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1 (1966) Le grain magique
roseau : le Jeune homme tomba. Il était aussi chétif et faible dans l’ herbe qu’un oisillon. Le père le prit contre lui et le
’abord, elle se contenta de regarder timidement au travers des hautes herbes et des branches qui cachaient l’entrée de la cave
e grand matin et puis au bois d’où elle rapportait des fagots et de l' herbe pour ses lapins et pour sa chèvre. Elle aidait à
avait une fille aussi belle que lune en plein ciel, aussi douce que l' herbe et le souffle des fleurs. Elle était sa joie. Il
ller. Les sources que le malheur avait taries se remirent à couler. L’ herbe et les fleurs poussèrent magnifiques et drues. Al
ransparent et frais, ni ses yeux d’être aussi verts et luisants que l’ herbe des prés. Mais c’était surtout ses cheveux que l’
aient encore un souffle de vie. Ahmed allongea son frère sur un lit d’ herbe et s'assit près de lui en pleurant. Il pleurait e
on frère, je saurai bien le ressusciter l Le petit lézard choisit une herbe , la pressa et fit tomber deux gouttes vertes dans
aussi ressusciterai-je le mien ? › Il cueillit une touffe de la même herbe , il l’écrasa entre ses doigts. Plusieurs gouttes
re du chemin, une belle vache rousse, suivie de ses veaux, délaissa l’ herbe verte pour se joindre à la jument et aux poulains
es œufs, les olives et les figues. Ils ramassèrent avant la nuit de l’ herbe pour leur âne et un peu de bois mort. Et ils s’en
Allez donc voir si nos petits pois et nos fèves poussent. Arrachez l’ herbe , jetez un regard sur tout et revenez avant la nui
traversaient un pré, lorsque chacune d’elles découvrit, nichés dans l’ herbe , des œufs. C’était des œufs de caille qu’avait tr
aux travaux des champs, menaient paître les troupeaux, ramassaient l’ herbe , cueillaient des légumes et des fruits dans les j
t fatiguées. Il faisait chaud, le père leur étendit son burnous sur l’ herbe , à l’ombre d’un figuier. Elles s’y assirent en ro
il partit dès l'aube en pèlerinage. Le lieu saint éblouissait parmi l' herbe des champs. Tandis qu’en approchait le sultan, un
s et des guirlandes et finit par s’endormir sous un gros arbre dans l' herbe épaisse : Yamina était là comme une grande fleur
Les froids nous quitteront Et les nuages, les pluies et les vents. L' herbe repoussera Les prés en deviendront tout verts Et
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
nne luy répondoit : « Je ne vois rien que le soleil qui poudroye et l’ herbe qui verdoye. » Cependant, la Barbe-Bleuë, tenant
ur Anne répondoit : « Je ne vois rien que le soleil qui poudroye et l’ herbe qui verdoye. » « Descens donc viste, crioit la Ba
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