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1 (1966) Le grain magique
ntra Settoute qui puisait de l'eau à l’aide d'une cupule de gland. La jeune fille lui dit : — Quand auras-tu fini de remplir ta cru
toi dont les sept frères se sont exilés le jour de ta naissance ? La jeune fille revint à la maison avec son outre vide. La fièvre
sortir bien portante et heureuse. Que t’a-t-on dit de malveillant? La jeune fille alors se confia mais elle exigea de sa mère qu’el
ci quinze ans qu’ils sont partis et que nous ne savons rien d’eux. La jeune fille déclara : — Je vais me mettre à leur recherche et
A quoi bon, nous avons tant cherché. Et je n'ai plus que toi. Mais la jeune fille répondit fermement : — Puisqu’ils ne me connaisse
r l’accompagner. Elle lui donna en outre ‹ le Grain Magique ›, que la jeune fille glissa dans son corsage, et elle lui fit cette su
es noires ou de boire de son eau I Tu serais changée en négresse I La jeune fille promit de faire son profit de tous ces bons conse
e colline en colline, d’étape en étape, la mère appelait sa fille. La jeune fille qui l’entendait grâce au Grain Magique, lui répon
égresse se précipita vers l’eau des femmes blanches et s'y baigna. La jeune fille s’approcha de la fontaine des noires, y but et s’
ique. A mesure qu’elle s’éloignait de l’endroit où il était tombé, 1« jeune fille entendait de moins en moins la voix de sa mère. I
mpagne et lui dit avec arrogance : — Descends de ton cheval I Mais la jeune fille refusa. Dès qu’elle eut atteint un rocher, elle s
ente, excédée, elle dit encore : — Descends de cheval, te dis-je ! La jeune fille appela vainement sa mère. Comme le Grain ne répon
sa mère. Comme le Grain ne répondait plus, la négresse contraignit la jeune fille à descendre. Elle la dépouilla de ses vêtements p
habiller. Puis elle monta à cheval et prit une pose digne. La pauvre jeune fille dut suivre à pied. Les voyageuses atteignirent en
a négresse s’installa en maîtresse dans la maison des sept frères. La jeune fille dut la servir et mener les chameaux au pâturage.
alette grossière de farine d’orge. A peine arrivée sur la hauteur, la jeune fille se mettait à chanter d’une voix plaintive, entour
ent comme elle. Il doit y avoir une raison. Il résolut de précéder la jeune fille un matin, de gagner l’endroit où paissaient les c
aissaient les chameaux et de se cacher non loin de là. H vit alors la jeune fille monter au sommet de l’éminence. H la vit poser sa
e I › Le plus jeune des frères sortit de sa cachette et Interrogea la jeune fille . Il lui dit : — Qui es-tu, créature ? Elle lui ré
être devenue blanche comme lait, ses cheveux seront restés crépus. La jeune fille dont les cheveux sont lisses, c'est elle votre sœ
fit une bouillie qu’elle leur présenta. Alors l’atné ordonna aux deux jeunes filles d'enlever leur foulard. La servante obéit et ses
é éparpillées les cendres de la négresse, un pied de mauve poussa. La jeune fille le coupa et en fit un plat qu’elle présenta à ses
grand appétit. Les sept garçons furent alors changés en ramiers et la jeune fille en colombe. Et tous s’envolèrent en plein ciel. M
r. Tiens-toi au bord de sa fenttre, Toi qui connais ma nostalgie : La jeune fille a des yeux de soie noire / LOU ND JA, FILLE DE
ouvrit une maisonnette, entourée d’une haie d’épines. Il appela ; une jeune fille se montra. Dieu seul avait pu la créer : son tein
ait assise ne se déplaça pas. L’ogresse l’appela de nouveau. Alors la jeune fille dit : — Laisse-le. Demain viendra son tour. Ce so
eurent atteint l’autre rive. Tseriel.se réveilla tandis que fuyait la jeune fille au teint blanc comme neige et vermeil comme sang.
