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1 (1966) Le grain magique
réunirent et se dirent : — Cette fois, si notre mère met au monde un garçon , nous nous exilerons. Nous nous enfuirons. Le jou
a fille, avoua la mère, tes sept frères se sont dit : ‹Si un huitième garçon vient à naître, nous nous enfuirons sans le voir,
noire. Mais c’est moi qui suis votre sœur. › ♦ Le plus jeune des sept garçons se rendit auprès de ses frères et leur répéta ce
d. Et une chevelure dressée vers le ciel, épineuse, apparut. Les sept garçons cernèrent la négresse et lui dirent d’un air mena
ls rentrèrent de la chasse. Tous mangèrent de grand appétit. Les sept garçons furent alors changés en ramiers et la jeune fille
ants qu’elle me donnerait. La jeune princesse eut successivement sept garçons , sept garçons à la chevelure d'or qui, tous, lui
e donnerait. La jeune princesse eut successivement sept garçons, sept garçons à la chevelure d'or qui, tous, lui furent ravis q
aient près de la caverne, le prince et la princesse virent six petits garçons aux cheveux d'or qui jouaient et se poursuivaient
enfants. L’aînée était une fillette : elle s’appelait Aicha. Le petit garçon s’appelait Ali. Leur mère possédait une vache. Ma
ttait. Elle les laissait souffrir de la faim. La fillette et le petit garçon emmenaient la vache au pâturage et buvaient de so
e en village. Ils rencontrèrent une source sur leur chemin : le petit garçon y but et fut changé en gazelle. Alors, Aîcha défi
ère qui me pleure depuis tant d’années? Garde près de toi notre petit garçon : il sera ton héritier. Et laisse-nous aller ta f
e Kabylie, vivait une famille composée du père, de la mère et de deux garçons . L’aîné, Abderahman, avait dix ans. Le plus 'jeun
ées avaient passé. La douleur des parents n'était plus aussi vive. Le garçon taciturne était devenu un homme qui refusait faro
pays?... La fille du sultan, ta femme, a accouché en ton absence d’un garçon . Le sultan lui-même survint : — D’où reviens-tu ?
tait deux vieux (un homme et une femme) et que ces vieux avaient deux garçons encore jeunes, l’un poli, subtil, et l’autre tout
ng de l'hiver, dès que le soleil se montrait, le père disait aux deux garçons : — Allez donc voir si nos petits pois et nos fèv
senter? Comme elle s’arrachait les cheveux d’angoisse, Ali, son petit garçon , poussa la porte et entra. Il venait de courir da
ception de la fillette. L’homme s’étonna bien de ne pas voir le petit garçon qu’il aimait comme sa prunelle. Mais la femme rép
la tête au père ; les ailes aux jeunes filles ; les cuisses aux deux garçons ; la poitrine à la mère. Et il se réserva les pat
elle avait laissé son cœur. Reskia fut enceinte. Elle mit au monde un garçon qu’elle appela Vouïedhmim qui veut dire : Aubépin
hé, n’oublie pas de pleurer devant lui et de dire : ‹ Tous les petits garçons du monde ont des oncles qu'ils vont voir, sauf mo
lui ternit le nouveau-né après bien des recommandations : c’était un garçon . Sa sœur le serra contre elle en pleurant. Elle l
t le coeur à ta femme. La sultane sera enceinte et mettra au monde un garçon . Mais, ce garçon, gardez-vous bien de lui choisir
emme. La sultane sera enceinte et mettra au monde un garçon. Mais, ce garçon , gardez-vous bien de lui choisir un prénom avant
ait arriver jusqu’aux oreilles du prince un beau soir que deux jeunes garçons jouaient des oranges devant sa porte. Le perdant
! Or, Cheikh Smaïn était à sa fenêtre. Il se penche et crie au jeune garçon : — Et quel est ce bon tour que Ton m’a joué, veu
me un long SI I Dans un certain village, autrefois, il était un petit garçon que l'on appelait Velâjoudh et ce Velâjoudh était
Tout constellé de fleurs Pourquoi ne te montres-tu pas ? L’amour d'un garçon au teint clair Creuse et fait des ravages, Il brû
fants un homme et une femme. Dieu avait octroyé plus de filles que de garçons mais les parents, dans leur sagesse, ne s’en étai
i lavaient les écuelles et préparaient le plus souvent les repas. Les garçons aidaient aux travaux des champs et menaient paîtr
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
t une fois un Bucheron et une Bucheronne qui avoient sept enfans tous Garçons . L’aîné n’avoit que dix ans, et le plus jeune n’e
ce fut dans ce lit que la femme de l’Ogre mit coucher les sept petits garçons , aprés quoi elle s’alla coucher auprés de son ma
nne affin que l’Ogre les prit pour ses filles, et ses filles pour les garçons qu’il vouloit égorger. La chose réüssit comme il
à la Chambre de ses filles et s’approcha du lit où étoient les petits garçons , qui dormoient tous excepté le petit Poucet, qui
a ensuite au lit de ses filles, où ayant senti les petits bonnets des garçons . Ah , les voilà, dit-il nos gaillards. Travaillon
reposer , et par hazard il alla s’asseoir sur la roche où les petits garçons s’estoient cachés. Comme il n’en pouvoit plus de
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