ô Torkia, Petit monceau de fleurs. Tu passeras parmi les foules, Les
hommes
, pour toi, perdront l'esprit. Que de beautés vous
eautés vous enfantez, ô femmes, Pour les remettre entre les mains des
hommes
! LÉ GRAIN MAGIQUE Que mon conte soit beau
e dit : — Je sens une odeur qui n’est pas nôtre. Je sens l’odeur de l’
homme
! Loundja répondit : — Un mendiant est passé, ce
n ruisseau, je l’ai conté & des Seigneurs. Chant des pèlerins Les
hommes
se disputent la terre, — Hommes, la terre, à qui
des Seigneurs. Chant des pèlerins Les hommes se disputent la terre, —
Hommes
, la terre, à qui est-elle ? (Il n’est pas d'autre
s et l’automne approchait. Un matin, la Grenouille dit au Crapaud : —
Homme
I les figues sont mûres et, comme on dit : ‹ Qui
Lorsque le soleil se mit à baisser, la Grenouille dit au Crapaud : —
Homme
! lève-toi. Il faut partir. Rapporte-nous des lég
tait pas un véritable serpent. D’abord, il avait commencé par être un
homme
heureux : il possédait une maison, une femme, de
serpent comme moi et tu le resteras tant que je vivrai, afin que les
hommes
te foulent aux pieds I C’est ainsi qu’il fut chan
celui d’un serpent, son coeur et son esprit étaient restés ceux d’un
homme
. Il n’avait fui ses semblables que dans la craint
e comme un long fil ! Autrefois, dans un certain village, il était un
homme
qui avait une femme et deux enfants. L’aînée étai
a : — La vache qui a frappé ma fille ne saurait vivre dans ma maison.
Homme
, tu la vendras. Tu la vendras ! Il lui répondit :
se mit à crier : — Qui veut acheter la vache des orphelins ? A chaque
homme
qui s’approchait pour demander : ‹ Quelle est cet
l’arbre tandis que Aîcha s’élevait jusqu'aux plus hautes palmes. Les
hommes
qui la poursuivaient lui dirent de descendre, ell
alouse finit par dire à un serviteur : — Egorge-moi cette gazelle ! L’
homme
prit un grand couteau et s'approcha de la gazelle
pergea en disant : ‹ Si tu es née gazelle, reste gazelle Si tu es née
homme
, redeviens-le Par la force de Dieu et des amis de
n pêcheur qui venait de retirer de l'eau un poisson aussi grand qu’un
homme
. Ce poisson vivait encore et se débattait farouch
vivions heureux et calmes car notre seigneur était le plus comblé des
hommes
. Il avait une fille aussi belle que lune en plein
houeraient, auraient la tête coupée et offerte aux corbeaux. Bien des
hommes
jeunes et vieux accoururent de tous pays, les uns
rdins) volèrent à tire d’aile vers la chambre de Soumicha. Alors, les
hommes
surent que le temps de la confiance était revenu
e mouvante et toutes les richesses étalées en plein soleil, parmi les
hommes
et les bêtes : les fruits, les légumes, les céréa
e ce que tu possédais de plus précieux : ta fille. Il a fait de moi l’
homme
que tu vois. Il m'a conduit jusqu’à ton palais, l
ifie dans longtemps. La vie sépare, La mort sépare, Qu'il est avisé l'
homme
de bien ! Frappe ta tête au mur ! Chant de médita
s, lui prodiguait peu de caresses, estimant qu’il était déjà un petit
homme
. Car elle voulait le préparer à la vie rude qui l
parents n'était plus aussi vive. Le garçon taciturne était devenu un
homme
qui refusait farouchement de prendre femme et fuy
pt têtes et une queue redoutable ; il se tient près de la fontaine. L’
homme
ou l’animal qui se hasarde jusque-là est perdu :
ment de toutes parts pour l’épouser I Le sultan ne la donnera qu’à un
homme
valeureux, capable de prouesses. — Demain, au poi
La nouvelle de leur arrivée se répandit vite d'une rue à l’autre. Des
hommes
et des enfants les acclamèrent et les accompagnèr
j’étais témoin Il a juré (qu’il était innocent) et je l’ai cru I SI l’
homme
de bien est inquiet, Que sera-ce de l’homme de ma
nt) et je l’ai cru I SI l’homme de bien est inquiet, Que sera-ce de l’
homme
de mal ? Comme qui avancerait dans le brouillard
ps anciens l’on raconte que, dans un village, il était deux vieux (un
homme
et une femme) et que ces vieux avaient deux garço
s Seigneurs. Proverbes Au pays des aveugles Le chassieux est appelé l’
homme
aux yeux clairs. Toi pioche, et moi je halèterai.
