s revenue. Proverbes Il a volé, j’étais témoin Il a juré (qu’il était
innocent
) et je l’ai cru I SI l’homme de bien est inquiet,
lles, Si le ventre est plein, le souvenir en meurt. LE SUBTIL ET L’
INNOCENT
Que mon conte soit beau et se déroule comme un
core jeunes, l’un poli, subtil, et l’autre toute candeur : c’était un
innocent
. Or ces pauvres vieux ne pouvaient plus travaille
regard sur tout et revenez avant la nuit et le froid. Le Subtil et l’
Innocent
jouaient tout le jour à qui mieux mieux et clairo
nouveau les deux vieux. Vous irez demain les cueillir. Le Subtil et l’
Innocent
partirent dès l’aube avec leur âne, emportant un
e avec leur âne, emportant un tamis et deux grands couffins. Alors, l’
Innocent
demanda au Subtil : — Qu’allons-nous faire? Tu sa
art et d’autre d’une branche. De temps en temps, le Subtil disait à l’
Innocent
: — Va voir un peu si l’âne ne s’est pas sauvé. E
ait à l’Innocent : — Va voir un peu si l’âne ne s’est pas sauvé. Et l’
Innocent
répondait : — Il est toujours à la même place. Je
anger? du couscous de blé ou du couscous de cendre ? — Moi, déclara l’
Innocent
, je veux du couscous de blé. L’Ogresse lui répliq
t : — Lève-toi, lève-toi, dépêchons-nous tandis qu’elle dort I Mais l’
Innocent
bougonna dans son sommeil : — Laisse-moi dormir I
emer dehors. — N'oublie pas la porte ! recommanda-t-il à son frère. L’
Innocent
arracha la porte et la chargea sur son dos. Us tr
btil se fraya un passage et dit à son frère : — Remets les épines I L’
Innocent
déposa la porte pour prendre sur son dos un buiss
. Mais il ne cessait de répéter à son frère : — Cours, cours I Mais l'
Innocent
ne pouvait courir aussi vite : il soufflait. Il h
btil la contourna et cria à son frère : — Veille à la pierre ! Mais l’
Innocent
abandonna le buisson pour la pierre. Le Subtil co
a un olivier : — Veille à l’olivier ! cria-t-il encore à son frère. L’
Innocent
qui avançait avec peine en soufflant, se sépara d
in de leur village. Des gens étaient à leur recherche. Le Subtil et l’
Innocent
aperçurent de loin leur vieux père appuyé sur un
contèrent toute leur aventure : — Nous avons échappé à Tseriel, dit l’
Innocent
. Nous étions dans son champ en train d’écosser de
e en peau de chèvre et coucha sur une natte pour retrouver le sommeil
innocent
de ses premières années. Mais voici que quelques
79 Les chevaux d’éclairs et de vent 85 'Le subtil et l’
innocent
99 Ma mère m’a égorgé, mon père m’a mangé,