s six chameaux devinrent-ils maigres comme des dous. Un jour, le plus
jeune
des frères se dit à lui-même : — Que se passe-t-i
gardeuse de chameaux, Pleurez, chameaux, comme je pleure I › Le plus
jeune
des frères sortit de sa cachette et Interrogea la
e suis devenue noire. Mais c’est moi qui suis votre sœur. › ♦ Le plus
jeune
des sept garçons se rendit auprès de ses frères e
I Lorsque vous serez sortis, j'enduirai mes cheveux de henné. Le'plus
jeune
des frères lui arracha son foulard. Et une chevel
u, fils d’étourneau, Prends ton essor dis la prière de l’aube Vers la
jeune
tille aux franges noires. Pose-toi sur le mur d’e
meille comme sang I Tous accoururent pour constater le miracle. Or le
jeune
man avait un frère cadet qui demanda : — Comment
ivant tes pieds Non en suivant tes yeux. Qui a chanté tes louanges, ô
jeune
épousée ? — C’est ma mère, en présence de ma tant
e comme un long fll I L’on raconte qu’aux temps anciens, il était une
jeune
femme belle, aussi belle que la lune. Et cette fe
les, mais la fille que tu portes en toi nous passera en beauté. Et la
jeune
femme se lamentait et maudissait l’enfant qui éta
belle tu l’es. Mais la beauté de ta fille éclipsera la tienne. Et la
jeune
femme, en entendant ces mots, sentait le poignard
jigha pour elle-même et non pour les enfants qu’elle me donnerait. La
jeune
princesse eut successivement sept garçons, sept g
un ruisseau, je l’ai conté à des Seigneurs. Veux-tu que nous partions
Jeune
tille, ô perdrix, Veux-tu que nous allions Change
ui ne savait pas prendre soin d’eux et Aïcha, la fillette, était trop
jeune
pour préparer les repas et tenir la maison. Le pè
di ; elle était maintenant au sortir de l’adolescence. Elle dit à son
jeune
frère • — Puisqu’on nous a brûlé la tombe de notr
Aïcha. Profitant de ce que le sultan était en voyage, elle attira la
jeune
sultane près du vieux puits, la fit asseoir sur l
Très surpris, le sultan avança vers le puits et regarda : il vit une
jeune
femme élevant dans ses bras un enfant, un enfant
t cette gazelle, qui est-elle ? — Cette gazelle? C'est le frère de ma
jeune
femme, répondit le sultan. Je ne sais ce qu'il a
ent, auraient la tête coupée et offerte aux corbeaux. Bien des hommes
jeunes
et vieux accoururent de tous pays, les uns poussé
la taille imposante et aux yeux de faucon déclara : — Je guérirai la
jeune
princesse. — O mon frère, s’écria Mehend devenu p
nuit les y surprit. Ils durent se réfugier dans une caverne. Le plus
jeune
reçut pour mission d’allumer le grand feu qui tie
e lui répondit dans un murmure : «Je suis celle qui t'aime. › Le plus
jeune
et l'aîné entendirent ces mots. Ils se dressèrent
e étais-je conscient de ce nue je faisais. Agrippé à la crinière d’un
jeune
poulain, je me revois m’élançant vers le marché.