nte qu’autrefois où la viande était rare, si rare qu’on en rêvait, un
homme
dit un jour à sa femme : — Demain nous aurons des
nte. Tous mangèrent de grand appétit, à l’exception de la fillette. L’
homme
s’étonna bien de ne pas voir le petit garçon qu’i
nuyaient de lui. Us sont venus le chercher avec leur âne, ce matin. L’
homme
se remit à manger de plus belle. Quand il ne rest
il ne resta plus un seul morceau de viande ni un grain de couscous, l’
homme
, satisfait, offrit des fruits et du café à ses hô
lus répondre : ‹ H est chez mes parents, il rentrera bientôt. › Car l’
homme
devenait soupçonneux. Elle dut finir par dire, le
e heure que je me suis inquiété pour la première fois du petit, dit l’
homme
d’une voix sombre. C'est alors que l'oiseau se po
le toit. La mère fut pardonnée. La fillette cessa de trembler. Mais l’
homme
perdit à jamais le goût de vivre. PROVERBE Qui sa
e sur la place publique. Alors, chaque famille offrit un fagot et des
hommes
accoururent de tous côtés pour porter ces fagots
omme un long fil 1 Autrefois, dans une lointaine contrée, il était un
homme
et une femme qui avaient un enfant. Ils étaient d
ine vers la maison qu’une haie d’épines défendait. Mehend appela : un
homme
très grand se montra sur le seuil. Il fit entrer
C’est alors que Mehend et celle qu’il aimait découvrirent six autres
hommes
identiques au premier, en retrait dans la pénombr
est mis à pleurer ! Laissez-nous l’enfanter et vous l’étranglerez ! L’
homme
qui joue du tambour, lorsqu’il veut péter Frappe
épondit le roi. ■Le prince s’en vint donc au marché et dit à tous les
hommes
: — Vous ne vendrez ni n’achèterez, vous n’achète
haque branche porte trente feuilles ? Aucun ne sut répondre. Tous les
hommes
restèrent muets. Le marché se dissout. Une semain
Et qui devait vendre ne vendit pas. Le marché se défit. Or, parmi ces
hommes
rassemblés se trouvait le surveillant du marché.
rche sur quatre pattes, à midi sur deux et le soir sur trois, c’est l’
homme
. Au matin de sa vie, il rampe sur les pieds et le
marche sur quatre pattes, à midi sur deux, le soir sur trois, c’est l’
homme
. Au matin de sa vie, il rampe sur les mains et le
t belle en effet, elle est vertueuse, mais elle est fille d’un pauvre
homme
. Et puis tu as partagé le poulet. A mon père tu a
oya chercher le menuisier et lui commanda un coffre de la taille d’un
homme
, au couvercle percé de petits trous. Ce coffre, e
mort atteint tes narines Il râle de longs râles, Qu'il a de chance l’
homme
de bien. (Il n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) La
déroule comme un long fil I Autrefois, dans un village, il y avait un
homme
qui possédait une perdrix, une perdrix plus chère
entourage qu’un désastre se produirait si la perdrix s’échappait. Cet
homme
était terrible. Personne n’était tenté de lui dés
emblèrent et se massèrent au pied de l’arbre : — Je sens l’odeur de l’
homme
! annonça le lion. A l’instant même la fillette m
ant I › Et tu le verras faire un pas. «O joie, mon frère est un petit
homme
: il pourrait être un berger ! › Et il courra tou
le verras tel un jeune arbre près de toi. « O joie, mon frère est un
homme
I › Et tu le découvriras derrière toi. Tu as bien
le sur les lèvres d’Ali et s’écria : — O joie, mon frère est un petit
homme
, il pourrait être un berger ! Et elle le vit cour
e qui lui restait de moelle en s’écriant : — O joie, mon frère est un
