ntra Settoute qui puisait de l'eau à l’aide d'une cupule de gland. La
jeune fille
lui dit : — Quand auras-tu fini de remplir ta cru
toi dont les sept frères se sont exilés le jour de ta naissance ? La
jeune fille
revint à la maison avec son outre vide. La fièvre
sortir bien portante et heureuse. Que t’a-t-on dit de malveillant? La
jeune fille
alors se confia mais elle exigea de sa mère qu’el
ci quinze ans qu’ils sont partis et que nous ne savons rien d’eux. La
jeune fille
déclara : — Je vais me mettre à leur recherche et
A quoi bon, nous avons tant cherché. Et je n'ai plus que toi. Mais la
jeune fille
répondit fermement : — Puisqu’ils ne me connaisse
r l’accompagner. Elle lui donna en outre ‹ le Grain Magique ›, que la
jeune fille
glissa dans son corsage, et elle lui fit cette su
es noires ou de boire de son eau I Tu serais changée en négresse I La
jeune fille
promit de faire son profit de tous ces bons conse
e colline en colline, d’étape en étape, la mère appelait sa fille. La
jeune fille
qui l’entendait grâce au Grain Magique, lui répon
égresse se précipita vers l’eau des femmes blanches et s'y baigna. La
jeune fille
s’approcha de la fontaine des noires, y but et s’
ique. A mesure qu’elle s’éloignait de l’endroit où il était tombé, 1«
jeune fille
entendait de moins en moins la voix de sa mère. I
mpagne et lui dit avec arrogance : — Descends de ton cheval I Mais la
jeune fille
refusa. Dès qu’elle eut atteint un rocher, elle s
ente, excédée, elle dit encore : — Descends de cheval, te dis-je ! La
jeune fille
appela vainement sa mère. Comme le Grain ne répon
sa mère. Comme le Grain ne répondait plus, la négresse contraignit la
jeune fille
à descendre. Elle la dépouilla de ses vêtements p
habiller. Puis elle monta à cheval et prit une pose digne. La pauvre
jeune fille
dut suivre à pied. Les voyageuses atteignirent en
a négresse s’installa en maîtresse dans la maison des sept frères. La
jeune fille
dut la servir et mener les chameaux au pâturage.
alette grossière de farine d’orge. A peine arrivée sur la hauteur, la
jeune fille
se mettait à chanter d’une voix plaintive, entour
ent comme elle. Il doit y avoir une raison. Il résolut de précéder la
jeune fille
un matin, de gagner l’endroit où paissaient les c
aissaient les chameaux et de se cacher non loin de là. H vit alors la
jeune fille
monter au sommet de l’éminence. H la vit poser sa
e I › Le plus jeune des frères sortit de sa cachette et Interrogea la
jeune fille
. Il lui dit : — Qui es-tu, créature ? Elle lui ré
être devenue blanche comme lait, ses cheveux seront restés crépus. La
jeune fille
dont les cheveux sont lisses, c'est elle votre sœ
fit une bouillie qu’elle leur présenta. Alors l’atné ordonna aux deux
jeunes filles
d'enlever leur foulard. La servante obéit et ses
é éparpillées les cendres de la négresse, un pied de mauve poussa. La
jeune fille
le coupa et en fit un plat qu’elle présenta à ses
grand appétit. Les sept garçons furent alors changés en ramiers et la
jeune fille
en colombe. Et tous s’envolèrent en plein ciel. M
r. Tiens-toi au bord de sa fenttre, Toi qui connais ma nostalgie : La
jeune fille
a des yeux de soie noire / LOU ND JA, FILLE DE
ouvrit une maisonnette, entourée d’une haie d’épines. Il appela ; une
jeune fille
se montra. Dieu seul avait pu la créer : son tein
ait assise ne se déplaça pas. L’ogresse l’appela de nouveau. Alors la
jeune fille
dit : — Laisse-le. Demain viendra son tour. Ce so
eurent atteint l’autre rive. Tseriel.se réveilla tandis que fuyait la
jeune fille
au teint blanc comme neige et vermeil comme sang.
