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1 (1966) Le grain magique
r : — Qu’as-tu, ma fille? Tu viens à peine de sortir bien portante et heureuse . Que t’a-t-on dit de malveillant? La jeune fille
’égorgèrent, son sang coula sur la neige et l’empourpra. L’un dit : — Heureux celui qui épouserait une femme au teint blanc com
les bêtes, la Grenouille était l’épouse du Crapaud. Ils vivaient très heureux . L'abondance et la prospérité emplissaient leur m
revint vers son épouse. Elle lui dit : — Jamais nous n’avons été plus heureux . Si ce jour pouvait ne pas finir I — Nous reviend
as un véritable serpent. D’abord, il avait commencé par être un homme heureux : il possédait une maison, une femme, de nombreux
repentiras. Elle s’en retourna tout effrayée vers le roi. Elle vécut heureuse à la cour durant quelques mois. Le prince, son ma
e. Le sultan fit d’elle sa femme. Aïcha et son frère-gazelle vécurent heureux quelque temps. Le sultan possédait un immense jar
ès un long silence dit encore : — Jadis, en cette ville, nous vivions heureux et calmes car notre seigneur était le plus comblé
. La mère confiante se dit : «Mon fils est florissant.) Et elle vécut heureuse et paisible dans le voisinage de l’arbre. Au bout
e l'oublier. Le pêcher au bord du fleuve, Manger ses fruits vous rend heureux . La marmite noire de suie N’a rien à envier au co
it farouchement son frère. Hacène était trop blond, trop rose et trop heureux . L’impitoyable soleil d’août, ce soleil à tuer le
agne de ses chansons et de ses rires, car il était comme les oiseaux, heureux de vivre et plein d'insouciance. Un jour d’orage,
l ne lui resta plus rien à découvrir, il s’ennuya. La princesse était heureuse , et le sultan content de lui. Mais, Mehend, lui,
e regarda longuement et finit par dire : — Mon fils, ton frère vivait heureux parmi nous. Sa renommée l’avait précédé jusqu’ici
cette voie ne sont pas revenus I › Nous vivions en paix. Nous vivions heureux . Ma fille allait bientôt nous donner un enfant. E
si valeureux que ton frère ! s’écria le sultan. Et il courut porter l’ heureuse nouvelle à sa fille. La princesse pleura de joie
reprit lente, très lente. La princesse et les deux frères avançaient heureux et las. De temps en temps Mehend se retournait po
it trop tard, sépare-toi de cette jeune fille. Elle ne peut te rendre heureux car elle ne porte pas le bien dans son cœur. Comm
près, et le gibier y abondait. Le jeune homme se sentit profondément heureux . Il se rendit auprès de sa belle compagne et lui
robés à la moustache du lion. » L’Ogre et la jeune femme se sentirent heureux et insouciants tout le jour, tant ils étaient sûr
e festin. Durant plusieurs années, le prince et la princesse vécurent heureux à la cour. Et quand le roi vint à mourir, son fil
e roi et la reine se comprirent. Ils revinrent au palais pour y vivre heureux jusqu’à la mort. 'Mon conte est comme un ruisseau
igneras les bêtes et cultiveras les champs. Ils restèrent et vécurent heureux et paisibles près de la vieille femme. Mais elle
de la vieille femme. Mais elle vint à mourir et ils cessèrent d'être heureux . Elle leur avait pourtant laissé tout ce qu'elle
rère, je veux te marier I Il répondit : — Ma sœur, ne sommes-nous pas heureux ? Pourquoi introduire chez nous une étrangère qui
es anciennes tristesses. Lui vivait suspendu à ses moindres souhaits, heureux s’il la voyait gaie, malheureux s’il la voyait so
sa tous ses biens aux orphelins. Le frère et la sœur vivaient unis et heureux . Mais la sœur voulut pour son frère un bonheur en
Moche ; nous pourrions entrevoir un peu de ciel et nous serions plus heureuses . Voici bientôt l’été ; et il y a si longtemps que
pt frères. Préparez-vous à le recevoir. Et elle s’en retourna légère, heureuse d’avoir pu enfin se venger de Cheikh Smaïn. —• Pu
nnut et accueillit la messagère dans la tour. La jeune fille était si heureuse qu’elle pouvait à peine parler. — Va dire au sult
que celle qu’il aimait pleurait. — Qu’as-tu, lui dit-il, n’es-tu pas heureuse auprès de moi? Mais elle lui montra au loin des c
cœur. Et puis il s'enveloppa étroitement de son burnous et s’endormit heureux , sur un lit de feuilles sèches. La lumière de Die
ait grand faim. Il y eut aussi des fruits et du café pour fêter cette heureuse rencontre. Et les deux vieux et le prince rendire
e sauvage, Ecoute, que je te dise, Il faut nous marier Et nous serons heureux . Quant à toi, amandier, Incline-toi vers moi. J'a
t là, tout près, et il demandait d'une voix tendre et basse : — Es-tu heureuse ? Parle, y a-t-il une chose que tu désires dans l
ers ce bonheur qu’aujourd’hui tu dédaignes mais que, demain, tu seras heureuse de redécouvrir. Il attendit que la nuit fût très
eauté qui ne la comblait plus. Elle pensa : «Peut-être serais-je plus heureuse dans mon jardin?» Mais là encore elle ne se senti
les insectes d’or n’avaient pouvoir de la sauver : Yamina n’était pas heureuse et savait maintenant la raison de son malheur. El
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
l’hymen les agreables nœuds, Pour estre differez, n’en sont pas moins heureux , Et qu’on ne perd rien pour attendre. Mais le sex
plus menuë, & elles eſtoient toûjours devant leur miroir. Enfin l’ heureux jour arriva ; on partit, & Cendrillon les ſui
pour executer la vostre, et me rendre, en me donnant la main, le plus heureux de tous les hommes. — Je vous avoüeray franchemen
e dire. — Si cela est ainsi, reprit Riquet à la Houppe, je vais estre heureux , puisque vous pouvez me rendre le plus aimable de
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