homme
, mon frère est un homme I Reskia et son frère ent
lle en s’écriant : — O joie, mon frère est un homme, mon frère est un
homme
I Reskia et son frère entrèrent dans le village a
oi, de celle qui m’a élevé ? N’est-ce pas grâce à elle que je suis un
homme
? — Très bien, poursuivit la jeune femme. Puisque
us tu nous distrairas. Et Reskia commença son histoire : — H était un
homme
qui possédait une perdrix, une perdrix qu’il aima
elle que la lapine avait retirée des os mêmes de la mère et en fit un
homme
. Une nuit, à l’entrée d’un village inconnu, le fr
Les parents de la femme Sont autour du festin. Mais les parents de l’
homme
Se tiennent sur le seuil. C’est depuis que je me
? I e couffin qui n’a plus de fond, A quoi lui servent les anses 7 L’
homme
frappé de malédiction, Que peuvent pour lui ses p
ier ! Et Dieu lui a dit ; ‹ Puisque tu n’es pas las de persécuter les
hommes
, tu seras, toi, persécuté par ta queue ! » HIS
rs que la marâtre déversait jour après jour sur la tête de son pauvre
homme
. — La maison est pleine de tes filles, lui disait
vant un aveugle ›. Un matin, la marâtre aborda résolument le père : —
Homme
, cette fois ma patience est usée. Ce jour qui lui
ant. Il se présentera bien un passant pour les recueillir I Le pauvre
homme
lutta, pria, supplia et finit par céder. Recroque
, Aïcha tenait à deux mains son cœur, n’osant regarder vers le pauvre
homme
qui les menait à la mort. Les enfants marchèrent
profonds de Dieu. Et plus il avançait vers sa demeure, plus le pauvre
homme
tremblait et appréhendait le courroux de la marât
he, fut aussi sanguinaire qu’il avait été impitoyable lorsqu’il était
homme
. H contraignit ses sujets à fuir la ville et même
n cœur lui disait qu'il cheminait vers elle. Un soir d'été, un pauvre
homme
blanc de poussière et vêtu comme un mendiant se p
C’est alors que se dressant parmi les dunes un Vieux Sage me dit : —
Homme
I tes filles sont en vie. Dirige tes pas vers de
é te voici satisfaite : Nul n’est responsable que moi. J’ai épousé un
homme
que ma main a choisi Et ma main, aujourd'hui, se
ue n’est-il arrivé ! Le tas de fumier s'est effondré. Le seigneur des
hommes
est descendu aux enfers. Il est tombé dans la mar
Le Chevrier sans houlette, le tas de fumier effondré. Le seigneur des
hommes
est descendu aux enfers. Il est tombé dans la mar
le chevrier sans houlette, le tas de fumier effondré. Le seigneur des
hommes
est descendu aux enfers. Il est tombé dans la mar
le Chevrier sans houlette, le tas de fumier effondré. Le seigneur des
hommes
est descendu aux enfers. Il est tombé dans la mar
le Chevrier sans houlette, le tas de fumier effondré. Le seigneur des
hommes
est descendu aux enfers. Il est tombé dans la mar
e Chevrier sans houlette, le tas de fumier effondré ! Le seigneur des
hommes
est descendu aux enfers. Il est tombé dans la mar
e Chevrier sans houlette, le tas de fumier effondré ! Le seigneur des
hommes
est descendu aux enfers. Il est tombé dans la mar
e Chevrier sans houlette, le tas de fumier effondré t Le seigneur des
hommes
est descendu aux enfers. Il est tombé dans la mar
e Chevrier sans houlette, le tas de fumier effondré 1 Le seigneur des
hommes
est descendu aux enfers. Il est tombé dans la mar
e Chevrier sans houlette, le tas de fumier effondré I Le seigneur des
hommes
est descendu aux enfers, n est tombé dans la marm
e Chevrier sans houlette, le tas de fumier effondré ! Le seigneur des
