/ 1
1 (1966) Le grain magique
absolue et le respect des traditions orales. Ces qualités, j'ai eu la joie de les découvrir chez la musicienne accomplie qu'
t tapis. D'autres qu’enchantent les vergers : Ils sont en fleur, leur joie est pleine. Il y en a qui en leurs enfants vivent
cour durant quelques mois. Le prince, son mari l’aimait. A la grande joie de toute la famille royale, elle mit au monde un
ha allait donner le jour à un enfant. Le sultan était au comble de la joie car, s’il avait épousé plusieursxfemmes, aucune n
ciel, aussi douce que l'herbe et le souffle des fleurs. Elle était sa joie . Il ne vivait que par elle. Il lui cherchait pati
voyant tomber le corps bien-aimé, elle jura, la sournoise, de retirer joie et santé à la plus belle fille du royaume. Elle j
ant sept jours et sept nuits la poudre parla très haut, propageant la joie jusqu’aux confins du royaume et les youyous comme
le jeune homme aux yeux de faucon disparut, laissant en face de leur joie Mehend et Soumicha fille de Hitine. Mehend et Sou
n’ai pu faire. Car celui qui a rappelé à la vie la princesse pour ta joie et la nôtre, ô roi, est le Génie de la mer. Il l’
e dire est juste. Je garderai près de moi le petit prince. Il sera ma joie . Dès que ma fille sera plus vaillante, vous vous
t Mehend, bercé par le pas de son cheval noir, savourait en chemin la joie qu’il apportait à ses parents et à son peuple. «S
ils sera florissante. Quand il aura des fleurs, ton fils sera dans la joie . Quand il aura deux fruits, ton fils se mariera.
la beauté et la grâce. Le pire et la mire avaient perdu d'un coup la joie de leurs yeux. La maison qui reflétait la bonne h
courut porter l’heureuse nouvelle à sa fille. La princesse pleura de joie en montrant à Mehend son fils. Et la cour et tout
airs et de vent et la princesse, sur sa jument bleue, partageait leur joie . Le soleil baissait. Des champs de figuiers et d’
re. Où tu iras, partout, je serai avec toi Dans la douleur et dans la joie . Proverbe Comme la sauterelle qui en a enfanté qu
onts et cessa de frissonner. La fièvre parut l’abandonner à la grande joie de Mehend qui put croire la paix et le bonheur dé
moustache du lion, qui puisse peut-être me ranimer ! Mehend sentit la joie le déserter pour toujours. Il se leva dès l'aube,
r, d’étape en étape, nourris-le d'un peu de moelle et écrie-toi : ‹ O joie , mon frère gazouille, mon frère sourit I › Et tu
urit I › Et tu l’entendras gazouiller, et tu le verras sourire... ‹ O joie , mon frère se tient debout sur ses petites jambes
ebout sur ses petites jambes ! › Et tu le verras se tenir debout. ‹ O joie , mon frère met un pied en avant I › Et tu le verr
, mon frère met un pied en avant I › Et tu le verras faire un pas. «O joie , mon frère est un petit homme : il pourrait être
: il pourrait être un berger ! › Et il courra tout autour de toi. « O joie , mon frère est un adolescent t › Et tu le verras
un adolescent t › Et tu le verras tel un jeune arbre près de toi. « O joie , mon frère est un homme I › Et tu le découvriras
rrêta, mit un peu de moelle entre les lèvres du bébé et s'écria : — O joie , mon frère gazouille et sourit ! Elle le vit sour
ortait, lorsqu'elle posa l’enfant sur le bord d’un talus et dit : — O joie , mon frère se tient debout ! Elle s'émerveilla de
Elle mit un peu de moelle sur les lèvres de l’enfant et s’écria : — O joie , mon frère met un pied en avant I Elle le vit fai