Dieu te trahisse comme tu m’as trahie, Loundja I Le jeune homme et la jeune fille blanche comme neige et vermeille comme sang étaie
u me conduiras où elle t’est apparue, dit le prince. Le lendemain, la jeune fille finit par se montrer à l’entrée de la caverne. La
ster seul pour savoir si l’étrange créature était mortelle ou fée. La jeune fille demeura longtemps sur le seuil et puis elle rentr
menade. Alors, le prince put approcher de la caverne et contempler la jeune fille . Elle se tenait appuyée à un arbre, et elle porta
séparer de lui pour suivre le roi & la cour, le serpent dit à la jeune fille : — Va, ma fille, sois vaillante, va et ne regard
ssus de nous : Qui se sous-estime, elle tombera sur lui ! Ronde de la jeune fille abandonnée le jour de ses noces Ma mère, ô ma mèr
— Je ne sais comment m’y prendre, mon enfant. Je n’y vois goutte. La jeune fille regarda prudemment autour d’elle et ne vit person
nt se saisir d’elle. C’est ainsi que Aïcha fut conduite au sultan. La jeune fille raconta par le commencement son histoire au sulta
con reprit de sa voix la plus impérieuse, en regardant intensément la jeune fille : — Par la grâce de Dieu qui est grande et par la
e Dieu qui est grande et par la mienne, ô méchante fée, sors de cette jeune fille , je te l’ordonne. Je te l’ordonne par la grâce de
rnant vers la princesse médusée, celui qui l’avait sauvée lui dit : — Jeune fille plus belle que lune en plein ciel, je ne puis êtr
ce et puis il répondit : — Après-demain, sortiront de mon palais cent jeunes filles . St tu parviens à reconnaître ma fille parmi elle
oi. Et il fit crier par tout le royaume : — Que quatre-vingt-dix-neuf jeunes filles , après-demain, revêtent leurs habits les plus ric
leues et se rendent à mon palais t Au jour dit, quatre-vingt-dix-neuf jeunes filles , habillées d’or et d’argent, la tête ornée de lon
e soie étoilés d’or, de longs voiles flottants, quatre-vingt-dix-neuf jeunes filles montées sur des juments bleues aussi vives que le
évrier partit le premier et Mehend s’élança. Il prit dans ses bras la jeune fille si belle qu’autour d’elle tout semblait plus lumi
nuits. Le sultan y convia tous ses sujets. Aux quatre-vingt-dix-neuf jeunes filles , il offrit des présents. Lorsque prirent fin les
porte des œufs I La Justice s’est exilée. Chant d’amour — Arrête-toi, jeune fille , écoute ; Aucun mal ne te viendra par moi. Ecoute
ise, La terre les mangera. Chant satirique Celui qui rêve d'une toute jeune fille , A la chair tendre, au teint blanc comme lait, Pr
que le monde et que la vie et aussi cher que le Haut-Ciel mais cette jeune fille , je ne l'accueillerai pas. Choisis une fiancée pa
jeune fille, je ne l'accueillerai pas. Choisis une fiancée parmi les jeunes filles du village et pose la main sur elle. Je ne regard
eur nous le défend, mon fils, et notre nom est grand ! Mehend prit la jeune fille par la main et s’éloigna avec elle sans un mot. I
: — Nous ne sommes qu’un, toi et moi. Car il croyait être aimé de la jeune fille . Il ne savait pas qu’elle l’avait ensorcelé. Ils
t il eut ainsi tout le loisir, lui qui était perspicace, d’étudier la jeune fille . Il l’observa longuement, attentivement, et s’éto
pour lui dire : — Avant qu’il ne soit trop tard, sépare-toi de cette jeune fille . Elle ne peut te rendre heureux car elle ne porte
puisés et pénétrèrent dans une contrée que pas une âme n’habitait. La jeune fille déclara : — Je suis très lasse. 118 C’est alors q
identiques au premier, en retrait dans la pénombre. On mena la belle jeune fille se reposer dans une chambre. Et l’aîné des frères
vais dire. › — Et que vous a demandé de deviner le prince ? reprit la jeune fille . — Il nous a demandé quel est l’être qui, le mati
qui a douze branches et dont chaque branche porte trente feuilles. La jeune fille réfléchit un peu avant de répondre : — C'est faci
nait rien ne répondit pas. Us arrivèrent en vue de la maison. La plus jeune fille du surveillant (celle qui était malingre mais ple
moi qui partagerai le poulet. H donna la tête au père ; les ailes aux jeunes filles ; les cuisses aux deux garçons ; la poitrine à la
t et se disposèrent à veiller. Le fils du roi se tourna alors vers la jeune fille pleine d’esprit et lui déclara : — Pour que tu m’
e, ayant un mur derrière elle et devant elle un autre : le métier. La jeune fille répondit : — Lorsque tu t’es mis en route, tu as
ais me mettre en quête dès demain et te choisir une fiancée parmi les jeunes filles les plus accomplies du village. Le mariage eut li
œur ne put plus être contenue. C’était un matin. La jeune femme et la jeune fille se trouvaient dans les champs ; elles traversaien
r ces œufs de serpent : ils éclorent dans les entrailles de la pauvre jeune fille qui vit au bout de quelques jours son ventre enfl
suis sûr, nous révélera la vérité. A peine jeta-t-il un regard sur la jeune fille , que le Vieux Sage annonça : — Ce sont des serpen
ts. Si elle est bien salée, ils auront donc grand-soif. Lorsque cette jeune fille aura mangé à satiété, sus- pends-la par les pieds
voyant pas d'autre serpent apparaître, il s'arrêta. H délia la pauvre jeune fille et l’étendit sur un lit. Comme il se disposait à
it d’un marché voisin : c’est Dieu qui le lui envoyait. Il délivra la jeune fille . Il l’emmena dans sa demeure. Il la soigna et l'é
cœur brûle, D'un feu inextinguible, Et les eaux sont loin de lui. La jeune fille est une rose A l'aurore éclose, Dans un jardin, p
barbe broussailleuse s’entrouvrit pour dire : — Qui êtes-vous, belles jeunes filles aux joues fraîches et aux yeux transparents qui v
ville et tout le pays connurent la paix et la prospérité d’antan. Les jeunes filles , à l'exception de Aïcha, épousèrent des princes v
figues La mort met (in aux misères. Ma mère, le (leuve m'a emportée. Jeune fille , veux-tu m'accompagner De montagne en montagne ?