Dieu te trahisse comme tu m’as trahie, Loundja I Le jeune homme et la
jeune fille
blanche comme neige et vermeille comme sang étaie
u me conduiras où elle t’est apparue, dit le prince. Le lendemain, la
jeune fille
finit par se montrer à l’entrée de la caverne. La
ster seul pour savoir si l’étrange créature était mortelle ou fée. La
jeune fille
demeura longtemps sur le seuil et puis elle rentr
menade. Alors, le prince put approcher de la caverne et contempler la
jeune fille
. Elle se tenait appuyée à un arbre, et elle porta
séparer de lui pour suivre le roi & la cour, le serpent dit à la
jeune fille
: — Va, ma fille, sois vaillante, va et ne regard
ssus de nous : Qui se sous-estime, elle tombera sur lui ! Ronde de la
jeune fille
abandonnée le jour de ses noces Ma mère, ô ma mèr
— Je ne sais comment m’y prendre, mon enfant. Je n’y vois goutte. La
jeune fille
regarda prudemment autour d’elle et ne vit person
nt se saisir d’elle. C’est ainsi que Aïcha fut conduite au sultan. La
jeune fille
raconta par le commencement son histoire au sulta
con reprit de sa voix la plus impérieuse, en regardant intensément la
jeune fille
: — Par la grâce de Dieu qui est grande et par la
e Dieu qui est grande et par la mienne, ô méchante fée, sors de cette
jeune fille
, je te l’ordonne. Je te l’ordonne par la grâce de
rnant vers la princesse médusée, celui qui l’avait sauvée lui dit : —
Jeune fille
plus belle que lune en plein ciel, je ne puis êtr
ce et puis il répondit : — Après-demain, sortiront de mon palais cent
jeunes filles
. St tu parviens à reconnaître ma fille parmi elle
oi. Et il fit crier par tout le royaume : — Que quatre-vingt-dix-neuf
jeunes filles
, après-demain, revêtent leurs habits les plus ric
leues et se rendent à mon palais t Au jour dit, quatre-vingt-dix-neuf
jeunes filles
, habillées d’or et d’argent, la tête ornée de lon
e soie étoilés d’or, de longs voiles flottants, quatre-vingt-dix-neuf
jeunes filles
montées sur des juments bleues aussi vives que le
évrier partit le premier et Mehend s’élança. Il prit dans ses bras la
jeune fille
si belle qu’autour d’elle tout semblait plus lumi
nuits. Le sultan y convia tous ses sujets. Aux quatre-vingt-dix-neuf
jeunes filles
, il offrit des présents. Lorsque prirent fin les
porte des œufs I La Justice s’est exilée. Chant d’amour — Arrête-toi,
jeune fille
, écoute ; Aucun mal ne te viendra par moi. Ecoute
ise, La terre les mangera. Chant satirique Celui qui rêve d'une toute
jeune fille
, A la chair tendre, au teint blanc comme lait, Pr
que le monde et que la vie et aussi cher que le Haut-Ciel mais cette
jeune fille
, je ne l'accueillerai pas. Choisis une fiancée pa
jeune fille, je ne l'accueillerai pas. Choisis une fiancée parmi les
jeunes filles
du village et pose la main sur elle. Je ne regard
eur nous le défend, mon fils, et notre nom est grand ! Mehend prit la
jeune fille
par la main et s’éloigna avec elle sans un mot. I
: — Nous ne sommes qu’un, toi et moi. Car il croyait être aimé de la
jeune fille
. Il ne savait pas qu’elle l’avait ensorcelé. Ils
t il eut ainsi tout le loisir, lui qui était perspicace, d’étudier la
jeune fille
. Il l’observa longuement, attentivement, et s’éto
pour lui dire : — Avant qu’il ne soit trop tard, sépare-toi de cette
jeune fille
. Elle ne peut te rendre heureux car elle ne porte
puisés et pénétrèrent dans une contrée que pas une âme n’habitait. La
jeune fille
déclara : — Je suis très lasse. 118 C’est alors q
identiques au premier, en retrait dans la pénombre. On mena la belle
jeune fille
se reposer dans une chambre. Et l’aîné des frères
vais dire. › — Et que vous a demandé de deviner le prince ? reprit la
jeune fille
. — Il nous a demandé quel est l’être qui, le mati
qui a douze branches et dont chaque branche porte trente feuilles. La
jeune fille
réfléchit un peu avant de répondre : — C'est faci
nait rien ne répondit pas. Us arrivèrent en vue de la maison. La plus
jeune fille
du surveillant (celle qui était malingre mais ple
moi qui partagerai le poulet. H donna la tête au père ; les ailes aux
jeunes filles
; les cuisses aux deux garçons ; la poitrine à la
t et se disposèrent à veiller. Le fils du roi se tourna alors vers la
jeune fille
pleine d’esprit et lui déclara : — Pour que tu m’
e, ayant un mur derrière elle et devant elle un autre : le métier. La
jeune fille
répondit : — Lorsque tu t’es mis en route, tu as
ais me mettre en quête dès demain et te choisir une fiancée parmi les
jeunes filles
les plus accomplies du village. Le mariage eut li
œur ne put plus être contenue. C’était un matin. La jeune femme et la
jeune fille
se trouvaient dans les champs ; elles traversaien
r ces œufs de serpent : ils éclorent dans les entrailles de la pauvre
jeune fille
qui vit au bout de quelques jours son ventre enfl
suis sûr, nous révélera la vérité. A peine jeta-t-il un regard sur la
jeune fille
, que le Vieux Sage annonça : — Ce sont des serpen
ts. Si elle est bien salée, ils auront donc grand-soif. Lorsque cette
jeune fille
aura mangé à satiété, sus- pends-la par les pieds
voyant pas d'autre serpent apparaître, il s'arrêta. H délia la pauvre
jeune fille
et l’étendit sur un lit. Comme il se disposait à
it d’un marché voisin : c’est Dieu qui le lui envoyait. Il délivra la
jeune fille
. Il l’emmena dans sa demeure. Il la soigna et l'é
cœur brûle, D'un feu inextinguible, Et les eaux sont loin de lui. La
jeune fille
est une rose A l'aurore éclose, Dans un jardin, p
barbe broussailleuse s’entrouvrit pour dire : — Qui êtes-vous, belles
jeunes filles
aux joues fraîches et aux yeux transparents qui v
ville et tout le pays connurent la paix et la prospérité d’antan. Les
jeunes filles
, à l'exception de Aïcha, épousèrent des princes v
figues La mort met (in aux misères. Ma mère, le (leuve m'a emportée.
