eine. Il y en a qui en leurs enfants vivent : Ils espèrent qu’en tous
lèvera
le bien. Mais nous, Seigneur qui n’avons rien, Ac
a sacoche de provisions : galette et viande. Et, comme elle devait se
lever
dès le point du jour, elle songea enfin à se repo
le soleil se mit à baisser, la Grenouille dit au Crapaud : — Homme !
lève
-toi. Il faut partir. Rapporte-nous des légumes, t
ore. Une colline apparut. — Je suis fatiguée, reprit la Grenouille. —
Lève
la tête, répondit le Crapaud. Derrière cette coll
. Pour mieux découvrir le ciel, elle gagnait une hauteur. Et là, elle
levait
son visage resplendissant vers la lune et lui dem
emblance. Elle garda le lit quarante jours et puis, un matin, elle se
leva
pour se mêler à la vie de la cour. Lorsqu'elle re
ve habitait une hutte, en dehors du village. Elle en partait avant le
lever
du soleil et n’y revenait qu’au crépuscule. C’est
ait son frère-gazelle : Dès qu’elle entendait sa voix plaintive, elle
levait
la tête et lui répondait du fond du puits : ‹ Aïc
ouvait seul les entendre, car lui seul passait près du puits avant le
lever
du soleil, à cette heure où la gazelle avait l’us
ens avec moi et tu verras et tu entendras. Le lendemain, le sultan se
leva
au point du jour et alla rejoindre le Cheikh au j
encore et se débattait farouchement pour sortir du filet. Le pêcheur
levait
déjà son couteau lorsque Mehend, fils de roi, s’i
e poser doucement sur son épaule et il entendit une voix lui dire : —
Lève
-toi, Mehend et partons. Le soleil venait juste de
violemment sur le sable. Je me débattis vainement. Déjà un couteau se
levait
sur moi quand survint ce jeune homme que tu vois.
Un énorme poisson se débattait vainement dans un filet et le pêcheur
levait
sur lui son couteau, quand j’offris en échange le
uchait l'épaule, une voix persuasive me disait à l’oreille : «Mehend,
lève
-toi et suis-moi. » O roi, le poisson avait dispar
poings. Le chien ne le mange qu’après l’avoir traîné. Chant religieux
Levez
-vous, mes frères, et partons Même en dépit du ver
z vers le dragon- aux-sept-têtes, déclara Mehend. Le lendemain, il se
leva
dès l’aube. H prit son sabre, emmena un berger et
erveille s’y cache-t-elle et ne veut- il pas que je la voie ? › Il se
leva
dès l’aube, emmena son lévrier, monta son cheval
u'à son tour il pénétra dans une riche et verte contrée, le soleil se
levait
. Un grand village lui apparut, le village que son
igne des maisons. Femmes des Aith Ouerthiran Salut à vous, le jour se
lève
l Vous aux vêtements de soie. Aux écharpes immacu
onnaîtrai-je que tu dors, afin de ne pas te réveiller car, moi, je me
lève
et parle quelquefois la nuit à mon insu. Elle rép
lui attacha les pieds. Son frère dormait. Il le secoua et lui dit : —
Lève
-toi, lève-toi, dépêchons-nous tandis qu’elle dort
a les pieds. Son frère dormait. Il le secoua et lui dit : — Lève-toi,
lève
-toi, dépêchons-nous tandis qu’elle dort I Mais l’
d’un moment, un agréable fumet se répandit dans la cour. La femme se
leva
pour goûter le sel. La viande était presque cuite
’a mangé, mangé... Ma sœur a rassemblé mes os. Le père comprit. Il se
leva
, terrible, et marcha vers la femme. Mais alors l’
robuste, étourdit d'un coup de tête son adversaire. Mais un autre se
leva
et dit : — Me voici I Il fut à son tour terrassé
ept Ogres. Et il jeta leurs corps dans la fosse. Le lendemain, dès le
lever
du jour, Mehend explora la maison et la trouva re
e me ranimer ! Mehend sentit la joie le déserter pour toujours. Il se
leva
dès l'aube, monta son cheval et courut vers son ~
nté à des Seigneurs. Proverbe Le marché se tient à l’aube : Qui ne se
lève
de grand matin, N’a pas sa part des richesses. Ch
r, les fauves se dispersèrent et la lapine demeura seule. Alors, elle
leva
son regard vers l’arbre et dit à la petite fille
’hospitalité. On lui servit un bon repas et on lui prépara un lit. Au
lever
du soleil, elle repartit droit devant elle. Près
bile, jusqu’à ce qu’il eût senti la vie frémir en elle. Et puis il se
leva
. Il attendit la nuit pour retrouver sa femme et l
éveilla dès l’aube. H prit une corde et s’en alla trouver sa sœur : —
Lève
-toi, lui dit-il. Allons couper du bois, nous n'en
r et Dieu t’en saura gré. Le père la regarda et ne dit mot. Reskia se
leva
dès l'aube. Elle s’habilla pauvrement, jeta sur s
es, afin que sèchent tes mocassins. Quand ils seront bien secs, alors
lève
-toi. Tu courras comme jamais tncore tu n’as couru
de son pouvoir, la marâtre reprit : — Demain, dis à tes filles de se
lever
matin et de t’accompagner dans la forêt chercher
e?... Elle y réfléchit tout le jour et une partie de la nuit. Elle se
leva
dès l’aube et se prépara comme ses sœurs. Mais ta
t, car la marâtre au cœur noir n’avait pas désarmé. Un matin, elle se
leva
légère pour annoncer joyeusement aux orphelines q
a queue qui ne répondait pas. Le bel animal avait pour habitude de se
lever
dès l’aube et de partir ià la chasse pour ne rent
urage et se dit : ‹ Ce qui m’a échappé ce soir, ne m’échappera pas au
lever
du soleil ! › Elle se mit à l’affût de grand mati
lait rapide et joyeux entre les roseaux ? Elle y baigna son visage et
leva
le regard vers les arbres glorieux qui riaient de
de méditation Tous les jeudis et vendredis départ, Je suis las de me
lever
matin Et de ne m’assoupir qu'à l'aube. Cheminer s
uit sa maison plus bas, dans la plaine. Mais un jour un grand vent se
leva
qui emporta la maison du Pou. Il se rendit sur l’
, Va dire au jeune homme Que je suis délaissée. Proverbes Celui qui a
levé
la main, C’est comme s’il avait frappé. Il ne tou
Les habitants de la ville furent saisis d’effroi lorsqu’ils virent au
lever
du soleil se dresser devant eux le palais magique
s’écoulèrent avant que lui vînt une idée fertile. Mais un jour il se
leva
léger pour faire creuser en hâte par ses hommes l
lit de feuilles sèches. La lumière de Dieu l’éblouit au réveil .11 se
leva
. Il cueillit un bouquet de feuilles à l’arbre mer
ard à sa compagne. Une femme âgée mais encore robuste se montra. Elle
leva
sur le prince son regard transparent et sourit :
pris le foie de la mère pour une bourse pleine d’or. Les malfaiteurs
levaient
déjà leur matraque, lorsque le foie bondit hors d
champ dans la plaine Et non dans la pierraille, Et j'ai prié pour que
lève
une abondante moisson. C'était du blé de race que
hôte de Dieu ›. A peine entendait-on sa voix, que l’un des enfants se
levait
pour aller à son devant. A peine entendait-on mon
, s'écrièrent ses sœurs indignées, tu as vécu tout ce temps sans oser
lever
ton regard sur lui I Quelle est la femme qui acce