nt elle. Près d’un ruisseau, elle déposa l’enfant pour s'écrier : — O joie , mon frère marche ! Et elle le vit marcher le lon
Puis elle mit un peu de moelle sur les lèvres d’Ali et s’écria : — O joie , mon frère est un petit homme, il pourrait être u
ochèrent pour boire dans le creux de leurs mains. Et Reskia dit : — O joie , mon frère est un adolescent I Et elle le vit sou
ia offrit à son frère ce qui lui restait de moelle en s’écriant : — O joie , mon frère est un homme, mon frère est un homme I
vait Le jour de ses noces. Un hibou l’avait épousée Pour la sevrer de joie Tant le matin que la nuit. Je lui dis : ‹ Console
ort à l’aide de ses deux mains : une poche d’eau se forma à sa grande joie , et les petites filles purent remplir des coquill
pérées. Et ce jour-là, il n’y eut dans la grotte que bonne entente et joie . Dès la tombée de la nuit, Aïcha se mettait à l’a
e de fruits au bras. Ce jour-là encore la grotte retentit des cris de joie des sept petites filles. Et tout l’été Aîcha put
u et les orphelines mangèrent et burent, burent et mangèrent avec une joie nouvelle. Et Aicha pensait, en promenant ses rega
e vieillard. Il a eu la mort qui depuis toujours l'attendait I Et une joie surprenante éclaira son regard. H médita un temps
— O ma fille, lui dit-il d’une voix humble, je n’osais croire que la joie de te revoir et de revoir tes sœurs pût m’être do
e ce choix. S’il s’agissait d'une poterie, Comme je la briserais avec joie ! Proverbes Le lion dit à l'ânesse : « Je te prêt
x-tu m'accompagner De montagne en montagne ? Nous irions cueillant la joie La mort est le vrai refuge. Ma mère, le fleuve m'
belle qui se puisse trouver sous le soleil. Le prince nageait dans la joie et le sultan qui l'avait cru malade à mourir, en
s triomphé. Prends notre sœur, elle te revient. — Je la prendrai avec joie , répondit Cheikh Smaïn, mais seulement à mon reto
fils, Dieu m’est témoin que je ne demanderais qu’à vous donner de la joie , car vous avez été généreux avec moi tous les deu
: — Que la volonté de Dieu et celle de mon père s'accomplissent ! Une joie diabolique possédait le sultan devant ce fils inv
aines et des trois merveilleuses femmes qui y régnaient I Délirant de joie , il appela ses serviteurs et leur commanda d’arra
n commun Est un vêtement pestiféré. Les soucis enlaidissent, C’est la joie qui fait fleurir. Chant de méditation J'entendais
ient inondés d’allégresse et d’espoir : — Où allons-nous te mettre, ô joie ! s’écrièrent-ils. Nous ne connaîtrons plus la pe
re vivra, nous ne serons jamais en paix et nous ne connaîtrons pas la joie . H nous faut donc la tuer. Demain, demande-lui de
de Dieu sa part de galette, de couscous ou de lait. C’est pourquoi la joie régnait et la nourriture profitait à chacun. Un s
les amandes, les dattes, et les noix, la fillette soupira : — Quelle joie serait la mienne si mon père, ma mère, mes frères
comme la mort lui dire : — Tu as manqué à ton serment. Tu as cassé ta joie . Tu ne me reverras jamais. Tu as entendu comme mo
qui ont eu faim seront rassasiés, Et ceux qui ont pâti connaîtront ma joie . Ceux qui ont eu froid je les vêtirai, Et ceux qu
s regards malveillants. O mon Dieu prends soin d'elle et comble-la de joie . Ouvre-lui toutes grandes les portes et les voies
l porte. Appel a la joib Aubade rituelle Celui de qui j’ai partagé la joie . Qu'il vienne se réjouir avec moi. Et me rendre l
ai partagé la joie. Qu'il vienne se réjouir avec moi. Et me rendre la joie que je lui ai donnée. Depuis longtemps, depuis tr
/ 1