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1 (1966) Le grain magique
la maison avec son outre vide. La fièvre s’empara d’elle. Sa mère en larmes s’approcha pour demander : — Qu’as-tu, ma fille?
et s'approcha de la gazelle. Mais elle le regarda, les yeux pleins de larmes . Le domestique revint vers sa maîtresse et lui dé
’Orient de sa main libre. Et c’est ainsi que, laissant mes parents en larmes , je partis, ô roi, le visage tourné vers l’Orient
us vaillante, vous vous mettrez en route, dussé-je en verser bien des larmes . Soumicha, remise de ses couches, put entreprendr
longues que des siècles?) La pauvre reine avait versé des torrents de larmes après le départ de son fils pour le pays de Soumi
glisse, Veillez à ce qu’elle ne traîne. L’enfant qui m’a valu tant de larmes Dort, offert aux étoiles. Sa couverture glisse, V
compagnon. Ainsi fit-elle chaque jour. Or voici que sous l’effet des larmes qui chaque jour tombaient en pluie sur eux, les p
arce que je t’ai épousée contre leur gré. Elle répondit à travers ses larmes : — Mieux vaudrait te résigner à me voir mourir c
me mène chez mon oncle Ali. › Le père en rentrant trouva son fils en larmes . Or il l’aimait d’une tendresse infinie. Cet enfa
heur du pays : il sema le mal à longueur de journée et fit couler les larmes . Dieu l’avertit une première fois de veiller à ne
allais vers le désert, les yeux brûlés par les chemins crayeux et les larmes vaines. C’est alors que se dressant parmi les dun
que rose, ou à mourir. Sa mère essaya vainement de le retenir par ses larmes . 11 s’éloigna. Elle le suivit longtemps des yeux.
de sa fiancée et s’endormit. Mais il se réveilla en sursaut, car une larme venait de tomber sur sa joue. Alors, il vit que c
e celles qui produisent. Ne demande pas à l’orphelin s’il connaît les larmes . Chant db méditation J'ai juré de ne plus faire l
des soupirs gros comme des vagues soulevaient sa poitrine et que des larmes roulaient sur ses joues. Le sommeil, heureusement
Je suis comme l'inconnu qu'une balle a frappé. La nuit, le jour, mes larmes coulent Et ma peine sans fond est irrémédiable :
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
qu’il faut mourir, répondit-elle en le regardant les yeux baignez de larmes , donnez moy un peu de temps pour prier Dieu. — Je
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