beau et se déroule comme un long fil I L'on raconte qu’en hiver deux
jeunes hommes
partirent, sous la neige, chasser dans la montagn
nc comme neige et vermeil comme sang. — J'ai perdu mon chemin, dit le
jeune homme
, et je ne sais où aller. Ne pourrais-tu me donner
is posé à l’envers. A peine Loundja venait-elle de mettre à l’abri le
jeune homme
qu’elle entendit venir sa mère. Tseriel, l’ogress
l’âne braire et les poules caqueter. Elle en profita pour délivrer le
jeune homme
et lui dire : — Vite, elle dort. Prends tes jambe
us passer ! Les eaux de la rivière se retirèrent devant Loundja et le
jeune homme
. Et elles se refermèrent, une fois qu’ils eurent
ière fois : — Que Dieu te trahisse comme tu m’as trahie, Loundja I Le
jeune homme
et la jeune fille blanche comme neige et vermeill
Us arrivaient en vue d’une hauteur. — Mon village est là-bas, dit le
jeune homme
en étendant le bras. Nous y serons à la tombée de
aient dans un col, ils aperçurent deux aigles qui se querellaient. Le
jeune homme
les sépara à l'aide d’un bâton. Mais le plus gran
n. Mais le plus grand des aigles se vengea : il prit sous son aile le
jeune homme
et l'éleva dans les airs. Loundja s'écria : — Oh,
a : — Oh, j’ai trahi ma mère, et me voici trahie à mon tour I Mais le
jeune homme
eut le temps de lui crier : — Va devant toi. Tu r
r la tuer et revêtir sa peau. Les ânes la conduisirent à la maison du
jeune homme
. Elle dit au père en arrivant : — Ton fils, un ai
lait essayer de s'envoler, le père lui frappa l'aile d'un roseau : le
Jeune homme
tomba. Il était aussi chétif et faible dans l’her
e fruits. Et il redevint bientôt tel qu’il était auparavant. Alors le
jeune homme
alla trouver son père et lui déclara : — Je veux
en face nos voisins? s’indigna le père. Tu veux notre honte. Mais le
jeune homme
dit encore : — Je l’épouserai ou je mourrai. Il l
es sortes de riches présents et une nouvelle servante fut engagée. Le
jeune homme
attendit la nuit pour dépouiller sa femme de la p
u'elle atteigne le Sahara et nous dise Le métier du bel adolescent. —
Jeune homme
, prends soin de toi : Le soleil d'été est piquant
trou par où le soleil et la lumière entrèrent à profusion. Ebloui, le
jeune homme
s’approcha. Alors il vit ce que jamais encore il
femme Soumi- cha fille de Hitine pour être si fier et me piétiner? Le
jeune homme
s’en revint songeur au palais. Il entra dans la p
a, chercha le poisson et ne le vit pas. C'est alors qu’il remarqua un
jeune homme
beau comme un clair de lune. L'inconnu était de n
des jours, des mois, des années passèrent ainsi. Mehend était un beau
jeune homme
aux yeux limpides, aux cheveux couleur de maïs. S
illit et puis il ajouta : — Le malheur est sur notre ville I Alors le
jeune homme
à la taille imposante et aux yeux de faucon décla
e saurais trouver celle que je cherche. — Ne crains rien, répondit le
jeune homme
aux yeux de faucon. Je suis sous la protection de
émissait sous la lune comme une forme féminine. D’un coup de hache le
jeune homme
le trancha. Et il se mit à le sculpter, 'à lui do
eau qui n’était qu’une méchante fée. Et la femme-arbrisseau pleura le
jeune homme
qu’elle aimait et le bonheur qui l’avait fuie. Ma
yaume. Elle jura de se venger sur la plus belle fille du monde. Et le
jeune homme
aux yeux de faucon reprit de sa voix la plus impé
ains blanches chargées de bagues. Ce fut Mehend qui apparut, suivi du
jeune homme
aux yeux de faucon. Alors, se tournant vers la pr
ébattis vainement. Déjà un couteau se levait sur moi quand survint ce
jeune homme
que tu vois. Il offrit son cheval au pêcheur et m
tourné vers l’Orient. C’est lui ton époux : il est fils de roi. Et le
jeune homme
aux yeux de faucon disparut, laissant en face de
end, lève-toi et suis-moi. » O roi, le poisson avait disparu, mais le
jeune homme
aux yeux de faucon qui devait sauver ta fille éta
. Cette nuit nous le guetterons. — Je veillerai avec vous, déclara le
jeune homme
. — Si tu nous en délivres, reprirent les chevrier
r d’un tigre monstrueux qui, chaque nuit, dévore une de nos bêtes. Le
jeune homme
vint à bout du tigre. Les bouviers lui donnèrent
qui, non seulement la nuit, mais le jour, nous enlève nos juments. Le
jeune homme
se cacha derrière un arbre et guetta le lion. Il
pprocher et le visa au front, entre les yeux. Le lion s’écroula et le
jeune homme
reçut une noble jument. Mais il dit à ceux qui la
troupeau. Si tu en triomphes, nous te donnerons ce que tu voudras. Le
