conte soit beau et se déroule comme un long fil I L'on raconte qu’en
hiver
deux jeunes hommes partirent, sous la neige, chas
une figue, prépare une bûche ›. Il est temps pour nous de penser à l'
hiver
. Rends-toi au marché, achète de la laine. Je te t
, j’en ferai une couverture que je teindrai. Et nous aurons chaud cet
hiver
. Elle fit un tas de la belle laine, remit dans le
res et on lui en donnait un plein panier pour la payer de sa peine. L’
hiver
, elle ramassait les olives et recevait de l’huile
sur le métier une belle couverture pour que ses petits aient chaud l’
hiver
et passait-elle ses veillées à tisser. Une nuit,
e milieu de la nuit, préoccupée de ne pas se laisser surprendre par l’
hiver
. Les enfants dormaient. La hutte était plongée da
Orient, buvant de source en source et demandant parfois la charité. L’
hiver
, ils ramassaient les olives d’autrui. L’été, ils
ce grenadier. L’arbre grandit. Il garda miraculeusement ses feuilles
hiver
comme été. Pendant sept ans, il ne donna que des
eux, autant Abderahman était laid, sournois, morose et déplaisant. ■L’
hiver
, à la veillée, lorsque les portes étaient closes
de l’aîné et grandit comme une méchante plante épineuse et noire. Les
hivers
et les printemps, les étés et les automnes tourno
ntier : Où s'est-il réfugié ? C'est un rameau d’oranger, Au cœur de l'
hiver
, Qui se couvre au printemps de fleurs. Depuis qu'
Quant à celui de petits pois, il atteindra le ruisseau 1 Le long de l'
hiver
, dès que le soleil se montrait, le père disait au
e ne pouvait, le soir, empêcher son cœur de s’emplir de mélancolie. L’
hiver
, elle aimait toujours à se tenir près de Pâtre et
nt d’amour L’oiseau pleure L’été est fini pour lui. Mon cœur pleure L’
hiver
tombe sur lui. Je plains la gerbe de soie Qui s'é
s dit à sa meic . — J’ai laissé beaucoup de bois mort à la forêt et l’
hiver
approche. Prends une corde et viens avec moi ; no
urquoi la joie régnait et la nourriture profitait à chacun. Un soir d’
hiver
, un soir d’orage, on entendit couvrant le bruit d
fusion et pour amies toutes les fleurs qui te dispenseront, été comme
hiver
, leurs sourires et leurs grâces. Et les fruits le
us le soleil de Dieu, à la fois ceux de l’automne, du printemps, de l'
hiver
et de l’été. Il y avait qui voisinaient aimableme
sque Dieu est là. Comme aujourd’hui la tristesse nous sera enlevée, L'
hiver
passera tel un vilain songe, Les froids nous quit