la joie La mort est le vrai refuge. Ma mère, le fleuve m'a emportée. Jeune fille , veux-tu m'accompagner De la plaine à la plaine ?
ha de la tente et dit d’une voix forte : — Donnez-moi ma chasse I Une jeune fille se montra, plus belle que lune et que rose. Elle
aussi majestueux et forts que des chênes : c’étaient les frères de la jeune fille plus belle que lune et que rose. Le sultan leur d
partit en hâte vers la forêt. Mais où était la tente qui abritait la jeune fille plus belle que lune et que rose ?... Le prince al
rencontra : — Berger, n’as-tu pas remarqué une caravane emmenant une jeune fille ? lui cria Cheikh Smaïn. — 11 y a deux jours est
te tout éclairée. Sept frères y demeuraient avec leur sœur, une toute jeune fille , et regardaient avec inquiétude approcher les voy
s et leur offrit de la galette de blé, des fruits et du lait. — Cette jeune fille est notre sœur, expliqua l’aîné. Le roi des Incro
ues jours, des étrangers sont arrivés, mon fils, amenant avec eux une jeune fille plus belle que lune et que rose. A peine la vit-i
avec moi tous les deux. Mais comment m’y prendre pour approcher cette jeune fille qu’on dit à demi-folle ? — Lance-lui cette bague,
aide I soupira le sultan. Et il lui indiqua le chemin de la tour. La jeune fille était à sa fenêtre montrant le plus merveilleux v
trapa au vol, le reconnut et accueillit la messagère dans la tour. La jeune fille était si heureuse qu’elle pouvait à peine parler.
ience. — Prépare-toi à partir, cria-t-elle joyeusement au prince : la jeune fille plus belle que lune et que rose va passer en voit
kh Smaïn était déjà debout : — Ne crains rien, dit-il tendrement à la jeune fille . Avec l’aide de Dieu et de mon ami fidèle, nous l
des contrées. Un pays riant s’ouvrit un matin devant eux, celui de la jeune fille aux cheveux couleur de maïs et au visage de lait
elure blonde ? Bergamotier feuillu Qui nous donnes ton ombre Salue la jeune fille A la taille flexible. Et toi, chêne altier Jailli
le flexible. Et toi, chêne altier Jailli de la montagne, Surprends la jeune fille Au milieu de ses jeux. Proverbes Il n’a aucun sen
i. Je plains la gerbe de soie Qui s'épanouit et retombe. Je pleure la jeune fille Que la mort a couchée Dans sa beauté en fleur. Ro
: — Je ne désire rien que je n’aie déjà. Maintenant Yamina était une jeune fille qui connaissait l’ennui dans sa demeure splendide
e noire, n vola, il vola. Un peu avant l’aube, il déposa doucement la jeune fille sur le seuil de la maison familiale. Yamina savai
rs des flots d’encre et atteignit son royaume un peu avant l’aube. La jeune fille se réveilla dans la splendeur de sa chambre toute
a confiance est morte, J’ai dû m’engager dans la Garde Suisse. Car la jeune fille , souple comme un roseau, Aux cils épais comme des
    159 Histoire     de     la puce et du pou      173 Roundja, la jeune fille plus belle que lune et que rose .. 181 Histoire d
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
angea.   MORALITÉ On voit icy que de jeunes enfans, Sur tout de jeunes filles , Belles, bien faites et gentilles, Font tres-mal
uvre femme de village, pour voir jusqu’où iroit l’honnesteté de cette jeune fille ). Je vous donne pour don, poursuivit la fée, qu’à
luy reſſembloient en toutes choſes. Le Mari avoit, de ſon coſté, une jeune fille , mais d’une douceur et d’une bonté ſans exemple :
e Princeſſe ; ils dirent qu’ils n’avoient veu ſortir perſonne, qu’une jeune fille fort mal veſtuë, & qui avoit plus l’air d’une
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