emps pour nous de penser à l'hiver. Rends-toi au marché, achète de la
laine
. Je te tisserai un burnous sombre pour la pluie.
t nous l’emporterons demain car nous irons, dès l’aurore, laver notre
laine
à la rivière. Et nous passerons à la campagne tou
vançait péniblement. Elle le rejoignit, l’aida à déposer sa charge de
laine
et lui ôta la sacoche de provisions qui pendait à
it le couscous à cuire à la vapeur. Et puis elle s'approcha du sac de
laine
. Elle secoua la laine avec force pour en faire to
à la vapeur. Et puis elle s'approcha du sac de laine. Elle secoua la
laine
avec force pour en faire tomber la poussière et l
yeux, les plus blancs, je les emploierai pour ton burnous. Quant à la
laine
rêche, j’en ferai une couverture que je teindrai.
teindrai. Et nous aurons chaud cet hiver. Elle fit un tas de la belle
laine
, remit dans le sac celle de moindre qualité, se l
ent fini, l’eau chantait. La Grenouille y jeta de la cendre et mit la
laine
à tremper. Puis elle rangea sa maison. Le Crapaud
la se coucher de bonne heure. La Grenouille plus vaillante, sortit la
laine
du chaudron, la pressa et la mit à égoutter dans
irent toilette et déjeunèrent à la hâte. La Grenouille, le couffin de
laine
sur le dos et le Crapaud, la sacoche en bandouliè
rivière comme le soleil se montrait. La Grenouille posa sa charge de
laine
, le Crapaud suspendit la sacoche à un arbre. Et i
eau. C’est dans cette petite mare que la Grenouille devait défaire la
laine
, l’effilocher en légers flocons, à mesure que son
n légers flocons, à mesure que son époux la battait. A midi, toute la
laine
était propre. Ils pensèrent alors à déjeuner. La
répondit le Crapaud. La Grenouille chargea en soupirant le couffin de
laine
sur son dos et ils se mirent en marche. ' Ils ava
qui mouille mes talons? La Grenouille répondit . — C’est l’eau de la
laine
qui dégoutte du couffin. Mais le Crapaud reprit,
e sens des gouttes sur mes talons. — Je te dis, mon ami, que c’est la
laine
I Le Crapaud, excédé, jeta la Grenouille par-dess
ne mare. La Grenouille y sauta, abandonnant sur le bord le couffin de
laine
. Le Crapaud s’accroupit un peu plus loin, tristem
u matin, elle prit deux montants bien solides et une grosse pelote de
laine
. Elle appela sa voisine et toutes deux partirent,
s allons enfoncer les montants dans la terre. Toi, tu feras courir la
laine
entre nous. Te voici grande, tu pourras bien teni
savait bien ce qu’elle faisait. La fillette se mit à faire courir la
laine
: — Plus vite I plus vite ! lui dit sa mère. La p
in, elle se sentit rassurée. Elle lui dit : — Je tenais une pelote de
laine
: elle était lourde. Elle est tombée de mes mains
ut et fut changé en gazelle. Alors, Aîcha défit sa longue ceinture de
laine
et la noua au cou de la gazelle. Et dès lors, ell
ns. Et quant à ta sœur, ‹ entre un mur et un autre ›, elle tissait la
laine
, ayant un mur derrière elle et devant elle un aut
t au fond, la pauvre pleureuse. Alors, il défît sa longue ceinture de
laine
et la lui lança, en lui criant : — Attache-la bie
quand elle se vit seule, dans un immense lit, parmi la soie, la fine
laine
et la plume. Yamina était au milieu d’une chambre