jeune homme
tua le fauve (c’était une panthère), choisit une
s et la queue du dragon et, en un éclair, il ne reste rien de lui. Le
jeune homme
réfléchit et, à nouveau demanda : — Parmi toutes
fontaine se mit à écumer et le dragon montra l'une de ses têtes : le
jeune homme
la coupa : — Celle-là n'est pas ma tête ! dit le
: — Celui-là n’est pas mon coup 1 Le dragon montra une autre tête. Le
jeune homme
la trancha. Le dragon dit encore : — Celle-là n’e
trancha. Le dragon dit encore : — Celle-là n’est pas ma tête I Et le
jeune homme
répondit : — Celui-là n’est pas mon coup I Par si
agon montra enfin la septième tête, de toutes la plus monstrueuse. Le
jeune homme
alors prit son sabre à deux mains et la fit voler
une parole. — Ce que je te demanderai, tu me l’accorderas? insista le
jeune homme
. — Je te l'accorderai, reprit le sultan. Parle I
e l’une apparaissait, le sultan demandait : — Est-ce celle-là ? Et le
jeune homme
répondait : — Non I Elles défilèrent lentement de
ceux qui ont suivi cette direction ne sont pas revenus I Un temps, le
jeune homme
respecta cette recommandation. Il partait dès l’a
ré du dragon. Le lévrier ralentit son allure. Le cheval l’imita et le
jeune homme
vit s’avancer vers lui une foule énorme. — Te voi
lerions Et nous atteindrions le ciel. — Quant à moi, je pars avec tôt
Jeune homme
à la taille tie roseau, Quant à moi, je vais avec
chasse les chiens, Une barrière qui arrête les voleurs. Complainte du
jeune homme
assassiné I Venez, amis, et pleurons Laounis, le
rent l’ermitage entouré de prairies qu’habitait un vieux Sage, ami du
jeune homme
. L’ami souhaita la bienvenue aux visiteurs et leu
ne fille se reposer dans une chambre. Et l’aîné des frères déclara au
jeune homme
: — Nous allons toi et moi nous mesurer et lutter
i-potager : la forêt était là, tout près, et le gibier y abondait. Le
jeune homme
se sentit profondément heureux. Il se rendit aupr
ir, donne-moi la pomme enchantée qui confère l’éternelle jeunesse. le
jeune homme
ne put s’endormir tant il était inquiet. Il se re
en train de moudre du blé, tout en chantant de mornes complaintes. Le
jeune homme
bondit et referma la bouche sur l’un de ses seins
bienheureux qui les goûtent une éternelle jeunesse. L’Ogresse mena le
jeune homme
vers un bel arbre constelle de fruits. Mehend cue
auteurs inaccessibles où les aigles le dévoreront. Une fois encore le
jeune homme
trouva son épouse frison- nant et claquant des de
plus âgé te viendra en aide. Va, et que Dieu te rende la raison I Le
jeune homme
se mit en quête de la génisse la plus grasse. Il
e tous le plus majestueux et le plus près du ciel. Il attendit que le
jeune homme
eût rempli son outre et le ramena au pied de l’ar
ton aveuglement? Crois-moi, quelqu’un l'inspire et la guide ! Mais le
jeune homme
l’interrompit par ces mots : — Je veux une derniè
r, à bêler. Les fauves l'entendirent et s’avancèrent en rugissant. Le
jeune homme
attendit de les voir s’attaquer à leur proie avan
it à rugir plaintivement. Quand elle eut pleuré et appelé en vain, le
jeune homme
se montra, tenant à la main une outre de chevreau
ement du lion pour arracher deux poils à sa noble moustache. Alors le
jeune homme
découvrit le lionceau qu’il tenait caché dans le
u lion. Cependant, au lieu de s’en retourner directement chez lui, le
jeune homme
fit une halte auprès de son ami. Le Sage qui le s
t de fruits et leur prépara deux lits. Ils dormirent profondément. Le
jeune homme
s’éveilla le premier. H alla vers la vieille femm
Us partirent et gagnèrent la forêt. Un trou profond s’y trouvait : le
jeune homme
y conduisit sa sœur et l’y précipita sans un mot.
danse Branche de laurier-rose. Toi qui te nourris d'ombre, Demande au
jeune homme
Si je suis oubliée. Haut palmier-dattier Sois cou
is oubliée. Haut palmier-dattier Sois couvert de fruits I Dis-moi, le
jeune homme
S'est-il embarqué? Mûrier chargé de mûres Que mon
Qu’est-il devenu? Bracelet de corail Au temps des olives, Va dire au
jeune homme
Que je suis délaissée. Proverbes Celui qui a levé
je donnerai ce qu’il demandera. ■C’est alors que se présenta un tout
jeune homme
: — Qu'on m'apporte un kilo de bougies, dit-il. J
’avoir donné un fils à deux vieillards solitaires et des parents à un
jeune homme
odieusement trahi par son propre père. Une vie no
à la foule : — Si vous voulez que ce nègre soit terrassé, donnez à ce
jeune homme
valeureux l’armure et le cheval de Cheik Smaïn, c