Jeune fille
, veux-tu m'accompagner De montagne en montagne ?
la joie La mort est le vrai refuge. Ma mère, le fleuve m'a emportée.
Jeune fille
, veux-tu m'accompagner De la plaine à la plaine ?
ha de la tente et dit d’une voix forte : — Donnez-moi ma chasse I Une
jeune fille
se montra, plus belle que lune et que rose. Elle
aussi majestueux et forts que des chênes : c’étaient les frères de la
jeune fille
plus belle que lune et que rose. Le sultan leur d
partit en hâte vers la forêt. Mais où était la tente qui abritait la
jeune fille
plus belle que lune et que rose ?... Le prince al
rencontra : — Berger, n’as-tu pas remarqué une caravane emmenant une
jeune fille
? lui cria Cheikh Smaïn. — 11 y a deux jours est
te tout éclairée. Sept frères y demeuraient avec leur sœur, une toute
jeune fille
, et regardaient avec inquiétude approcher les voy
s et leur offrit de la galette de blé, des fruits et du lait. — Cette
jeune fille
est notre sœur, expliqua l’aîné. Le roi des Incro
ues jours, des étrangers sont arrivés, mon fils, amenant avec eux une
jeune fille
plus belle que lune et que rose. A peine la vit-i
avec moi tous les deux. Mais comment m’y prendre pour approcher cette
jeune fille
qu’on dit à demi-folle ? — Lance-lui cette bague,
aide I soupira le sultan. Et il lui indiqua le chemin de la tour. La
jeune fille
était à sa fenêtre montrant le plus merveilleux v
trapa au vol, le reconnut et accueillit la messagère dans la tour. La
jeune fille
était si heureuse qu’elle pouvait à peine parler.
ience. — Prépare-toi à partir, cria-t-elle joyeusement au prince : la
jeune fille
plus belle que lune et que rose va passer en voit
kh Smaïn était déjà debout : — Ne crains rien, dit-il tendrement à la
jeune fille
. Avec l’aide de Dieu et de mon ami fidèle, nous l
des contrées. Un pays riant s’ouvrit un matin devant eux, celui de la
jeune fille
aux cheveux couleur de maïs et au visage de lait
elure blonde ? Bergamotier feuillu Qui nous donnes ton ombre Salue la
jeune fille
A la taille flexible. Et toi, chêne altier Jailli
le flexible. Et toi, chêne altier Jailli de la montagne, Surprends la
jeune fille
Au milieu de ses jeux. Proverbes Il n’a aucun sen
i. Je plains la gerbe de soie Qui s'épanouit et retombe. Je pleure la
jeune fille
Que la mort a couchée Dans sa beauté en fleur. Ro
: — Je ne désire rien que je n’aie déjà. Maintenant Yamina était une
jeune fille
qui connaissait l’ennui dans sa demeure splendide
e noire, n vola, il vola. Un peu avant l’aube, il déposa doucement la
jeune fille
sur le seuil de la maison familiale. Yamina savai
rs des flots d’encre et atteignit son royaume un peu avant l’aube. La
jeune fille
se réveilla dans la splendeur de sa chambre toute
a confiance est morte, J’ai dû m’engager dans la Garde Suisse. Car la
jeune fille
, souple comme un roseau, Aux cils épais comme des
159 Histoire de la puce et du pou 173 Roundja, la
jeune fille
plus belle que lune et que rose .. 181 Histoire d