réunirent et se dirent : — Cette fois, si notre mère met au monde un
garçon
, nous nous exilerons. Nous nous enfuirons. Le jou
a fille, avoua la mère, tes sept frères se sont dit : ‹Si un huitième
garçon
vient à naître, nous nous enfuirons sans le voir,
noire. Mais c’est moi qui suis votre sœur. › ♦ Le plus jeune des sept
garçons
se rendit auprès de ses frères et leur répéta ce
d. Et une chevelure dressée vers le ciel, épineuse, apparut. Les sept
garçons
cernèrent la négresse et lui dirent d’un air mena
ls rentrèrent de la chasse. Tous mangèrent de grand appétit. Les sept
garçons
furent alors changés en ramiers et la jeune fille
ants qu’elle me donnerait. La jeune princesse eut successivement sept
garçons
, sept garçons à la chevelure d'or qui, tous, lui
e donnerait. La jeune princesse eut successivement sept garçons, sept
garçons
à la chevelure d'or qui, tous, lui furent ravis q
aient près de la caverne, le prince et la princesse virent six petits
garçons
aux cheveux d'or qui jouaient et se poursuivaient
enfants. L’aînée était une fillette : elle s’appelait Aicha. Le petit
garçon
s’appelait Ali. Leur mère possédait une vache. Ma
ttait. Elle les laissait souffrir de la faim. La fillette et le petit
garçon
emmenaient la vache au pâturage et buvaient de so
e en village. Ils rencontrèrent une source sur leur chemin : le petit
garçon
y but et fut changé en gazelle. Alors, Aîcha défi
ère qui me pleure depuis tant d’années? Garde près de toi notre petit
garçon
: il sera ton héritier. Et laisse-nous aller ta f
e Kabylie, vivait une famille composée du père, de la mère et de deux
garçons
. L’aîné, Abderahman, avait dix ans. Le plus 'jeun
ées avaient passé. La douleur des parents n'était plus aussi vive. Le
garçon
taciturne était devenu un homme qui refusait faro
pays?... La fille du sultan, ta femme, a accouché en ton absence d’un
garçon
. Le sultan lui-même survint : — D’où reviens-tu ?
tait deux vieux (un homme et une femme) et que ces vieux avaient deux
garçons
encore jeunes, l’un poli, subtil, et l’autre tout
ng de l'hiver, dès que le soleil se montrait, le père disait aux deux
garçons
: — Allez donc voir si nos petits pois et nos fèv
senter? Comme elle s’arrachait les cheveux d’angoisse, Ali, son petit
garçon
, poussa la porte et entra. Il venait de courir da
ception de la fillette. L’homme s’étonna bien de ne pas voir le petit
garçon
qu’il aimait comme sa prunelle. Mais la femme rép
la tête au père ; les ailes aux jeunes filles ; les cuisses aux deux
garçons
; la poitrine à la mère. Et il se réserva les pat
elle avait laissé son cœur. Reskia fut enceinte. Elle mit au monde un
garçon
qu’elle appela Vouïedhmim qui veut dire : Aubépin
hé, n’oublie pas de pleurer devant lui et de dire : ‹ Tous les petits
garçons
du monde ont des oncles qu'ils vont voir, sauf mo
lui ternit le nouveau-né après bien des recommandations : c’était un
garçon
. Sa sœur le serra contre elle en pleurant. Elle l
t le coeur à ta femme. La sultane sera enceinte et mettra au monde un
garçon
. Mais, ce garçon, gardez-vous bien de lui choisir
emme. La sultane sera enceinte et mettra au monde un garçon. Mais, ce
garçon
, gardez-vous bien de lui choisir un prénom avant
ait arriver jusqu’aux oreilles du prince un beau soir que deux jeunes
garçons
jouaient des oranges devant sa porte. Le perdant
! Or, Cheikh Smaïn était à sa fenêtre. Il se penche et crie au jeune
garçon
: — Et quel est ce bon tour que Ton m’a joué, veu
me un long SI I Dans un certain village, autrefois, il était un petit
garçon
que l'on appelait Velâjoudh et ce Velâjoudh était
Tout constellé de fleurs Pourquoi ne te montres-tu pas ? L’amour d'un
garçon
au teint clair Creuse et fait des ravages, Il brû
fants un homme et une femme. Dieu avait octroyé plus de filles que de
garçons
mais les parents, dans leur sagesse, ne s’en étai
i lavaient les écuelles et préparaient le plus souvent les repas. Les
garçons
aidaient aux travaux des champs et menaient paîtr