ambre de Mehend, à la place de la brèche et planter dans une jarre un
jeune
grenadier qu’elle plaça en pleine lumière, devant
it gravement ses longs cheveux de soie. L’espoir l’avait gardée aussi
jeune
que belle. Et Mehend, ébloui, l’aperçut de très l
r sombre de l’aîné?... Car c’est ce jour-là que Abderahman poussa «on
jeune
frère du haut d’un rocher. La tête charmante vint
vaient emportés au loin. Seul restait encore l’os de l’avant-bras. Un
jeune
berger remarqua cet os blanc comme craie et net d
s se reposèrent là quelques jours. Puis, un matin, se souvenant de la
jeune
princesse et du sultan son père, ils montèrent le
an essaya vainement de les retenir. A l’heure où la chaleur tombe, la
jeune
princesse, montée sur une jument bleue aussi vive
ance Sur la terre comme sur les eaux. Quant à moi, je pars avec toi O
jeune
oiseau, fils de ramier. Parmi les chemins qui t'a
(un homme et une femme) et que ces vieux avaient deux garçons encore
jeunes
, l’un poli, subtil, et l’autre toute candeur : c’
t laide en profondeur. › Et il se promit d’en avertir au plus tôt son
jeune
ami. Il profita d’un matin où il se trouvait seul
l’un des Sept Ogres était encore vivant I II portait une blessure. La
jeune
femme le soigna, le nourrit. La jeune femme lui t
t I II portait une blessure. La jeune femme le soigna, le nourrit. La
jeune
femme lui tint compagnie et ne referma sur lui la
femme referma la trappe sur l’Ogre et courut se jeter sur son lit. Le
jeune
époux s’approcha d'elle très doucement et lui rem
s exigeant, une fois sa blessure guérie. Aussi, un matin, dit-il à la
jeune
femme : — J’en ai assez d’être toujours sur le qu
re la paix et le bonheur définitivement revenus. Mais un matin que le
jeune
mari était retourné à la chasse, l’Ogre dit à sa
à l’aide de deux poils dérobés à la moustache du lion. » L’Ogre et la
jeune
femme se sentirent heureux et insouciants tout le
elle répandait de la lumière et boire une terrine de lait. Et puis la
jeune
femme prépara le repas du soir. L’Ogre avala préc
outes les nuits dans cette fosse humide et noire comme une tombe ! La
jeune
femme attendit que l’Ogre eût disparu pour se dés
par le trou de la serrure. Alors ils virent ! Ils virent l’Ogre et la
jeune
femme assis face à face, de part et d’autre d’un
t de cuisses de poulets. Autour d’eux, plusieurs lampes brûlaient. La
jeune
femme au cœur noir s’était parée pour cette fête
ivrés, ô chance, le lion nous a délivrés de Mehend !› Et l’Ogre et la
jeune
femme de rire et folâtrer parmi les lampes allumé
fit voler en éclats. Alors, se tenant sur le seuil, Mehend regarda la
jeune
femme et lui dit d’une voix terrible : — Pour toi
as trahi, car tu ne mérites pas de mourir de ma main. Et, laissant la
jeune
femme avec l’outre de lait et le cadavre de l’Ogr
ès pauvre et avait deux filles : l’une fort belle et l’autre, la plus
jeune
, chétive mais pleine d’esprit. Le soir, lorsque s
. Et quand le roi vint à mourir, son fils lui succéda. Un jour que le
jeune
roi rendait la justice, deux femmes se présentère
vue le coffre qui suivait. Une fois dans la maison de ses parents, la
jeune
reine ouvrit le coffre. Elle prit doucement son é
toi. « O joie, mon frère est un adolescent t › Et tu le verras tel un
jeune
arbre près de toi. « O joie, mon frère est un hom
frère est un adolescent I Et elle le vit soudain devant elle comme un
jeune
arbre. Elle lui donna encore un peu de moelle et
es les plus accomplies du village. Le mariage eut lieu. Et Zahoua, la
jeune
épouse, détesta sa belle-sœur et devint jalouse d
cumulée dans son cœur ne put plus être contenue. C’était un matin. La
jeune
femme et la jeune fille se trouvaient dans les ch
ce pas grâce à elle que je suis un homme ? — Très bien, poursuivit la
jeune
femme. Puisque tu ne veux pas me croire, demain d
ut pour son frère un bonheur encore plus parfait. Elle le maria et la
jeune
épouse divisa ceux qui étaient aussi unis que les
