose me plairait, répondit le
lion
. — Alors, arme-toi de patience. Je serai vite de
lla en quatre parties égales. Et il entreprit alors de faire au vieux
lion
des mocassins qui enveloppent étroitement ses pat
re solidement et de lacer avec des lanières de cuir, le chacal dit au
lion
: — Reste au soleil le plus longtemps que tu pour
entiras des ailes. Tu ne sauras comment me témoigner ta gratitude. Le
lion
était naïf. Il exposa consciencieusement ses patt
peau ne tarda pas à rétrécir et à devenir aussi dure que du bois. Le
lion
éprouva d’abord une gêne, puis une douleur d'auta
été roué de coups, aussi impuissant et désarmé qu'un agneau, le vieux
lion
humilié gémissait, maudissant du fond de son ravi
lheur t’est-il arrivé? demandèrent du haut du ciel les perdrix. Et le
lion
leur conta sa triste aventure. — Si tu nous prome
les toutes à la fois, nous te délivrerions. — C’est juré, répondit le
lion
. Alors, les perdrix se posèrent gracieusement aut
leur roi. Elles eurent aussi la bonne idée de mouiller les pattes du
lion
, ce qui le soulagea grandement et lui permit de s
e. — Que Dieu vous bénisse et vous donne le prestige et la majesté du
lion
, vous que l’on nomme à raison ‹ les belles du pay
l’on nomme à raison ‹ les belles du pays › ! dit de sa grande voix le
lion
. Les perdrix prirent- leur vol. Et dès lors, leur
prirent- leur vol. Et dès lors, leur froufrou imita le rugissement du
lion
. •Peu de temps après, arriva le chacal, impatient
tient de tenir sa proie qui, cette fois, était royale. 11 aperçoit le
lion
dans le ravin. Il descend vers lui et dit : — Com
fort loin. Il faut que tu aies retrouvé l’agilité de ta jeunesse I Le
lion
se garda de répondre et fit le mort. Le chacal s’
et fit le mort. Le chacal s’approcha au point de le frôler. Alors, le
lion
lança sa patte puissante et saisit le chacal par
i bien qu’il réussit à s'échapper, laissant sa queue dans la patte du
lion
. — Je saurai bien te reconnaître, puisque j’ai ta
connaître, puisque j’ai ta queue dans ma patte I lui dit calmement le
lion
. Le chacal courut comme le feu rassembler une cen
t par s’échapper en laissant leur queue à l’arbre. C’est ainsi que le
lion
se vit soudain environné d'une multitude de chaca
ans queue. Bien malin qui, dans ce cas, reconnaîtrait son ennemi ! Le
lion
, embarrassé, alla trouver le Vieux Sage et lui ra
ège. Ne le manque surtout pas, car c'est lui qui a voulu ta mort ! Le
lion
remercia le Vieux Sage et se mit immédiatement en
egardant de droite et de gauche, comme s’il redoutait d’être pris. Le
lion
bondit et, de sa patte puissante saisit son ennem
gissait d'une poterie, Comme je la briserais avec joie ! Proverbes Le
lion
dit à l'ânesse : « Je te prête deux litres d’orge
ès l’aube autour de sa poitrine nue. Cheikh Smaïn se battait comme un
lion
. Il accomplissait tant de prouesses qu’une voix n
ons. Que celui qui tire sur la corde Sache que j’en tiens le bout. Le
lion
devenu vieux, Les chacals le battent. Chant de mé
un bâton et le chasser. A la mémoire de mes frères : Paul (Mohand le
lion
), Louis (Seghir l’arbre de douceur), Noël (Sâdi l
r les branches d’un pêcher Chantait du matin à la nuit, Et Mohand, le
lion
Qui a emmené ses frères. La tempête est arrivée E