hommes
est descendu aux enfers. H est tombé dans la marm
le engloutit le tas de fumier effondré, Dame Puce, et le seigneur des
hommes
! Mon conte est comme un ruisseau, je l’ai conté
ses, il était malheureux. Un jour qu’il se sentait le plus pauvre des
hommes
, il partit dès l'aube en pèlerinage. Le lieu sain
ante escorte, le sultan tout joyeux se présenta devant la tente. Sept
hommes
en sortirent aussi majestueux et forts que des ch
e éclipsé en toutes choses. Cheikh Smaïn se disait le plus comblé des
hommes
: il avait retrouvé son pays. Et il vivait parmi
ile. Mais un jour il se leva léger pour faire creuser en hâte par ses
hommes
les plus dévoués plusieurs fosses dans la salle d
rrêta. Se plaçant devant la victime, il dit d’une grande voix : — Cet
homme
est mort et son corps me revient. Que personne n'
: — Dieu maudit l’union du père avec ses brus ! Et par sept fois, cet
homme
juste, fut roué de coups et couvert d’injures. Ch
‹ Dieu permet l’union du père avec ses brus. › Au septième il dit : —
Homme
juste, je te fais don de tous les biens de ces ho
tième il dit : — Homme juste, je te fais don de tous les biens de ces
hommes
impies. Et il se tourna enfin vers son père pour
t reconnais qu’à ma mère Nulle femme n'est préférable. Les propos des
hommes
sont perfides, Ils creusent des ravages Et tenden
ixe où elle veut bien. Nous voici dans l’affliction. Prisonnière d'un
homme
indigne. L’issue me paraît incertaine, Délivre-mo
nt des âges. » Aux temps anciens, aux temps très anciens, il était un
homme
qui vivait entre sa vieille mère et sa jeune femm
ment la bru disait noir et, tiraillé entre ces deux furies, le pauvre
homme
était malheureux. Prenait-il le parti de sa mère,
son trousseau et courait chercher refuge chez ses parents, laissant l’
homme
désemparé. Donnait-il raison à sa femme, une grêl
oix inexorable comme le destin. Sa mère le piquait dans son orgueil d’
homme
, l’accusant de ne voir que par sa vaurienne de fe
sa vaurienne de femme. Et durant des semaines, des mois, des années l’
homme
vécut en enfer. Mais un jour, l'attirant dans un
ais un jour, l'attirant dans un coin, l'épouse finit par lui dire : —
Homme
, tant que ta mère vivra, nous ne serons jamais en
s malfaiteurs laissèrent tomber leur matraque et se tournèrent vers l’
homme
qui tremblait d’effroi. Alors, il leur raconta so
e n'ai pas hésité à le payer très cher Pour être le premier parmi les
hommes
. Si j'avais pu prévoir que j’en sortirais avili,
e crépuscule et la nuit. Car je suis la naïve qui attend du bien De l’
homme
que tu n'as pas enfanté. Proverbes Le ventre prim
l y a fort longtemps, vivaient au milieu de leurs nombreux enfants un
homme
et une femme. Dieu avait octroyé plus de filles q
dait-on monter au crépuscule la grande plainte : ‹ Le pain de Dieu, ô
hommes
de bonne volonté ›, qu’un enfant courait porter à
uie et du vent, la voix puissante d’un mendiant. — Le pain de Dieu, û
hommes
de bonne volonté I implorait cette voix. La mère
us fort de la tourmente une grande voix clamer : — Le pain de Dieu, ô
hommes
de bonne volonté I Yamina était prête : ses sœurs
, dominant la tourmente, la grande voix clamer : — Le pain de Dieu, ô
hommes
de bonne volonté ! Mon conte est comme un ruissea
C'est une leçon de littérature. Et le témoignage (à méditer par nous,
hommes
d'Europe et d'Occident) de ce que peut être le "g