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1 (1966) Le grain magique
rts en a peur. Sois la bienvenue, fine beauté Qui te nourris dans les jardins I Tu as picoré du millet Et puis de la fleur de b
apaud prit la sacoche et la corbeille de joncs pour se rendre dans un jardin potager qui se trouvait tout près de la rivière :
ns, et elle allait glaner aux champs. L’été, ceux qui possédaient des jardins de montagne, l’envoyaient leur cueillir des légum
azelle vécurent heureux quelque temps. Le sultan possédait un immense jardin ; la gazelle pouvait s’y promener, aller et venir
elle pouvait s’y promener, aller et venir à sa guise. Au milieu de ce jardin , il y avait un puits. Et ce puits, on n’y puisait
. Depuis, la gazelle bramait par toute la maison, bramait par tout le jardin . La femme jalouse avait beau l’attacher, la gazel
in, le sultan se leva au point du jour et alla rejoindre le Cheikh au jardin . Ils virent la gazelle pencher sa petite tête au-
s et jusqu'au roitelet (qui avaient depuis fort longtemps déserté les jardins ) volèrent à tire d’aile vers la chambre de Soumic
ida vers la rivière. Il la franchit et c’est alors que lui apparut un jardin I En vérité le plus prodigieux qui se puisse voir
ogresse, l’épiait mais il ne la voyait pas. Lorsqu’il fut au coeur du jardin , elle se montra et lui dit : — Bienvenu sois-tu,
frère l’approche de la forêt ? — Parce que c’est là que se trouve le jardin de Tseriel, répondit le Vieux Sage. Si Mehend s’y
la rivière que Tseriel lui apparaissait immense, dans son merveilleux jardin : — Bienvenu sois-tu, sois le bienvenu Ahmed mon
’amandes et de noix. Il s’en réjouit et courut retrouver son frère au jardin . Il le souleva, le prit dans ses bras et le porta
er le cheval d’éclairs et de ver t et le lévrier qui l’attendaient au jardin . La nuit trouva les deux frères, assis côte à côt
’éclairs et de vent. Précédés de leurs lévriers, ils abandonnèrent le jardin de l’ogresse, franchirent la rivière, et s’engagè
n jeune ami. Il profita d’un matin où il se trouvait seul avec lui au jardin pour lui dire : — Avant qu’il ne soit trop tard,
la maison et la trouva regorgeant de richesses. Il se promena dans le jardin mi-verger, mi-potager : la forêt était là, tout p
ndit Mehend, indique-moi où me procurer la pomme enchantée. — Dans le jardin de Tseriel, consentit à dire le Vieux Sage. Mais,
raison ! Mehend s’éloigna. Il marcha longtemps avant de découvrir le jardin de Tseriel. C’était l’heure chaude ; l'Ogresse, n
aman-grand'mère, répondit Mehend, on m’a appris que tu avais dans ton jardin des pommes enchantées, des pommes qui donnent aux
de se débarrasser bientôt de Mehend. Ils flânèrent longuement dans le jardin , au soleil, et ne rentrèrent qu’à l’heure du goût
mi attachèrent à un arbre leurs chevaux et traversèrent sans bruit le jardin . La lumière filtrait à travers les fissures de la
es dit : ‹ Mes frères frappent l’eau avec l’eau ›, ils arrosaient des jardins . Et quant à ta sœur, ‹ entre un mur et un autre ›
iers et de figuiers, des bois, des vignobles, plusieurs maisons et un jardin , un jardin de montagne où poussaient toutes les f
figuiers, des bois, des vignobles, plusieurs maisons et un jardin, un jardin de montagne où poussaient toutes les fleurs et où
et où chantaient, sur des arbres fruitiers, tous les oiseaux. Dans ce jardin , Reskia se promenait de longues heures. Lui, son
t loin de lui. La jeune fille est une rose A l'aurore éclose, Dans un jardin , près de l’étang. Je prie les dieux de la rendre
, ramassaient l’herbe, cueillaient des légumes et des fruits dans les jardins de montagne, remplissaient à la source lointaine
ougie, et raconte l’histoire des frères qui vivaient ensemble dans ce jardin de montagne où se trouvaient les raisins roses le
puis, moi, dit Roundja, créer autour de ce palais le plus merveilleux jardin avec les fleurs, les fruits et les oiseaux du par
dit enfin la troisième à la noble coiffure, faire jaillir par tout le jardin d’abondantes et claires fontaines qui ne tariront
santes qu’elle par surcroît. Et ce palais qui fait pâlir le tien, ces jardins enchanteurs et ces fontaines sont à lui ! •Le sul
e ? Le prince qui se reposait près d’une fontaine, dans son admirable jardin , répondit simplement : — Je ne crains ni le plomb
e ennemi? Enfin le sultan allait pouvoir jouir du palais magique, des jardins aux multiples fontaines et des trois merveilleuse
euses mais désertes : la dernière ouvrait sur le plus inoubliable des jardins . Yamina était bien au cœur du paradis terrestre.
ina rentra dans son palais les bras chargés de fleurs, abandonnant le jardin au crépuscule. Et des jours, des semaines et des
qui connaissait l’ennui dans sa demeure splendide et jusque dans son jardin . Les journées lui semblaient longues. Elle n’avai
mblait plus. Elle pensa : «Peut-être serais-je plus heureuse dans mon jardin ?» Mais là encore elle ne se sentit pas mieux car
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
’y feray aller ? Elle la mena dans ſa chambre, et luy dit, va dans le jardin & apporte moy une citroüille : Cendrillon all
s mouſtaches qu’on ait jamais veuës. Enſuite elle luy dit, va dans le jardin , tu y trouveras ſix lezards derriere l’arroſoir,
iller promptement et de le suivre. Ils descendirent doucement dans le Jardin , et sauterent par-dessus les murailles. Ils couru
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