les entrailles de la malheureuse qui ne se doutait de rien. Alors, la
jeune
épouse dit au frère : ‹ As-tu observé ta sœur? El
ravin Pour me tuer si tu veux dans cet autre. Chant de méditation La
jeune
femme pleurait En racontant sa peine, La jeune fe
Chant de méditation La jeune femme pleurait En racontant sa peine, La
jeune
femme revivait Le jour de ses noces. Un hibou l’a
rdrix : elles se suivaient de près. L'ainée avait quinze ans. La plus
jeune
, Aîcha, en avait sept à peine. Aicha aimait à se
e et rapportaient même de la forêt des charges de bois mort. Les plus
jeunes
trottinaient par la maison et se rendaient utiles
e, immobile durant des heures. La marâtre et le père, la ;ugeant trop
jeune
pour comprendre, ne se gênaient pas devant elle e
beille de beignets que les fillettes devaient porter en offrande à la
jeune
épousée. La marâtre donna par surcroît des panier
ne devient pas Farine. L’ennemi ne devient pas un ami. Chant d'amour
Jeune
tille, veux-tu m’accompagner Le long de la rivièr
t est là. Ma mère, le fleuve m'a emportée. Veux-tu que nous partions,
jeune
tille ? Montons dans une barque, Glissons comme d
erbe Personne ne monte la garde dans la bouche d’autrui ! ROUNDJA, LA
JEUNE
FILLE PLUS BELLE QUE LUNE ET QUE ROSE Que mon con
ndit le sultan. Et il ordonna à deux serviteurs fidèles d’escorter le
jeune
chasseur. A peine arrivé à la croisée des chemins
qui est cette femme. Cheikh Smain alors se dressa et dit, excédé, au
jeune
savant : — Tais-toi. Ne me fatigue pas davantage
ant devait arriver jusqu’aux oreilles du prince un beau soir que deux
jeunes
garçons jouaient des oranges devant sa porte. Le
Smaïn ! Or, Cheikh Smaïn était à sa fenêtre. Il se penche et crie au
jeune
garçon : — Et quel est ce bon tour que Ton m’a jo
e sultan. Elle lui dit : — J’ai rêvé cette nuit que j’avais décidé ta
jeune
femme à t’accepter pour époux. Laisse-moi essayer
sur son cheval noir, entrant avec elles dans sa ville natale, la plus
jeune
au visage de lait lui dit : — Je puis, si tu le d
que je sois la première à le saluer et à le presser sur mon cœur ! La
jeune
femme la prit par la main et la conduisit auprès
e. Il a ramené Roundja plus belle que lune et que rose et deux autres
jeunes
femmes aussi éblouissantes qu’elle par surcroît.
Dieu et celle de mon père s’accomplissent I — Du moins, poursuivit la
jeune
femme, prends cette bague que tu laisseras tomber
harmante ! Comme Cheikh Smain se disposait à partir, le lendemain, sa
jeune
femme au visage de lait et aux cheveux couleur de
ager. Alors seulement le prince se souvint de ce que lui avait dit sa
jeune
femme à la noble coiffure pour le mettre en garde
endait méconnaissable, le nègre, à travers un judas, annonça aux deux
jeunes
femmes, ses compagnes, qui tremblaient de peur à
ître ! dit à nouveau le nègre, mais avec plus de conviction, aux deux
jeunes
femmes qui observaient par le judas. Alors, Round
rre, il ne nous restera plus qu’à mourir. Le nègre lança la pomme. Le
jeune
guerrier l’attrapa, la res* pira longuement et la
Chant de danse Rameau d’olivier Tout alourdi de fruits, Comment va la
jeune
tille A la chevelure blonde ? Bergamotier feuillu
ses et dans les cœurs, me dit : « Ma fille, ignores-tu (mais tu es si
jeune
I) que l'amour d'une mère est d'autant plus fort
rès anciens, il était un homme qui vivait entre sa vieille mère et sa
jeune
femme. Comme dans l’Arche de Noé, belle-mère et b
ui ne craint pas de sortir par ce temps ? — Moi I dit Yamina, la plus
jeune
des filles. Elle jeta sur ses épaules une vieille
grand, est-il blanc comme neige ou noir comme corbeau ? Parle. Est-il
jeune
, est-il vieux et fait-il de ton bras un oreiller?
suffit pour que les marchés se concluent Chant d'exil Je t’en prie, ô
jeune
Taleb, Ecris pour moi une longue lettre Au bien-a
que Paul Éluard nommait la "poésie ininterrompue". » Georges Heinein,
Jeune
Afrique. « Il faut savoir gré à M.-Taos Amrouche